Nos aventures triolistes-candaulistes
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Nos aventures triolistes-candaulistes
Ma femme et moi avons entamé il y a trente ans une période intense de relations charnelles. C’était fin 1989 et ça a duré jusqu’en 2000.
Elle se prénomme MY, elle est petite brune frisée. Des rondeurs tout en étant assez mince. La taille fine surplombe des hanches épanouies et une croupe des plus dodues. Ses seins sont en poires, pas énormes mais lourds, avec des larges aréoles rose foncé. Elle a eu deux gros bébés qui ont laissé quelques traces indélébiles...
Je l'ai connue quand elle avait 17 ans et demi et épousée un an plus tard. Je n'étais pas son premier homme , elle en avait connu deux autres avant moi, mais j'ai été le premier à pénétrer ses reins.
L'histoire qui suit débute en Novembre 1989 :
MY a 37 ans mais on lui en donne au plus 25, 1,55m 48 kg(elle va prendre du poids par la suite), un visage adorable, frisée au carré.
Elle accepte sur mon insistance de s'habiller court , portant des petites jupes plissées ou au contraire très moulantes. Je l'ai également convaincue de porter quand nous sortons ou à la maison pour me faire plaisir des bas avec porte-jarretelles. Depuis quelque temps, je me suis procuré un godemiché et elle accepte avec une jouissance sourde mêlée de honte que je la pénètre simultanément avec cet engin pendant que j'occupe l'un ou l'autre corridor. Elle m'a même avoué qu'elle imaginait ainsi qu'elle recevait un deuxième homme en elle.
Bien que refusant au départ l'idée qu'un autre homme se mêle à nos ébats, elle finit un jour par accepter que je fasse une tentative sur minitel. Je trouve un homme de la région de Metz, avec qui je prends contact et elle consent à parler avec lui au téléphone. Le soir même dans notre lit, alors que je la baise tout en lui travaillant le petit trou avec le godemiché, elle me dit dans un souffle:
-"Tu sais , si on le rencontre, je préfère que ce soit à l'hôtel."
Moi je suis sur un nuage...
Je reprends contact avec Pierre et nous convenons d'un rendez vous sur le parking d'un hôtel Campanile à Nancy. Pour le dimanche soir suivant.
Il demande que MY soit en robe avec des dessous sexy.
Elle se prépare avec soin, shampooing, frisettes , toilette intime, parfum, rouge à lèvres. Elle enfile des bas fumés tenus par un porte-jarretelles noir et par dessus le porte-jarretelles un petit slip noir aussi dont l'arrière se limite à un minuscule triangle en tulle, noyé entre les deux hémisphères laiteux de la croupe.
Elle passe une robe noire en tricot qui arrive au dessus du genou, boutonnée sur le devant par des boutons pressions, une petite veste en fourrure, des escarpins à talons mi hauts.
Nous nous retrouvons comme convenu ; il nous attend dans sa voiture.
Nous faisons rapidement connaissance; il a 30 ans mais en parait davantage, taille moyenne , très brun , costaud, petite moustache, assez sûr de lui.
Je vais réserver la chambre que je paie en espèces et je prends la clé.
Nous décidons d'aller dans un restaurant en ville pour discuter. Il monte à l'arrière de notre voiture et pendant le trajet nous échangeons quelques banalités.
Arrivés au restaurant , MY s 'assied à côté de lui et nous passons commande. Il la complimente sur son physique et lui dit qu'elle est bien mieux que ce qu'il attendait. Elle rougit sous le compliment et il lui demande en la tutoyant: "Et moi? Je te plais?"
Elle répond un tout petit "Oui" et rougit encore plus.
Le repas se déroule assez normalement ; Pierre nous apprend qu'il a déjà pratiqué le trio avec des couples , mais que dans les deux cas , les femmes n'étaient pas aussi jolies que MY. Au moment du café, elle se lève pour aller aux toilettes; il la suit du regard, les yeux rivés sur son postérieur. Il me dit qu'il la trouve très bandante...
Je sors de ma poche un étui à photos. Je l'ai photographiée sur la pelouse en train de bronzer nue au soleil de face et de dos.Il me dit:
-"J'ai hâte d'être à l'hôtel...Quel cul!"
À ce moment elle revient des toilettes et me gronde:
-"Pourquoi montres tu ces photos?"
Pierre lui caresse les reins au moment où elle s'assoit
--"IL a bien raison de me montrer çà; j'ai vraiment envie de voir la réalité. Toute nue ».
Je règle l'addition et nous sortons. Arrivés à la voiture, je dis à ma femme:
-"Donne moi ta veste et monte à l'arrière avec Pierre, vous allez faire connaissance."
Elle me donne sa veste, Pierre lui ouvre galamment la portière et s'installe à côté d'elle.
Nous sommes à peine démarrés que je le vois dans le rétroviseur se pencher sur elle.Leurs bouches se joignent, moi je bande comme un fou.
Nous quittons le centre ville et j'entends des soupirs, puis le petit bruit que font les boutons pressions de la robe qui s'ouvre . Je vois les seins blancs sur lesquels il se penche; je devine qu'il veut déboutonner la robe jusqu’en bas, mais qu'elle ne le laisse pas faire. Je l'entends murmurer:
-"Non, non...Pas ici".
La bouche de Pierre reprend la sienne et elle noue ses mains sur sa nuque; j'imagine qu'il est en train de lui caresser les seins.
Nous arrivons dans la cour de l'hôtel et nous garons. L'avantage des hôtels Campanile c’est qu'on n'est pas obligé de passer par la réception.
MY reboutonne sa robe et nous sortons de la voiture; elle est un peu décoiffée et son rouge à lèvres a souffert.
Notre chambre est au rez-de-chaussée sur l'arrière et nous y entrons; j'allume la lampe de chevet. J'ai demandé une chambre avec un grand lit.
À peine entrés, je prends ma femme dans mes bras et je lui roule un patin...Sa bouche sent la salive de l'homme; elle répond frénétiquement à mon baiser; alors je commence à la dévêtir , j’ôte la robe et la jette sur le fauteuil. Pierre est derrière elle et se régale du spectacle de l'arrière train joufflu à peine masqué par le slip minuscule, la taille marquée par le porte jarretelles, la peau blanche des cuisses qui contraste avec le sombre des bas.
Il s'approche contre elle et lui dit:
-"Tu es vraiment appétissante"
Pierre se colle contre le dos de MY...Pendant que ma bouche reprend la sienne. Notre compagnon se contorsionne et je devine qu'il se défait de son pantalon et de son slip qu'il laisse choir sur la moquette. Puis il quitte sa chemise; il est nu contre le dos de ma femme. Il s'accroupit et je sens qu'il baisse le string noir; elle lève un pied puis l'autre pour l'aider à la dénuder. Il se recule un instant pour contempler la croupe qui s'offre à lui en gros plan. Il me complimente:
- "Elle a un sacré cul, vraiment...Encore mieux que sur les photos!"
J'interromps mon baiser et je fais pivoter ma femme face à lui. Il la détaille, il se redresse , baise les yeux mis clos, descend sur la bouche qu'il prend à son tour. Elle noue ses mains sur la nuque de l'homme; à mon tour de je me déshabille rapidement. MY n 'a plus que ses bas et son porte-jarretelles. C'est vrai qu'elle a une sacrée paire de fesses!
La main droite de Pierre caresse les seins, descend sur le ventre, entre leurs deux corps, arrive au pubis et je devine qu'un ou deux doigts cherchent au milieu de la jungle et commencent à visiter la grotte de ma petite femme.
Ses hanches commencent à onduler d'une manière significative…
L'homme semble être un expert.
Il se détache d'elle et me dit: "C'est bien , elle est drôlement chaude" Je murmure à l'oreille de ma femme:
"Viens, on va sur le lit ».
Je m'allonge sur le dos et elle s'agenouille entre mes jambes...Sa jolie bouche s'empare de ma bite et elle commence à me sucer avec application.
Pierre s'installe à son tour derrière elle et son visage disparaît à mes yeux, je devine que sa bouche à lui descend dans le sillon fessier de ma femme. MY me confirme par ses gémissements qu'il est en train de la visiter de sa langue. Pierre la mange littéralement, il visite allègrement le petit trou puis la chatte de ma femme. Quant à elle , elle s'active de plus belle, me suçant tour à tour le gland, la hampe et les couilles. Notre partenaire se redresse, la bouche luisante de salive et de sécrétions. Il la saisit aux hanches et se guide d'une main à l'entrée du corridor .
Il se propulse d'un coup et elle cesse sa fellation dans un hurlement !
Je n'en reviens pas… C'est la première fois que ma femme se fait pénétrer par un autre depuis que nous nous connaissons...Mon vieux fantasme se réalise!
Pierre se retire presque intégralement d'elle et je réalise que c'est bien le vagin qu'il pénètre car il me demande:
-" Je sens quelque chose , elle a un stérilet? » C'est elle qui répond:
-"Oui il faut faire plus doucement.. Tu es très long" Pour toute réponse , il replonge en elle, la faisant à nouveau crier. Moi j'appuie sur sa tête pour lui faire reprendre sa fellation et elle recommence à me sucer pendant que notre étalon lui pilonne le ventre. Il ne cesse de me complimenter:
-" Elle est vraiment bonne ta femme...C'est tout chaud dans son ventre...Qu'est ce qu'elle mouille!"
En effet je distingue les bruits humides du coït intense qui se déroule .
Je demande à Pierre:
-"Tu veux qu'elle te suce?"
- "Oui !"
Il sort du marécage, provoquant un bruit d'air qui le fait sourire...
Je me redresse et fais pivoter ma femme. Je découvre seulement à cet instant l'engin dont notre partenaire est doté...Une vraie matraque; non seulement elle est longue mais terriblement épaisse, presque le double de la mienne.
Je comprends pourquoi elle a tellement crié quand il s'est enfoncé dans son ventre!
Elle s'agenouille face à lui et elle le caresse avant de le prendre entre ses lèvres. Le braquemard est si épais qu'elle doit ouvrir en grand la bouche; il lui ébouriffe les cheveux et lui susurre des petits mots...
-"Oui..oui comme çà...Oui , ta langue oui ..C'est bien ..."
Moi je me suis placé derrière elle et j'entre sans peine dans la chatte détrempée et élargie.
C'est pour moi une sensation nouvelle de la sentir si ouverte...Çà me rappelle les premières pénétrations après ses grossesses.
Elle s'applique sur la verge de notre partenaire, alternant les succions avec des rapides visites de sa langue sur les bourses gonflées. Il gémit à son tour et je décide de reprendre la direction des événements... Je demande à Pierre de s'allonger sur le dos et j'amène MY à le chevaucher…
Il se guide dans l'entrée de sa chatte et elle descend dessus; il comprend où je veux en venir et il la couche sur lui ; ils sont bouche contre bouche...Moi je caresse doucement les fesses de ma femme, mes doigts descendent dans le sillon, atteignent l'anneau rose foncé; un peu de salive, je fais entrer l'index, puis le majeur...Je suis dans une érection peu commune.
Je m'installe plus commodément contre sa croupe et je pose mon gland contre le puits froncé...Je n'ai pas besoin de beaucoup forcer...Je m'enfonce dans le corridor opaque et ressens la présence de la grosse bite dans le couloir voisin...Pierre me demande:
- "C'est bon?"
- "Oh...putain ...Oui , quel pied!"
La suite de mon fantasme se réalise...Ma femme ondule entre moi qui visite ses reins et cet homme, cet inconnu , logé dans son ventre . Je sens à travers la fine paroi le relief de l'engin épais qui alterne ses poussées avec les miennes…
Un bref instant , je me dis "Il faut tenir, ne pas me laisser aller à jouir maintenant!"
MY gémit de plus en plus sous le double assaut qu'elle reçoit, nous demandant de faire plus doucement. Mais ni Pierre ni moi ne tenons compte de ses supplications et nous la visitons en cadence. Pierre attire le visage de ma femme et leurs bouches se joignent. La cavalcade dure plusieurs minutes et je me sens de plus en plus dur dans la croupe de ma femme. Notre partenaire alterne les baisers avec des mots chargés de sensualité...Il lui dit qu'il aime la chaleur de son ventre , qu'elle s'élargit bien , il lui parle bouche contre bouche et elle s'agite de plus en plus entre nous...Elle crie maintenant , incapable de maîtriser l'orgasme qui s'empare de tout son être. Je devine qu'il est temps de la ménager et tandis qu'elle s'affale sur le corps de notre partenaire, je me dégage du corridor de ses reins. Ma verge est auréolée d'une couronne brune et odorante et le me lève avec précaution pour ne pas salir le couvre-lit...Je vais à la salle de bain pour procéder à quelques ablutions et boire un verre d'eau. Des gémissements et des bruits de sommier me parviennent. Je devine que Pierre est en train de remettre le couvert...La voix étouffée de ma femme me parvient...Puis ses soupirs, ses gémissements.
Dans la pénombre je m'aventure sans bruit jusqu'à la limite du rai de lumière et je vois que Pierre est sur elle, il lui a relevé les cuisses contre les épaules et il la besogne , labourant sa chatte à grands coups de reins...Ses couilles tapent contre la croupe blanche évasée sur les draps à chaque fois qu'il cogne au fond du ventre en fusion. Elle halète , lui demande de faire plus doucement.
Il la questionne: "Tu aimes ma bite?Tu aimes? Dis le...Dis le!"
Elle répond que oui elle aime sa bite , alors il la pistonne encore plus fort...Elle geint et cette fois c'est elle qui attire le visage de l'homme et quémande un baiser...La bouche de Pierre dévore littéralement celle de ma femme et je vois qu'elle se tend , succombant à un nouvel orgasme... J'entre doucement dans la chambre; elle ouvre les yeux et me demande:
-"Tu étais là?"
Je lui baise les paupières, le nez , la bouche...Son haleine sent la salive.
Oui j'étais là...J'aime qu'elle jouisse comme çà.
Pierre est collé contre ses fesses , il lui caresse les seins, pinçant les aréoles...Je me couche sur le dos et je dis à MY:
-"Viens sur moi" Elle se redresse en vient me chevaucher...Ma verge tendue trouve la brèche de son ventre et pénètre sans difficulté , l'expression "garage à bites" me vient à l'esprit !
Je l'incite à remuer sur moi, mes bras enserrent sa taille , mes mains descendent sur ses fesses et les écartent. Pierre comprend l'invitation.
Il se place à genoux derrière elle. Je la rehausse pour qu'elle lui offre la plénitude de sa lune blanche. Il s'extasie:- "Putain quel pétard !.." Il se penche et sa bouche parcourt le sillon fessier. Je devine que la langue arrive au contact de l'anneau parfumé...
Elle gémit contre ma bouche, cette fois c’est elle qui me force à un baiser.
Au tangage du lit je sais que Pierre s'installe contre sa croupe..Il salive sur ses doigts et prépare le passage...Il se guide tandis que je sors presque complètement du vagin...Elle crie, supplie "Doucement...Doucement...Ohhh que c'est gros...Ohh doucement...Nnnonnn!"
Il ricane...
-"Lààà...Oui ma belle...Voilà, ouvre bien ton cul...Oui, voilà çà entre" et disant cela il comprime la taille de ses deux mains et se propulse d'un trait dans le rectum, arrachant un cri déchirant à Maryvonne. La place est conquise, il ne reste plus qu'à visiter. Plusieurs allées et venues assouplissent le conduit et je me présente à nouveau à l'intérieur du vagin ; l'espace a singulièrement rétréci du fait de la présence énorme dans le couloir voisin , mais c'est une délicieuse sensation que je ressens.
Nous nous entendons à merveille , Pierre et moi et alternant savamment nos poussées, nous faisons connaître à ma femme un orgasme puis un autre avant de nous laisser aller de concert à une double éjaculation qui nous laisse inertes tous les trois durant de longues minutes, jusqu'à ce que je prenne conscience du poids qui m'écrase...Je me dégage ; cette fois les draps reçoivent la preuve ruisselante de nos débordements... Pierre sort à son tour du corridor qui reste entrouvert et palpitant. Il se rend à son tour à la salle de bain. Elle me baise la bouche, me dit qu'elle m'aime, qu'elle a honte...Je lui demande pourquoi
- "Parce que j'ai joui sans toi dans ses bras tout à l’heure, sans toi..."
Je la rassure, je lui dis que moi aussi je l'aime, encore plus...Elle me dit qu'elle doit aller se laver et je la laisse rejoindre Pierre dans la salle de bain...Le bruit de l'eau me parvient , plus plus rien et de nouveau des soupirs, des murmures.
Je me lève sans bruit..La porte est entrouverte. Elle est dans ses bras, il échangent un baiser fougueux...Les paluches pétrissent les fesses de ma femme...Je suis moi-même au comble de l"excitation. Il la fait pivoter et elle prend appui des deux mains sur le rebord de la baignoire. Il la fait se cambrer, il écarte les fesses qu'il vient de profaner, il fléchit sur les genoux et ajuste son engin à nouveau tendu...Elle proteste:
"Non...Pas par là...Je vais avoir trop mal ». Alors il abaisse légèrement le mufle de la bête et pénètre l'ouverture la plus large. Très vite il caracole et elle a bien du mal à se tenir debout...Il jouit à nouveau, trouvant encore assez de ressources pour se répandre, tandis que MY cette fois est au bord de la syncope...
Je les laisse reprendre leurs esprits et il sort le premier de la salle de bain, sourire narquois aux lèvres. Il me dit:
"Elle est drôlement chaude ta petite femme, c'était super !" Il se rhabille , ma femme sort à son tour et toute nue, il l'enlace pour un long baiser d'adieu, puis nous quitte .
Elle s'habille à son tour , prenant soin de garnir le fond de son slip d'une protection. Rougissante, elle me dit:
"Çà coule... En plus je crois que mes règles vont arriver plus tôt que prévu..."
Je lui souris:
"C'est vrai que nous avons été très amoureux de toi...Ça t'a plu?"
Ce n 'est que plus tard, dans la cour de l'hôtel, alors que nous allons vers la voiture qu'elle me répond bouche contre bouche :
"Oui ça m'a plu mais tu sais il ne faut pas recommencer trop souvent...J'ai peur d'y prendre goût ».
Dans la voiture sur la route du retour nous restons un moment silencieux.
Je roule doucement et laisse ma main remonter entre ses cuisses. Elle ouvre doucement le compas de ses cuisses et mes doigts se faufilent dans l'entre-jambes. Elle grimace quand ils effleurent son périnée et me repousse:
"Arrête çà coule, devant et derrière, tu vas avoir les doigts tout sales ».
Arrivés à la maison , elle se lave à nouveau ; effectivement ses règles arrivent, déclenchées par l'intensité des rapports que nous avons eus.
Elle enfile une chemise de nuit bien sage et nous nous endormons comme des masses.
Ainsi se déroula notre première aventure "à trois".
Elle se prénomme MY, elle est petite brune frisée. Des rondeurs tout en étant assez mince. La taille fine surplombe des hanches épanouies et une croupe des plus dodues. Ses seins sont en poires, pas énormes mais lourds, avec des larges aréoles rose foncé. Elle a eu deux gros bébés qui ont laissé quelques traces indélébiles...
Je l'ai connue quand elle avait 17 ans et demi et épousée un an plus tard. Je n'étais pas son premier homme , elle en avait connu deux autres avant moi, mais j'ai été le premier à pénétrer ses reins.
L'histoire qui suit débute en Novembre 1989 :
MY a 37 ans mais on lui en donne au plus 25, 1,55m 48 kg(elle va prendre du poids par la suite), un visage adorable, frisée au carré.
Elle accepte sur mon insistance de s'habiller court , portant des petites jupes plissées ou au contraire très moulantes. Je l'ai également convaincue de porter quand nous sortons ou à la maison pour me faire plaisir des bas avec porte-jarretelles. Depuis quelque temps, je me suis procuré un godemiché et elle accepte avec une jouissance sourde mêlée de honte que je la pénètre simultanément avec cet engin pendant que j'occupe l'un ou l'autre corridor. Elle m'a même avoué qu'elle imaginait ainsi qu'elle recevait un deuxième homme en elle.
Bien que refusant au départ l'idée qu'un autre homme se mêle à nos ébats, elle finit un jour par accepter que je fasse une tentative sur minitel. Je trouve un homme de la région de Metz, avec qui je prends contact et elle consent à parler avec lui au téléphone. Le soir même dans notre lit, alors que je la baise tout en lui travaillant le petit trou avec le godemiché, elle me dit dans un souffle:
-"Tu sais , si on le rencontre, je préfère que ce soit à l'hôtel."
Moi je suis sur un nuage...
Je reprends contact avec Pierre et nous convenons d'un rendez vous sur le parking d'un hôtel Campanile à Nancy. Pour le dimanche soir suivant.
Il demande que MY soit en robe avec des dessous sexy.
Elle se prépare avec soin, shampooing, frisettes , toilette intime, parfum, rouge à lèvres. Elle enfile des bas fumés tenus par un porte-jarretelles noir et par dessus le porte-jarretelles un petit slip noir aussi dont l'arrière se limite à un minuscule triangle en tulle, noyé entre les deux hémisphères laiteux de la croupe.
Elle passe une robe noire en tricot qui arrive au dessus du genou, boutonnée sur le devant par des boutons pressions, une petite veste en fourrure, des escarpins à talons mi hauts.
Nous nous retrouvons comme convenu ; il nous attend dans sa voiture.
Nous faisons rapidement connaissance; il a 30 ans mais en parait davantage, taille moyenne , très brun , costaud, petite moustache, assez sûr de lui.
Je vais réserver la chambre que je paie en espèces et je prends la clé.
Nous décidons d'aller dans un restaurant en ville pour discuter. Il monte à l'arrière de notre voiture et pendant le trajet nous échangeons quelques banalités.
Arrivés au restaurant , MY s 'assied à côté de lui et nous passons commande. Il la complimente sur son physique et lui dit qu'elle est bien mieux que ce qu'il attendait. Elle rougit sous le compliment et il lui demande en la tutoyant: "Et moi? Je te plais?"
Elle répond un tout petit "Oui" et rougit encore plus.
Le repas se déroule assez normalement ; Pierre nous apprend qu'il a déjà pratiqué le trio avec des couples , mais que dans les deux cas , les femmes n'étaient pas aussi jolies que MY. Au moment du café, elle se lève pour aller aux toilettes; il la suit du regard, les yeux rivés sur son postérieur. Il me dit qu'il la trouve très bandante...
Je sors de ma poche un étui à photos. Je l'ai photographiée sur la pelouse en train de bronzer nue au soleil de face et de dos.Il me dit:
-"J'ai hâte d'être à l'hôtel...Quel cul!"
À ce moment elle revient des toilettes et me gronde:
-"Pourquoi montres tu ces photos?"
Pierre lui caresse les reins au moment où elle s'assoit
--"IL a bien raison de me montrer çà; j'ai vraiment envie de voir la réalité. Toute nue ».
Je règle l'addition et nous sortons. Arrivés à la voiture, je dis à ma femme:
-"Donne moi ta veste et monte à l'arrière avec Pierre, vous allez faire connaissance."
Elle me donne sa veste, Pierre lui ouvre galamment la portière et s'installe à côté d'elle.
Nous sommes à peine démarrés que je le vois dans le rétroviseur se pencher sur elle.Leurs bouches se joignent, moi je bande comme un fou.
Nous quittons le centre ville et j'entends des soupirs, puis le petit bruit que font les boutons pressions de la robe qui s'ouvre . Je vois les seins blancs sur lesquels il se penche; je devine qu'il veut déboutonner la robe jusqu’en bas, mais qu'elle ne le laisse pas faire. Je l'entends murmurer:
-"Non, non...Pas ici".
La bouche de Pierre reprend la sienne et elle noue ses mains sur sa nuque; j'imagine qu'il est en train de lui caresser les seins.
Nous arrivons dans la cour de l'hôtel et nous garons. L'avantage des hôtels Campanile c’est qu'on n'est pas obligé de passer par la réception.
MY reboutonne sa robe et nous sortons de la voiture; elle est un peu décoiffée et son rouge à lèvres a souffert.
Notre chambre est au rez-de-chaussée sur l'arrière et nous y entrons; j'allume la lampe de chevet. J'ai demandé une chambre avec un grand lit.
À peine entrés, je prends ma femme dans mes bras et je lui roule un patin...Sa bouche sent la salive de l'homme; elle répond frénétiquement à mon baiser; alors je commence à la dévêtir , j’ôte la robe et la jette sur le fauteuil. Pierre est derrière elle et se régale du spectacle de l'arrière train joufflu à peine masqué par le slip minuscule, la taille marquée par le porte jarretelles, la peau blanche des cuisses qui contraste avec le sombre des bas.
Il s'approche contre elle et lui dit:
-"Tu es vraiment appétissante"
Pierre se colle contre le dos de MY...Pendant que ma bouche reprend la sienne. Notre compagnon se contorsionne et je devine qu'il se défait de son pantalon et de son slip qu'il laisse choir sur la moquette. Puis il quitte sa chemise; il est nu contre le dos de ma femme. Il s'accroupit et je sens qu'il baisse le string noir; elle lève un pied puis l'autre pour l'aider à la dénuder. Il se recule un instant pour contempler la croupe qui s'offre à lui en gros plan. Il me complimente:
- "Elle a un sacré cul, vraiment...Encore mieux que sur les photos!"
J'interromps mon baiser et je fais pivoter ma femme face à lui. Il la détaille, il se redresse , baise les yeux mis clos, descend sur la bouche qu'il prend à son tour. Elle noue ses mains sur la nuque de l'homme; à mon tour de je me déshabille rapidement. MY n 'a plus que ses bas et son porte-jarretelles. C'est vrai qu'elle a une sacrée paire de fesses!
La main droite de Pierre caresse les seins, descend sur le ventre, entre leurs deux corps, arrive au pubis et je devine qu'un ou deux doigts cherchent au milieu de la jungle et commencent à visiter la grotte de ma petite femme.
Ses hanches commencent à onduler d'une manière significative…
L'homme semble être un expert.
Il se détache d'elle et me dit: "C'est bien , elle est drôlement chaude" Je murmure à l'oreille de ma femme:
"Viens, on va sur le lit ».
Je m'allonge sur le dos et elle s'agenouille entre mes jambes...Sa jolie bouche s'empare de ma bite et elle commence à me sucer avec application.
Pierre s'installe à son tour derrière elle et son visage disparaît à mes yeux, je devine que sa bouche à lui descend dans le sillon fessier de ma femme. MY me confirme par ses gémissements qu'il est en train de la visiter de sa langue. Pierre la mange littéralement, il visite allègrement le petit trou puis la chatte de ma femme. Quant à elle , elle s'active de plus belle, me suçant tour à tour le gland, la hampe et les couilles. Notre partenaire se redresse, la bouche luisante de salive et de sécrétions. Il la saisit aux hanches et se guide d'une main à l'entrée du corridor .
Il se propulse d'un coup et elle cesse sa fellation dans un hurlement !
Je n'en reviens pas… C'est la première fois que ma femme se fait pénétrer par un autre depuis que nous nous connaissons...Mon vieux fantasme se réalise!
Pierre se retire presque intégralement d'elle et je réalise que c'est bien le vagin qu'il pénètre car il me demande:
-" Je sens quelque chose , elle a un stérilet? » C'est elle qui répond:
-"Oui il faut faire plus doucement.. Tu es très long" Pour toute réponse , il replonge en elle, la faisant à nouveau crier. Moi j'appuie sur sa tête pour lui faire reprendre sa fellation et elle recommence à me sucer pendant que notre étalon lui pilonne le ventre. Il ne cesse de me complimenter:
-" Elle est vraiment bonne ta femme...C'est tout chaud dans son ventre...Qu'est ce qu'elle mouille!"
En effet je distingue les bruits humides du coït intense qui se déroule .
Je demande à Pierre:
-"Tu veux qu'elle te suce?"
- "Oui !"
Il sort du marécage, provoquant un bruit d'air qui le fait sourire...
Je me redresse et fais pivoter ma femme. Je découvre seulement à cet instant l'engin dont notre partenaire est doté...Une vraie matraque; non seulement elle est longue mais terriblement épaisse, presque le double de la mienne.
Je comprends pourquoi elle a tellement crié quand il s'est enfoncé dans son ventre!
Elle s'agenouille face à lui et elle le caresse avant de le prendre entre ses lèvres. Le braquemard est si épais qu'elle doit ouvrir en grand la bouche; il lui ébouriffe les cheveux et lui susurre des petits mots...
-"Oui..oui comme çà...Oui , ta langue oui ..C'est bien ..."
Moi je me suis placé derrière elle et j'entre sans peine dans la chatte détrempée et élargie.
C'est pour moi une sensation nouvelle de la sentir si ouverte...Çà me rappelle les premières pénétrations après ses grossesses.
Elle s'applique sur la verge de notre partenaire, alternant les succions avec des rapides visites de sa langue sur les bourses gonflées. Il gémit à son tour et je décide de reprendre la direction des événements... Je demande à Pierre de s'allonger sur le dos et j'amène MY à le chevaucher…
Il se guide dans l'entrée de sa chatte et elle descend dessus; il comprend où je veux en venir et il la couche sur lui ; ils sont bouche contre bouche...Moi je caresse doucement les fesses de ma femme, mes doigts descendent dans le sillon, atteignent l'anneau rose foncé; un peu de salive, je fais entrer l'index, puis le majeur...Je suis dans une érection peu commune.
Je m'installe plus commodément contre sa croupe et je pose mon gland contre le puits froncé...Je n'ai pas besoin de beaucoup forcer...Je m'enfonce dans le corridor opaque et ressens la présence de la grosse bite dans le couloir voisin...Pierre me demande:
- "C'est bon?"
- "Oh...putain ...Oui , quel pied!"
La suite de mon fantasme se réalise...Ma femme ondule entre moi qui visite ses reins et cet homme, cet inconnu , logé dans son ventre . Je sens à travers la fine paroi le relief de l'engin épais qui alterne ses poussées avec les miennes…
Un bref instant , je me dis "Il faut tenir, ne pas me laisser aller à jouir maintenant!"
MY gémit de plus en plus sous le double assaut qu'elle reçoit, nous demandant de faire plus doucement. Mais ni Pierre ni moi ne tenons compte de ses supplications et nous la visitons en cadence. Pierre attire le visage de ma femme et leurs bouches se joignent. La cavalcade dure plusieurs minutes et je me sens de plus en plus dur dans la croupe de ma femme. Notre partenaire alterne les baisers avec des mots chargés de sensualité...Il lui dit qu'il aime la chaleur de son ventre , qu'elle s'élargit bien , il lui parle bouche contre bouche et elle s'agite de plus en plus entre nous...Elle crie maintenant , incapable de maîtriser l'orgasme qui s'empare de tout son être. Je devine qu'il est temps de la ménager et tandis qu'elle s'affale sur le corps de notre partenaire, je me dégage du corridor de ses reins. Ma verge est auréolée d'une couronne brune et odorante et le me lève avec précaution pour ne pas salir le couvre-lit...Je vais à la salle de bain pour procéder à quelques ablutions et boire un verre d'eau. Des gémissements et des bruits de sommier me parviennent. Je devine que Pierre est en train de remettre le couvert...La voix étouffée de ma femme me parvient...Puis ses soupirs, ses gémissements.
Dans la pénombre je m'aventure sans bruit jusqu'à la limite du rai de lumière et je vois que Pierre est sur elle, il lui a relevé les cuisses contre les épaules et il la besogne , labourant sa chatte à grands coups de reins...Ses couilles tapent contre la croupe blanche évasée sur les draps à chaque fois qu'il cogne au fond du ventre en fusion. Elle halète , lui demande de faire plus doucement.
Il la questionne: "Tu aimes ma bite?Tu aimes? Dis le...Dis le!"
Elle répond que oui elle aime sa bite , alors il la pistonne encore plus fort...Elle geint et cette fois c'est elle qui attire le visage de l'homme et quémande un baiser...La bouche de Pierre dévore littéralement celle de ma femme et je vois qu'elle se tend , succombant à un nouvel orgasme... J'entre doucement dans la chambre; elle ouvre les yeux et me demande:
-"Tu étais là?"
Je lui baise les paupières, le nez , la bouche...Son haleine sent la salive.
Oui j'étais là...J'aime qu'elle jouisse comme çà.
Pierre est collé contre ses fesses , il lui caresse les seins, pinçant les aréoles...Je me couche sur le dos et je dis à MY:
-"Viens sur moi" Elle se redresse en vient me chevaucher...Ma verge tendue trouve la brèche de son ventre et pénètre sans difficulté , l'expression "garage à bites" me vient à l'esprit !
Je l'incite à remuer sur moi, mes bras enserrent sa taille , mes mains descendent sur ses fesses et les écartent. Pierre comprend l'invitation.
Il se place à genoux derrière elle. Je la rehausse pour qu'elle lui offre la plénitude de sa lune blanche. Il s'extasie:- "Putain quel pétard !.." Il se penche et sa bouche parcourt le sillon fessier. Je devine que la langue arrive au contact de l'anneau parfumé...
Elle gémit contre ma bouche, cette fois c’est elle qui me force à un baiser.
Au tangage du lit je sais que Pierre s'installe contre sa croupe..Il salive sur ses doigts et prépare le passage...Il se guide tandis que je sors presque complètement du vagin...Elle crie, supplie "Doucement...Doucement...Ohhh que c'est gros...Ohh doucement...Nnnonnn!"
Il ricane...
-"Lààà...Oui ma belle...Voilà, ouvre bien ton cul...Oui, voilà çà entre" et disant cela il comprime la taille de ses deux mains et se propulse d'un trait dans le rectum, arrachant un cri déchirant à Maryvonne. La place est conquise, il ne reste plus qu'à visiter. Plusieurs allées et venues assouplissent le conduit et je me présente à nouveau à l'intérieur du vagin ; l'espace a singulièrement rétréci du fait de la présence énorme dans le couloir voisin , mais c'est une délicieuse sensation que je ressens.
Nous nous entendons à merveille , Pierre et moi et alternant savamment nos poussées, nous faisons connaître à ma femme un orgasme puis un autre avant de nous laisser aller de concert à une double éjaculation qui nous laisse inertes tous les trois durant de longues minutes, jusqu'à ce que je prenne conscience du poids qui m'écrase...Je me dégage ; cette fois les draps reçoivent la preuve ruisselante de nos débordements... Pierre sort à son tour du corridor qui reste entrouvert et palpitant. Il se rend à son tour à la salle de bain. Elle me baise la bouche, me dit qu'elle m'aime, qu'elle a honte...Je lui demande pourquoi
- "Parce que j'ai joui sans toi dans ses bras tout à l’heure, sans toi..."
Je la rassure, je lui dis que moi aussi je l'aime, encore plus...Elle me dit qu'elle doit aller se laver et je la laisse rejoindre Pierre dans la salle de bain...Le bruit de l'eau me parvient , plus plus rien et de nouveau des soupirs, des murmures.
Je me lève sans bruit..La porte est entrouverte. Elle est dans ses bras, il échangent un baiser fougueux...Les paluches pétrissent les fesses de ma femme...Je suis moi-même au comble de l"excitation. Il la fait pivoter et elle prend appui des deux mains sur le rebord de la baignoire. Il la fait se cambrer, il écarte les fesses qu'il vient de profaner, il fléchit sur les genoux et ajuste son engin à nouveau tendu...Elle proteste:
"Non...Pas par là...Je vais avoir trop mal ». Alors il abaisse légèrement le mufle de la bête et pénètre l'ouverture la plus large. Très vite il caracole et elle a bien du mal à se tenir debout...Il jouit à nouveau, trouvant encore assez de ressources pour se répandre, tandis que MY cette fois est au bord de la syncope...
Je les laisse reprendre leurs esprits et il sort le premier de la salle de bain, sourire narquois aux lèvres. Il me dit:
"Elle est drôlement chaude ta petite femme, c'était super !" Il se rhabille , ma femme sort à son tour et toute nue, il l'enlace pour un long baiser d'adieu, puis nous quitte .
Elle s'habille à son tour , prenant soin de garnir le fond de son slip d'une protection. Rougissante, elle me dit:
"Çà coule... En plus je crois que mes règles vont arriver plus tôt que prévu..."
Je lui souris:
"C'est vrai que nous avons été très amoureux de toi...Ça t'a plu?"
Ce n 'est que plus tard, dans la cour de l'hôtel, alors que nous allons vers la voiture qu'elle me répond bouche contre bouche :
"Oui ça m'a plu mais tu sais il ne faut pas recommencer trop souvent...J'ai peur d'y prendre goût ».
Dans la voiture sur la route du retour nous restons un moment silencieux.
Je roule doucement et laisse ma main remonter entre ses cuisses. Elle ouvre doucement le compas de ses cuisses et mes doigts se faufilent dans l'entre-jambes. Elle grimace quand ils effleurent son périnée et me repousse:
"Arrête çà coule, devant et derrière, tu vas avoir les doigts tout sales ».
Arrivés à la maison , elle se lave à nouveau ; effectivement ses règles arrivent, déclenchées par l'intensité des rapports que nous avons eus.
Elle enfile une chemise de nuit bien sage et nous nous endormons comme des masses.
Ainsi se déroula notre première aventure "à trois".
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
très belle histoire, merci d'avoir partagé votre expérience
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Si je m’attendais a un récit pareil, il y a tout dedans de l’amour de la sensualité, l’éveil du coquine.
J’ai même cru entendre les cris de MY, à vivre, à lire. Si tu a envie de continuer de nous raconter votre histoire de candaulisme, hésite pas
J’ai même cru entendre les cris de MY, à vivre, à lire. Si tu a envie de continuer de nous raconter votre histoire de candaulisme, hésite pas
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
triathletetrio a écrit :superbe récit !
Gecko45 a écrit :très belle histoire, merci d'avoir partagé votre expérience
Merci à vous trois pour vos commentaires. Les aventures triolistes, puis candaulistes, vécues avec ma chérie durant cette période faste de plus de dix ans, ne manquent pas, bien que nous n'ayons jamais été des forcenés du cul à tout prix. J'ai quelques autres textes en cours et je ne manquerai pas de vous les publier, avec si possible des illustrations d'époque.Leo1201 a écrit :Si je m’attendais a un récit pareil, il y a tout dedans de l’amour de la sensualité, l’éveil du coquine.
J’ai même cru entendre les cris de MY, à vivre, à lire. Si tu a envie de continuer de nous raconter votre histoire de candaulisme, hésite pas
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Je vois que tu es de Touraine. Une de nos belles aventures s'est justement passée à Tours. Je la raconterai peut-être prochainement.hom3741 a écrit :superbe récit
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Très beau récit, bien écrit ! Tu nous plonge dans la scène, nous vivons l'éveil de Madame ! Bravo.
N'hésites pas à continuer à écrire, et merci pour ce partage.
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Très belle introduction prometteuse !mamaturebrune a écrit : Ma femme et moi avons entamé il y a trente ans une période intense de relations charnelles. C’était fin 1989 et ça a duré jusqu’en 2000.
Elle se prénomme MY, elle est petite brune frisée. Des rondeurs tout en étant assez mince. La taille fine surplombe des hanches épanouies et une croupe des plus dodues. Ses seins sont en poires, pas énormes mais lourds, avec des larges aréoles rose foncé. Elle a eu deux gros bébés qui ont laissé quelques traces indélébiles...
Je l'ai connue quand elle avait 17 ans et demi et épousée un an plus tard. Je n'étais pas son premier homme , elle en avait connu deux autres avant moi, mais j'ai été le premier à pénétrer ses reins.
L'histoire qui suit débute en Novembre 1989 :
MY a 37 ans mais on lui en donne au plus 25, 1,55m 48 kg(elle va prendre du poids par la suite), un visage adorable, frisée au carré.
Elle accepte sur mon insistance de s'habiller court , portant des petites jupes plissées ou au contraire très moulantes. Je l'ai également convaincue de porter quand nous sortons ou à la maison pour me faire plaisir des bas avec porte-jarretelles. Depuis quelque temps, je me suis procuré un godemiché et elle accepte avec une jouissance sourde mêlée de honte que je la pénètre simultanément avec cet engin pendant que j'occupe l'un ou l'autre corridor. Elle m'a même avoué qu'elle imaginait ainsi qu'elle recevait un deuxième homme en elle.
Bien que refusant au départ l'idée qu'un autre homme se mêle à nos ébats, elle finit un jour par accepter que je fasse une tentative sur minitel. Je trouve un homme de la région de Metz, avec qui je prends contact et elle consent à parler avec lui au téléphone. Le soir même dans notre lit, alors que je la baise tout en lui travaillant le petit trou avec le godemiché, elle me dit dans un souffle:
-"Tu sais , si on le rencontre, je préfère que ce soit à l'hôtel."
Moi je suis sur un nuage...
Je reprends contact avec Pierre et nous convenons d'un rendez vous sur le parking d'un hôtel Campanile à Nancy. Pour le dimanche soir suivant.
Il demande que MY soit en robe avec des dessous sexy.
Elle se prépare avec soin, shampooing, frisettes , toilette intime, parfum, rouge à lèvres. Elle enfile des bas fumés tenus par un porte-jarretelles noir et par dessus le porte-jarretelles un petit slip noir aussi dont l'arrière se limite à un minuscule triangle en tulle, noyé entre les deux hémisphères laiteux de la croupe.
Elle passe une robe noire en tricot qui arrive au dessus du genou, boutonnée sur le devant par des boutons pressions, une petite veste en fourrure, des escarpins à talons mi hauts.
Nous nous retrouvons comme convenu ; il nous attend dans sa voiture.
Nous faisons rapidement connaissance; il a 30 ans mais en parait davantage, taille moyenne , très brun , costaud, petite moustache, assez sûr de lui.
Je vais réserver la chambre que je paie en espèces et je prends la clé.
Nous décidons d'aller dans un restaurant en ville pour discuter. Il monte à l'arrière de notre voiture et pendant le trajet nous échangeons quelques banalités.
Arrivés au restaurant , MY s 'assied à côté de lui et nous passons commande. Il la complimente sur son physique et lui dit qu'elle est bien mieux que ce qu'il attendait. Elle rougit sous le compliment et il lui demande en la tutoyant: "Et moi? Je te plais?"
Elle répond un tout petit "Oui" et rougit encore plus.
Le repas se déroule assez normalement ; Pierre nous apprend qu'il a déjà pratiqué le trio avec des couples , mais que dans les deux cas , les femmes n'étaient pas aussi jolies que MY. Au moment du café, elle se lève pour aller aux toilettes; il la suit du regard, les yeux rivés sur son postérieur. Il me dit qu'il la trouve très bandante...
Je sors de ma poche un étui à photos. Je l'ai photographiée sur la pelouse en train de bronzer nue au soleil de face et de dos.Il me dit:
-"J'ai hâte d'être à l'hôtel...Quel cul!"
À ce moment elle revient des toilettes et me gronde:
-"Pourquoi montres tu ces photos?"
Pierre lui caresse les reins au moment où elle s'assoit
--"IL a bien raison de me montrer çà; j'ai vraiment envie de voir la réalité. Toute nue ».
Je règle l'addition et nous sortons. Arrivés à la voiture, je dis à ma femme:
-"Donne moi ta veste et monte à l'arrière avec Pierre, vous allez faire connaissance."
Elle me donne sa veste, Pierre lui ouvre galamment la portière et s'installe à côté d'elle.
Nous sommes à peine démarrés que je le vois dans le rétroviseur se pencher sur elle.Leurs bouches se joignent, moi je bande comme un fou.
Nous quittons le centre ville et j'entends des soupirs, puis le petit bruit que font les boutons pressions de la robe qui s'ouvre . Je vois les seins blancs sur lesquels il se penche; je devine qu'il veut déboutonner la robe jusqu’en bas, mais qu'elle ne le laisse pas faire. Je l'entends murmurer:
-"Non, non...Pas ici".
La bouche de Pierre reprend la sienne et elle noue ses mains sur sa nuque; j'imagine qu'il est en train de lui caresser les seins.
Nous arrivons dans la cour de l'hôtel et nous garons. L'avantage des hôtels Campanile c’est qu'on n'est pas obligé de passer par la réception.
MY reboutonne sa robe et nous sortons de la voiture; elle est un peu décoiffée et son rouge à lèvres a souffert.
Notre chambre est au rez-de-chaussée sur l'arrière et nous y entrons; j'allume la lampe de chevet. J'ai demandé une chambre avec un grand lit.
À peine entrés, je prends ma femme dans mes bras et je lui roule un patin...Sa bouche sent la salive de l'homme; elle répond frénétiquement à mon baiser; alors je commence à la dévêtir , j’ôte la robe et la jette sur le fauteuil. Pierre est derrière elle et se régale du spectacle de l'arrière train joufflu à peine masqué par le slip minuscule, la taille marquée par le porte jarretelles, la peau blanche des cuisses qui contraste avec le sombre des bas.
Il s'approche contre elle et lui dit:
-"Tu es vraiment appétissante"
Pierre se colle contre le dos de MY...Pendant que ma bouche reprend la sienne. Notre compagnon se contorsionne et je devine qu'il se défait de son pantalon et de son slip qu'il laisse choir sur la moquette. Puis il quitte sa chemise; il est nu contre le dos de ma femme. Il s'accroupit et je sens qu'il baisse le string noir; elle lève un pied puis l'autre pour l'aider à la dénuder. Il se recule un instant pour contempler la croupe qui s'offre à lui en gros plan. Il me complimente:
- "Elle a un sacré cul, vraiment...Encore mieux que sur les photos!"
J'interromps mon baiser et je fais pivoter ma femme face à lui. Il la détaille, il se redresse , baise les yeux mis clos, descend sur la bouche qu'il prend à son tour. Elle noue ses mains sur la nuque de l'homme; à mon tour de je me déshabille rapidement. MY n 'a plus que ses bas et son porte-jarretelles. C'est vrai qu'elle a une sacrée paire de fesses!
La main droite de Pierre caresse les seins, descend sur le ventre, entre leurs deux corps, arrive au pubis et je devine qu'un ou deux doigts cherchent au milieu de la jungle et commencent à visiter la grotte de ma petite femme.
Ses hanches commencent à onduler d'une manière significative…
L'homme semble être un expert.
Il se détache d'elle et me dit: "C'est bien , elle est drôlement chaude" Je murmure à l'oreille de ma femme:
"Viens, on va sur le lit ».
Je m'allonge sur le dos et elle s'agenouille entre mes jambes...Sa jolie bouche s'empare de ma bite et elle commence à me sucer avec application.
Pierre s'installe à son tour derrière elle et son visage disparaît à mes yeux, je devine que sa bouche à lui descend dans le sillon fessier de ma femme. MY me confirme par ses gémissements qu'il est en train de la visiter de sa langue. Pierre la mange littéralement, il visite allègrement le petit trou puis la chatte de ma femme. Quant à elle , elle s'active de plus belle, me suçant tour à tour le gland, la hampe et les couilles. Notre partenaire se redresse, la bouche luisante de salive et de sécrétions. Il la saisit aux hanches et se guide d'une main à l'entrée du corridor .
Il se propulse d'un coup et elle cesse sa fellation dans un hurlement !
Je n'en reviens pas… C'est la première fois que ma femme se fait pénétrer par un autre depuis que nous nous connaissons...Mon vieux fantasme se réalise!
Pierre se retire presque intégralement d'elle et je réalise que c'est bien le vagin qu'il pénètre car il me demande:
-" Je sens quelque chose , elle a un stérilet? » C'est elle qui répond:
-"Oui il faut faire plus doucement.. Tu es très long" Pour toute réponse , il replonge en elle, la faisant à nouveau crier. Moi j'appuie sur sa tête pour lui faire reprendre sa fellation et elle recommence à me sucer pendant que notre étalon lui pilonne le ventre. Il ne cesse de me complimenter:
-" Elle est vraiment bonne ta femme...C'est tout chaud dans son ventre...Qu'est ce qu'elle mouille!"
En effet je distingue les bruits humides du coït intense qui se déroule .
Je demande à Pierre:
-"Tu veux qu'elle te suce?"
- "Oui !"
Il sort du marécage, provoquant un bruit d'air qui le fait sourire...
Je me redresse et fais pivoter ma femme. Je découvre seulement à cet instant l'engin dont notre partenaire est doté...Une vraie matraque; non seulement elle est longue mais terriblement épaisse, presque le double de la mienne.
Je comprends pourquoi elle a tellement crié quand il s'est enfoncé dans son ventre!
Elle s'agenouille face à lui et elle le caresse avant de le prendre entre ses lèvres. Le braquemard est si épais qu'elle doit ouvrir en grand la bouche; il lui ébouriffe les cheveux et lui susurre des petits mots...
-"Oui..oui comme çà...Oui , ta langue oui ..C'est bien ..."
Moi je me suis placé derrière elle et j'entre sans peine dans la chatte détrempée et élargie.
C'est pour moi une sensation nouvelle de la sentir si ouverte...Çà me rappelle les premières pénétrations après ses grossesses.
Elle s'applique sur la verge de notre partenaire, alternant les succions avec des rapides visites de sa langue sur les bourses gonflées. Il gémit à son tour et je décide de reprendre la direction des événements... Je demande à Pierre de s'allonger sur le dos et j'amène MY à le chevaucher…
Il se guide dans l'entrée de sa chatte et elle descend dessus; il comprend où je veux en venir et il la couche sur lui ; ils sont bouche contre bouche...Moi je caresse doucement les fesses de ma femme, mes doigts descendent dans le sillon, atteignent l'anneau rose foncé; un peu de salive, je fais entrer l'index, puis le majeur...Je suis dans une érection peu commune.
Je m'installe plus commodément contre sa croupe et je pose mon gland contre le puits froncé...Je n'ai pas besoin de beaucoup forcer...Je m'enfonce dans le corridor opaque et ressens la présence de la grosse bite dans le couloir voisin...Pierre me demande:
- "C'est bon?"
- "Oh...putain ...Oui , quel pied!"
La suite de mon fantasme se réalise...Ma femme ondule entre moi qui visite ses reins et cet homme, cet inconnu , logé dans son ventre . Je sens à travers la fine paroi le relief de l'engin épais qui alterne ses poussées avec les miennes…
Un bref instant , je me dis "Il faut tenir, ne pas me laisser aller à jouir maintenant!"
MY gémit de plus en plus sous le double assaut qu'elle reçoit, nous demandant de faire plus doucement. Mais ni Pierre ni moi ne tenons compte de ses supplications et nous la visitons en cadence. Pierre attire le visage de ma femme et leurs bouches se joignent. La cavalcade dure plusieurs minutes et je me sens de plus en plus dur dans la croupe de ma femme. Notre partenaire alterne les baisers avec des mots chargés de sensualité...Il lui dit qu'il aime la chaleur de son ventre , qu'elle s'élargit bien , il lui parle bouche contre bouche et elle s'agite de plus en plus entre nous...Elle crie maintenant , incapable de maîtriser l'orgasme qui s'empare de tout son être. Je devine qu'il est temps de la ménager et tandis qu'elle s'affale sur le corps de notre partenaire, je me dégage du corridor de ses reins. Ma verge est auréolée d'une couronne brune et odorante et le me lève avec précaution pour ne pas salir le couvre-lit...Je vais à la salle de bain pour procéder à quelques ablutions et boire un verre d'eau. Des gémissements et des bruits de sommier me parviennent. Je devine que Pierre est en train de remettre le couvert...La voix étouffée de ma femme me parvient...Puis ses soupirs, ses gémissements.
Dans la pénombre je m'aventure sans bruit jusqu'à la limite du rai de lumière et je vois que Pierre est sur elle, il lui a relevé les cuisses contre les épaules et il la besogne , labourant sa chatte à grands coups de reins...Ses couilles tapent contre la croupe blanche évasée sur les draps à chaque fois qu'il cogne au fond du ventre en fusion. Elle halète , lui demande de faire plus doucement.
Il la questionne: "Tu aimes ma bite?Tu aimes? Dis le...Dis le!"
Elle répond que oui elle aime sa bite , alors il la pistonne encore plus fort...Elle geint et cette fois c'est elle qui attire le visage de l'homme et quémande un baiser...La bouche de Pierre dévore littéralement celle de ma femme et je vois qu'elle se tend , succombant à un nouvel orgasme... J'entre doucement dans la chambre; elle ouvre les yeux et me demande:
-"Tu étais là?"
Je lui baise les paupières, le nez , la bouche...Son haleine sent la salive.
Oui j'étais là...J'aime qu'elle jouisse comme çà.
Pierre est collé contre ses fesses , il lui caresse les seins, pinçant les aréoles...Je me couche sur le dos et je dis à MY:
-"Viens sur moi" Elle se redresse en vient me chevaucher...Ma verge tendue trouve la brèche de son ventre et pénètre sans difficulté , l'expression "garage à bites" me vient à l'esprit !
Je l'incite à remuer sur moi, mes bras enserrent sa taille , mes mains descendent sur ses fesses et les écartent. Pierre comprend l'invitation.
Il se place à genoux derrière elle. Je la rehausse pour qu'elle lui offre la plénitude de sa lune blanche. Il s'extasie:- "Putain quel pétard !.." Il se penche et sa bouche parcourt le sillon fessier. Je devine que la langue arrive au contact de l'anneau parfumé...
Elle gémit contre ma bouche, cette fois c’est elle qui me force à un baiser.
Au tangage du lit je sais que Pierre s'installe contre sa croupe..Il salive sur ses doigts et prépare le passage...Il se guide tandis que je sors presque complètement du vagin...Elle crie, supplie "Doucement...Doucement...Ohhh que c'est gros...Ohh doucement...Nnnonnn!"
Il ricane...
-"Lààà...Oui ma belle...Voilà, ouvre bien ton cul...Oui, voilà çà entre" et disant cela il comprime la taille de ses deux mains et se propulse d'un trait dans le rectum, arrachant un cri déchirant à Maryvonne. La place est conquise, il ne reste plus qu'à visiter. Plusieurs allées et venues assouplissent le conduit et je me présente à nouveau à l'intérieur du vagin ; l'espace a singulièrement rétréci du fait de la présence énorme dans le couloir voisin , mais c'est une délicieuse sensation que je ressens.
Nous nous entendons à merveille , Pierre et moi et alternant savamment nos poussées, nous faisons connaître à ma femme un orgasme puis un autre avant de nous laisser aller de concert à une double éjaculation qui nous laisse inertes tous les trois durant de longues minutes, jusqu'à ce que je prenne conscience du poids qui m'écrase...Je me dégage ; cette fois les draps reçoivent la preuve ruisselante de nos débordements... Pierre sort à son tour du corridor qui reste entrouvert et palpitant. Il se rend à son tour à la salle de bain. Elle me baise la bouche, me dit qu'elle m'aime, qu'elle a honte...Je lui demande pourquoi
- "Parce que j'ai joui sans toi dans ses bras tout à l’heure, sans toi..."
Je la rassure, je lui dis que moi aussi je l'aime, encore plus...Elle me dit qu'elle doit aller se laver et je la laisse rejoindre Pierre dans la salle de bain...Le bruit de l'eau me parvient , plus plus rien et de nouveau des soupirs, des murmures.
Je me lève sans bruit..La porte est entrouverte. Elle est dans ses bras, il échangent un baiser fougueux...Les paluches pétrissent les fesses de ma femme...Je suis moi-même au comble de l"excitation. Il la fait pivoter et elle prend appui des deux mains sur le rebord de la baignoire. Il la fait se cambrer, il écarte les fesses qu'il vient de profaner, il fléchit sur les genoux et ajuste son engin à nouveau tendu...Elle proteste:
"Non...Pas par là...Je vais avoir trop mal ». Alors il abaisse légèrement le mufle de la bête et pénètre l'ouverture la plus large. Très vite il caracole et elle a bien du mal à se tenir debout...Il jouit à nouveau, trouvant encore assez de ressources pour se répandre, tandis que MY cette fois est au bord de la syncope...
Je les laisse reprendre leurs esprits et il sort le premier de la salle de bain, sourire narquois aux lèvres. Il me dit:
"Elle est drôlement chaude ta petite femme, c'était super !" Il se rhabille , ma femme sort à son tour et toute nue, il l'enlace pour un long baiser d'adieu, puis nous quitte .
Elle s'habille à son tour , prenant soin de garnir le fond de son slip d'une protection. Rougissante, elle me dit:
"Çà coule... En plus je crois que mes règles vont arriver plus tôt que prévu..."
Je lui souris:
"C'est vrai que nous avons été très amoureux de toi...Ça t'a plu?"
Ce n 'est que plus tard, dans la cour de l'hôtel, alors que nous allons vers la voiture qu'elle me répond bouche contre bouche :
"Oui ça m'a plu mais tu sais il ne faut pas recommencer trop souvent...J'ai peur d'y prendre goût ».
Dans la voiture sur la route du retour nous restons un moment silencieux.
Je roule doucement et laisse ma main remonter entre ses cuisses. Elle ouvre doucement le compas de ses cuisses et mes doigts se faufilent dans l'entre-jambes. Elle grimace quand ils effleurent son périnée et me repousse:
"Arrête çà coule, devant et derrière, tu vas avoir les doigts tout sales ».
Arrivés à la maison , elle se lave à nouveau ; effectivement ses règles arrivent, déclenchées par l'intensité des rapports que nous avons eus.
Elle enfile une chemise de nuit bien sage et nous nous endormons comme des masses.
Ainsi se déroula notre première aventure "à trois".
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
En attendant que je publie à nouveau et pour patienter, voici une photo en mode coquine d'elle à l'époque et une datant d'après notre période chaude, 15 ans plus tard.
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Rien n’a changé en 15 ans... toujours aussi chaude et ouverte !mamaturebrune a écrit : En attendant que je publie à nouveau et pour patienter, voici une photo en mode coquine d'elle à l'époque et une datant d'après notre période chaude, 15 ans plus tard.
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Si !!! Elle ne veut plus faire de rencontres triolistes. Enfin j'ai quand-même un espoir avec un membre du forum: peut-être que...Fourpleasure92 a écrit :Rien n’a changé en 15 ans... toujours aussi chaude et ouverte !
Et maintenant c'est plus 15 ans : ça fait 20 ans...
La voici actuelle :
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Elle est charmante, et jai du mal a la regarder dans les Yeux ! Lolmamaturebrune a écrit :Si !!! Elle ne veut plus faire de rencontres triolistes. Enfin j'ai quand-même un espoir avec un membre du forum: peut-être que...Fourpleasure92 a écrit :Rien n’a changé en 15 ans... toujours aussi chaude et ouverte !
Et maintenant c'est plus 15 ans : ça fait 20 ans...
La voici actuelle :
Quest ce qui pourrait la faire changer d’avis?
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Vraiment très belle jeune, maintenant ses seins ont pris encore plus de volume.
Elle va faire exploser les braguettes
Elle va faire exploser les braguettes
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Peut-être la tienne de braguette? J'espère...Leo1201 a écrit :Elle va faire exploser les braguettes
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Braguette ouverte !mamaturebrune a écrit :Peut-être la tienne de braguette? J'espère...Leo1201 a écrit :Elle va faire exploser les braguettes
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Franchement ta femme est vraiment toujours désirable !mamaturebrune a écrit :Si !!! Elle ne veut plus faire de rencontres triolistes. Enfin j'ai quand-même un espoir avec un membre du forum: peut-être que...Fourpleasure92 a écrit :Rien n’a changé en 15 ans... toujours aussi chaude et ouverte !
Et maintenant c'est plus 15 ans : ça fait 20 ans...
La voici actuelle :
Et cerise : par rapport aux jeunettes mijaurées, elle ne sent au moins plus la savonnette !
J'adore la photo où elle lit le magazine
Des seins à bouffer crus et le reste à maturation, c'est le cas de le dire !
Vite, repartages nous là !
Je suis sûr qu'elle va y reprendre goût ! (Et toi aussi )
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Puisses tu dire vrai !Fly069 a écrit :Vite, repartages nous là !
Je suis sûr qu'elle va y reprendre goût ! (Et toi aussi )
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Quel goût a cette belle chatte bien fournie?mamaturebrune a écrit :Puisses tu dire vrai !Fly069 a écrit :Vite, repartages nous là !
Je suis sûr qu'elle va y reprendre goût ! (Et toi aussi )
- Fly069
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Vraiment encore du vrai potentiel !mamaturebrune a écrit :Puisses tu dire vrai !Fly069 a écrit :Vite, repartages nous là !
Je suis sûr qu'elle va y reprendre goût ! (Et toi aussi )
On fait plus d'échangisme depuis, mais j'aurais bien souhaité me la taper
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Légèrement salée, tout dépend de la chaleur du moment...Fourpleasure92 a écrit :Quel goût a cette belle chatte bien fournie?
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Un jus bien consistant... de quoi la cuisiner pendant des heures ? Hmmmmamaturebrune a écrit :Légèrement salée, tout dépend de la chaleur du moment...Fourpleasure92 a écrit :Quel goût a cette belle chatte bien fournie?
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Nous avons fait de l'échangisme deux fois et elle n'a pas aimé... Et moi je préfère la partager plutôt que de m'occuper d'une autre femme.Fly069 a écrit :On fait plus d'échangisme depuis, mais j'aurais bien souhaité me la taper
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Oui, elle mouille toujours copieusement.Fourpleasure92 a écrit :Un jus bien consistant... de quoi la cuisiner pendant des heures ? Hmmm
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Je la ferais bien degouliner... si elle est d’accord!mamaturebrune a écrit :Oui, elle mouille toujours copieusement.Fourpleasure92 a écrit :Un jus bien consistant... de quoi la cuisiner pendant des heures ? Hmmm
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J'y pense sérieusement...Fourpleasure92 a écrit :Je la ferais bien degouliner... si elle est d’accord!
Sur ce , je vais la rejoindre au dodo.
Bonne nuit.
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Oui, je suis comme toi depuis quelques années aussi, et le plaisir et différent mais trop intensemamaturebrune a écrit :Nous avons fait de l'échangisme deux fois et elle n'a pas aimé... Et moi je préfère la partager plutôt que de m'occuper d'une autre femme.Fly069 a écrit :On fait plus d'échangisme depuis, mais j'aurais bien souhaité me la taper
Dans l'échangisme y a des retenues souvent et des problèmes surtout si les femmes ne sont pas bi comme la mienne,
qui préfère que les hommes
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De notre côté, il y a eu quelques tentatives de séduction à l'égard de la mienne par d'autres femmes, mais elle n'a jamais été vraiment réceptive et lors des deux rencontres échangistes que nous avons connues, nous étions dans des chambres séparées et le comble est que dans ces deux cas, c'est moi qui ai initié la femme du couple à la sodomie !Fly069 a écrit :Dans l'échangisme y a des retenues souvent et des problèmes surtout si les femmes ne sont pas bi comme la mienne,
qui préfère que les hommes
En revanche , ces deux fois là, MY est restée sur du très classique avec ses hommes, d'après ce qu'elle m'a raconté après, me disant même, sur le chemin du retour après la deuxième rencontre: "Quand on sera à la maison, j'ai envie que tu m'encules ! "
C'est rare qu'elle s'exprime de cette manière. Alors, oubliant la fatigue, juste le temps de boire un café pour relancer le cardio et j'ai œuvré...Cette soirée qui avait commencé à 18h et à 200km de là et que nous relancions dans notre lit à 3h du matin fut mémorable
Photos de cette deuxième partie de la nuit :
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C’est une chance que ta femme préfère les hommes pour nous et pour te régaler les yeuxFly069 a écrit :Oui, je suis comme toi depuis quelques années aussi, et le plaisir et différent mais trop intensemamaturebrune a écrit :Nous avons fait de l'échangisme deux fois et elle n'a pas aimé... Et moi je préfère la partager plutôt que de m'occuper d'une autre femme.Fly069 a écrit :On fait plus d'échangisme depuis, mais j'aurais bien souhaité me la taper
Dans l'échangisme y a des retenues souvent et des problèmes surtout si les femmes ne sont pas bi comme la mienne,
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Qu’elle belle position, j’aimerai trop pouvoir glisser dans cette belle paire de fessesmamaturebrune a écrit :De notre côté, il y a eu quelques tentatives de séduction à l'égard de la mienne par d'autres femmes, mais elle n'a jamais été vraiment réceptive et lors des deux rencontres échangistes que nous avons connues, nous étions dans des chambres séparées et le comble est que dans ces deux cas, c'est moi qui ai initié la femme du couple à la sodomie !Fly069 a écrit :Dans l'échangisme y a des retenues souvent et des problèmes surtout si les femmes ne sont pas bi comme la mienne,
qui préfère que les hommes
En revanche , ces deux fois là, MY est restée sur du très classique avec ses hommes, d'après ce qu'elle m'a raconté après, me disant même, sur le chemin du retour après la deuxième rencontre: "Quand on sera à la maison, j'ai envie que tu m'encules ! "
C'est rare qu'elle s'exprime de cette manière. Alors, oubliant la fatigue, juste le temps de boire un café pour relancer le cardio et j'ai œuvré...Cette soirée qui avait commencé à 18h et à 200km de là et que nous relancions dans notre lit à 3h du matin fut mémorable
Photos de cette deuxième partie de la nuit :
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je me dis de plus en plus que tu as tes chances...Leo1201 a écrit :Qu’elle belle position, j’aimerai trop pouvoir glisser dans cette belle paire de fesses
Son joufflu n'est plus aussi bronzé qu'il y a 20 ans, mais son petit brun est toujours aussi accueillant
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Elle a toujours eu ce sourire tellement séduisant.
En tout cas tu l’ouvre bien son joufflue, gros coup de langue à mettre dedans
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C'est vrai qu'elle peut susciter encore pas mal d'enviesmateurpervers a écrit :un vrai bon cul que l on veut mettre
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Oui, ce n'est plus une jouvencelle...Pow-mla a écrit :Hummm superbe cul bien mature
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Cette belle chatte bien poilue ! À déguster sans modération
Fan de salopes matures présentées par leurs maris
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J'espère que tu pourras y goûter un jour, dans ton camion ou ailleurs...Nous allons quatre on cinq fois par an faire du vélo dans l'Aude et l'Hérault. Qui sait ?Pow-mla a écrit :Cette belle chatte bien poilue ! À déguster sans modération
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Quelques photos pour toi "Leo" :le genre de situation que j'aimerais bien partager avec toiLeo1201 a écrit :Un vrai bon cul a prendre
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Un petit canon quand elle était plus jeune !
Sinon une mature à déguster tout cru !
Sinon une mature à déguster tout cru !
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Oui elle avait 44 ans sur ces photos et un certain succès...Fly069 a écrit :Un petit canon quand elle était plus jeune !
Sinon une mature à déguster tout cru !
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Superbe dans cette jupe et deviner son barbu sans barrière un regal.
Une belle nature à découvrir
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Sans la jupe et sans rien du tout, à part son poilu qui n'est pas inconnu. Je te l'envoie non floutée en MPLeo1201 a écrit :Superbe dans cette jupe et deviner son barbu sans barrière un regal.
Une belle nature à découvrir
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Content qu'elle te plaise. Sur cette photo, elle avait 45ans. 20 ans ont passé depuis...Gecko45 a écrit :très belle dame
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Une superbe femme mature bien conservée !
Très ,très bandante, cette jolie épouse libertine ...
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Superbe plastique et jolie toison naturelle. Madame est fort jolie et avenanteGecko45 a écrit : très belle dame - merci du partage !
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Oui, petite (1m55) mais pas mauviette : à 65 ans, après une chute à vélo, épaule luxéegdiabolo a écrit :Superbe plastique et jolie toison naturelle. Madame est fort jolie et avenante
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Même blessé toujours aussi bandantemamaturebrune a écrit :Oui, petite (1m55) mais pas mauviette : à 65 ans, après une chute à vélo, épaule luxéegdiabolo a écrit :Superbe plastique et jolie toison naturelle. Madame est fort jolie et avenante
Fan de salopes matures présentées par leurs maris
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Juste une épaule luxée, un peu de chance. Au début on sait que la clavicule y passe souvent chez les cyclistes.
Une preuve qu’elle n’a pas,peur du loup
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Une épaule luxée n'enlève rien à tout le plaisir que l'on peut apporter à la belle...
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C'est vrai qu'il y a d'autres parties dont on peut s'occuper sans la faire souffrir...gdiabolo a écrit :Une épaule luxée n'enlève rien à tout le plaisir que l'on peut apporter à la belle...
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Avant de continuer le récit de nos aventures triolistes-candaulistes, je dois vous raconter nos débuts de couple. J'avais écrit tout cela depuis un bon moment et publié sur un site dédié. Pris par d'autres occupations, j'ai cessé d'écrire mais j'ai conservé ces "nouvelles" relatives essentiellement à notre couple, quelques fois fantasmées, mais toujours inspirées par notre histoire.
Cela a commencé en 1970, elle avait 18 ans et moi 23.
Les lignes qui suivent sont un premier volet qui sera à suivre s'il vous convient:
<< Cela fait maintenant quinze jours que Jean-Paul est reparti vers sa caserne, à sept cents lointains kilomètres. Il est venu passer deux petits jours de permission, la première permission depuis qu’il a été appelé sous les drapeaux, et ces deux jours se sont passés en un éclair pour lui comme pour elle, MY, la douce fiancée.
Il a été appelé voici trois mois à faire son service militaire ; il a 23 ans et bénéficiait d’un sursis pour études. Mais voilà, les études sont terminées et il a dû prendre en mars le chemin du régiment pour effectuer son devoir national durant plus d’un an.
Tous deux se fréquentent depuis l’année dernière. Ils se sont connus lors d’un bal de campagne, comme il y en a tous les samedis et dimanches. Elle avait 17 ans et travaillait déjà, employée comme vendeuse dans une boulangerie du chef lieu de canton. Ils se sont plu, et leur flirt a vite évolué en grand amour, bien qu’elle ait toujours refusé de lui céder, de peur de tomber enceinte et par principe aussi, soucieuse de lui accorder le don de son corps pour la nuit de noces. Car ils ont parlé mariage et ont même décidé que cela se ferait à son retour de l’armée.
Alors il ronge son frein et là encore, durant ces deux jours de retrouvailles, elle n’a qu’en partie capitulé. Ils sont allés danser samedi soir et elle a passé la nuit avec lui, mais si elle a accepté ses caresses les plus osées, nue contre lui dans le lit, elle a réussi à maîtriser l’envie qu’elle avait de se donner.
Il a obtenu au matin sa première fellation, certes maladroite, mais preuve de son amour et gage d’autres caresses à venir. Lui-même s’est longuement occupé à lécher et sucer les seins en poire, le ventre, la brèche enfouie dans l’épaisse forêt de poils noirs, mais – maladresse de sa part ou précipitation – sans parvenir à obtenir la reddition qu’il attendait.
L’après-midi du dimanche, après avoir salué la famille et avant de se rendre à la gare, ils sont allés se promener dans un petit chemin forestier et là, dans la quiétude de la frondaison, à peine troublée par les chants d’oiseaux, elle lui a, à nouveau, prodigué une fellation, l’amenant à la jouissance, penchée sur lui tandis qu’il criait et lui maintenait le visage contre son ventre, l’empêchant de se soustraire à la tornade crémeuse, obligée d’accepter que sa bouche soit envahie par la semence un peu âcre. Après qu’il ait relâché sa prise sur sa nuque, elle s’est redressée, honteuse, le visage empourpré et s’est empressée de s’essuyer les lèvres. Mais contre toute attente, il l’a attirée contre lui pour un baiser profond et, malgré sa gêne, leurs langues se sont mêlées durant un long moment durant lequel la main de Jean-Paul s’est glissée sous sa jupe puis dans son slip, les doigts pénétrant dans la brèche du ventre, au milieu d’un véritable marécage et ressortant écarlates: ses règles arrivaient !
Elle s’est dit peu après, qu’à ce moment là s’il avait insisté, elle se serait donnée à lui sur-le-champ ; mais il était quelque peu refroidi par cet évènement naturel, et il avait eu d’une autre manière son plaisir, et puis l’horaire de la SNCF, c’est l’horaire. Il avait bien fallu se résoudre à reprendre le chemin du village, après qu’elle ait remis un peu d’ordre dans sa tenue.
Ce soir-là c’est Martine, son amie, qui les a emmenés à la gare dans sa petite voiture, tous deux assis à l’arrière pour un dernier câlin. Jean-Paul l’a prévenue qu’il n’aura pas de nouvelle permission avant six semaines, pour cause de manœuvres. Que c’est long, six semaines ! Ils s’écrivaient, souvent au début de son service, chaque jour, maintenant un peu moins, une ou deux lettres par semaine.
Elle a un peu de mélancolie mais Martine vient justement de passer la voir à la boulangerie ce vendredi, pour lui proposer de l’accompagner samedi soir à un bal à Besançon.
— Ça te changera les idées, on va se faire plaisir en dansant !
Elle a hésité puis accepté, se disant qu’en effet ça lui changerait les idées, d’autant plus que Martine lui a assuré, en partant d’un grand éclat de rire, qu’elles rentreraient avant l’aube.
Ce samedi, la journée touche à sa fin. Les derniers clients, habituels retardataires, sont venus en catastrophe acheter un reliquat de pain – comme s’ils ne pouvaient pas venir plus tôt, dixit sa patronne. MY tire le rideau et commence à balayer le sol carrelé. Il n’y a presque pas d’invendus à remiser, et après un dernier coup de torchon sur la vitrine, elle peut déboutonner sa blouse rose, se recoiffer rapidement, faire la bise à sa patronne qui lui recommande la prudence pour ce soir, car elle est au courant de la sortie prévue. Elle lui a d’ailleurs accordé congé pour le lendemain matin, contrairement aux autres dimanche où elle doit travailler.
Elle court jusqu’à la maison de sa sœur, mariée à l’épicier du village, chez qui elle occupe une chambre avec entrée indépendante. Elle se déshabille et s’enferme à la salle de bain. Elle se prélasse quelques minutes sous la douche, se lavant soigneusement, puis après un shampoing, elle sort et, toute nue face au miroir, elle se sèche les cheveux. Elle s’examine, sans auto-complaisance excessive: ses seins, qu’elle juge un peu petits, sont en poires – elle fait 85C de soutien-gorge – mais un peu lourds, tombants et couronnés par deux très larges aréoles rose-foncé.
Les bras levés pour brosser ses cheveux coupés à la garçonne révèlent ses aisselles tapissées de deux buissons bruns, mais à cette époque les aisselles fournies sont chose courante et peu de gens s’en offusquent. Elle attendra l’été pour les raser.
Au bas de son ventre, trop bombé à son goût, le pubis est lui aussi très touffu et ses poils débordent même dans les aines ; là aussi, elle interviendra au mois de juillet, si elle doit aller à la baignade avec Jean-Paul.
Elle se munit du rasoir de son beau-frère pour éliminer quelques poils naissants sur ses jambes qu’elle s’attache à avoir, elles, parfaitement lisses, puis elle vaporise un voile d’eau de toilette sous les aisselles, un peu sur le nombril et enfile un slip en nylon rose qui épouse crûment le galbe des ses hanches un peu larges et accentue la rotondité de son postérieur. Elle met ensuite une "combinette" courte, s’arrêtant à mi-cuisses, du même nylon transparent que le slip ; les bonnets soutiennent les seins sans les comprimer comme le ferait un soutien-gorge, et laissent transparaître l’ombre des aréoles. Un corsage blanc, heureusement opaque, sans manches, une jupette plissée à carreaux écossais, un peu de rouge à lèvres, elle est prête.
Dans sa chambre, elle hésite entre des mocassins plats et des nu-pieds à talons mi-hauts pour lesquels elle opte finalement ; ils mettront en valeur ses chevilles délicates et ses mollets musclés ainsi que ses délicieux orteils vernis du même rouge que les ongles de ses mains. Un gilet noir en coton, son petit sac avec un peu d’argent, ses papiers, la clé de la maison. Elle passe en coup de vent au magasin faire un bisou à sa sœur, encore affairée ; les recommandations d’usage :
— Essaie de ne pas rentrer trop tard, attention à ne pas boire, attention sur la route…
Avec Martine, pas de problème, c’est une conductrice extra. Elle la rejoint un peu avant vingt heures sur le parking de la mairie… Petit bisou et « en route pour la fiesta » comme dit en riant sa copine.
Elles sont à Besançon une demi-heure plus tard et s’autorisent, après avoir garé la voiture, à boire un diabolo menthe à la terrasse d’un café. Quelques garçons en goguette passent et les draguent gentiment, sans qu’elles y prêtent une attention particulière, si ce n’est une réflexion vacharde de Martine à propos d’un des gars à la figure constellée d’acné.
De la salle des fêtes voisine leur parviennent des accords de guitares, des essais de batterie, des trilles d’accordéon ; les musiciens font leurs derniers réglages avant le début de la soirée dansante.
Elles se dirigent enfin vers le guichet d’entrée, règlent le montant de leur ticket qui donne droit à une consommation, reçoivent un coup de tampon encreur sur le poignet, qui leur permettra de sortir de la salle, sans être inquiétées pour y revenir.
Passage obligé au vestiaire où elles déposent sacs à main et gilets. Martine porte, elle, une belle robe à fleurs à volant qui met en valeur sa poitrine généreuse et sa peau claire de rousse.
Un public déjà nombreux garnit la salle et tandis que pas mal d’hommes en sont aux retrouvailles aux abords de la buvette, les femmes papotent. À vingt et une heures pile, l’orchestre attaque les premières mesures d’un paso-doble, et aussitôt les premiers couples tournoient sur la piste.
D’autorité, Martine entraîne MY ; c’est elle qui « conduit » la danse, et la petite brune se prête de bonne grâce aux impulsions que sa cavalière lui donne pour la faire tourner à l’endroit puis à l’envers. Le rythme est soutenu, le tempo assez rapide comme il convient pour lancer une soirée dansante. Un second morceau puis un troisième succèdent au premier et le nombre des danseurs augmente.
Près du bar, trois hommes viennent d’arriver et examinent d’un œil averti l’assemblée dansante. Le plus âgé, un grand brun proche de la quarantaine, commente pour les deux autres :
— Dis donc, la mémé là-bas, elle a déjà vécu, vise un peu les poteaux, Charlie ! dit-il, en poussant son coude dans les côtes de son voisin, un blond d’une trentaine d’années.
— Ouais, t’as raison !
Effectivement, la dame qui fait l’objet de leurs remarques, est engoncée dans une robe droite qui révèle crûment les bourrelets de sa taille replète.
Le troisième, petit et râblé, au crâne déjà passablement dégarni, les interpelle à son tour :
— Visez les deux nanas…
Il désigne du menton MY et Martine qui tournoient.
— La rousse a l’air d’avoir du beau matériel… Qu’est-ce t’en pense, Paulo ?
Paulo, le plus âgé rétorque, impavide :
— Moi je préfère la brunette, ça sent la fausse mince à plein nez… Regarde les guiboles !
La jupe plissée de MY se soulève à chaque virevolte que lui fait faire Martine, découvrant l’arrière de ses cuisses bien galbées.
— Allez, tourne plus vite, cocotte ! dit-il en ricanant.
Comme si les deux filles avaient entendu, elles entament une série de boucles en toupie et le tissu écossais se soulève encore plus, découvrant un bref instant, ce qui n’a pas échappé à l’œil de lynx du quadragénaire, un feston de nylon rose.
La danse s’achève et les danseurs gagnent, qui une place à table, qui le bar pour y boire un premier verre. Presque sans temps mort, l’orchestre enchaîne avec une série de valses. Cette fois les amateurs sont moins nombreux, surtout les hommes mais des couples féminins se forment. Martine se penche pour proposer cette danse à MY quand un homme (Paulo) s’approche et s’interpose en s’adressant à la petite brune :
— On danse, Mademoiselle ?
C’est à peine une question, presque une affirmation. Au même instant s’approche de Martine un garçon qui lui fait la bise. MY se lève de son siège, lissant machinalement sa jupe sur ses fesses et suit Paulo sur la piste. Il est grand mais malgré la différence de taille, il sait immédiatement comment la tenir. Elle pose sa main gauche sur l’épaule de l’homme, appréciant la douceur d’un pull en cachemire, tandis que sa main droite disparaît dans la paume de son cavalier. Il danse très bien, elle le perçoit immédiatement mais c’est lui qui la complimente :
— Hmm ! C’est un vrai plaisir, on dirait que vous avez dansé toute votre vie… Pourtant vous êtes bien jeune, combien ? Dix-neuf, vingt ?
Elle corrige :
— Dix-huit.
Il rit.
— Oh, excusez-moi… Mes compliments !
Elle rougit tandis que, imperceptiblement, la main droite de l’homme assure sa position sur ses reins ; tout juste une petite pression des doigts quand il veut la faire tourner à l’endroit, une autre pour tourner à l’envers. Il dit :
— Moi, c’est Paul, et vous ?
— Maryvonne, on dit MY…
— Enchanté, MY ; d’où êtes-vous ?
Prise de court par ce questionnaire inattendu, elle répond et dit le nom du bourg où elle travaille.
L’orchestre achève la première valse, et laisse à peine le temps aux danseurs de reprendre leur souffle qu’il enchaîne sur une autre, tout aussi rapide. Paulo, qui avait laissé se desserrer l’étreinte de son bras droit, raffermit sa prise à la taille de la petite brune. Sa main se loge davantage au creux des reins, appréciant leur cambrure prononcée.
MY peut se rendre compte que Martine danse avec le garçon qui l’a abordée tout à l’heure et qu’elle semble bien connaître, car elle rit aux éclats tandis que ce dernier la fait tournoyer.
Les valses s’achèvent et galamment Paulo ramène MY jusqu’à sa table où la rejoint Martine ; le copain de celle-ci est allé retrouver un garçon avec lequel il discute près du bar.
— Dis donc, tu attaques avec un senior !
MY rougit.
— Oui, oh tu sais j’ai pas fait attention. Il danse bien en tout cas !
— Alors que le mien, il me fait tourner comme une toupie ! s’esclaffe la rousse en ajoutant :
— Mais il a d’autres talents…
Elle cligne de l’œil.
— Tu le connais ? demande MY
— Oui, on flirte de temps en temps ensemble, il est sympa et il a une belle bagnole.
Les premiers accords de Rock’around the clock retentissent.
— Allez viens, on y va !
Martine l’entraîne presque de force sur la piste où deux garçons viennent les séparer.
MY, comme par hasard, hérite du grand boutonneux qu’elles ont vu à la terrasse du café, avant d’entrer tout à l’heure, mais qui s’avère être un très correct danseur de rock. Le garçon la fait pirouetter, et cette fois la jupe plissée révèle à plusieurs reprises la dentelle rose de la combinette et quand elle se retrousse sur le devant, le galbe charnu de ses cuisses en pleine tension musculaire.
Au bar, Paulo et ses deux acolytes ne perdent pas une miette du spectacle.
— Qu’est ce que j’avais dit, les gars, Vous avez vu les cuisses ? dit le quadra et d’ajouter avec un geste significatif de la main droite , d’après ce que j’ai constaté…Hmm la chute de reins est prometteuse.
— C’est une gamine…
— Justement, elle a dix-huit ans et ce soir j’ai envie de chair fraîche.
— Elle s’appelle comment ta brunette ?
— Maryvonne, je sais c’est d’un kitch… Mais ça me plaît encore davantage !
— Vieux dégueu !
— Peut-être, mais qui c’est qui qui emballe, hein ?
— C’est Paulo ! s’exclament les deux autres en chœur, faisant converger vers eux les regards de leurs voisins.
La série de rock and roll se termine. Après une courte pause, l’éclairage baisse en intensité, le projecteur s’allume, constellant de mille étoiles le plafond noir de la salle tandis que les musiciens jouent l’intro de Whiter stade of pale « le slow de l’été 1967 », version orchestre musette.
Les couples de forment. Sans se presser, Paulo se dirige vers la table de MY alors que Martine suit son flirt vers la pénombre. Il se présente en même temps que le grand dadais boutonneux. D’un regard dissuasif il toise le post-ado et s’adresse à la jeune fille :
— On danse ?
Cette fois ce n’est plus du tout une question. Interloquée, elle balbutie, gênée pour le garçon :
— Mais… Il…
Paulo lui prend la main.
— Allez, on y va, il aura droit à la prochaine.
Puis arrivés sur la piste, alors qu’il l’enlace :
— C’est ton fiancé ?
Elle frémit sous le tutoiement.
— Non… Mon fiancé est à l’armée.
Il ricane :
— Tu es venue tenir compagnie à ta copine ? Remarque, elle a l’air de se débrouiller seule.
Du menton il désigne Martine qui a enfoui son visage au creux de l’épaule de son flirt.
Paulo parle à voix basse :
— Elle est pas mal ta copine, mais toi aussi… Tu es d’origine espagnole ?
— Oui…Comment le savez-vous ?
Il rit doucement.
— À tes yeux, je l’ai deviné à tes yeux… Et à tes cheveux, ajoute-t-il tandis que sa main gauche abandonne la main droite de la jeune fille pour venir caresser les ondulations brunes coiffées au carré.
Elle pose sa main droite abandonnée sur l’épaule virile. L’homme resserre son étreinte, sa main droite descend un peu plus bas, sur les reins. En même temps, sa cuisse s’insère davantage entre celles de la brune… Il se dit : Ça passe ou ça casse…
En fait de casse, rien de ce qu’il craignait ne se produit. MY crispe légèrement ses ongles sur le cachemire de l’homme. Est-ce la fatigue, la musique langoureuse, le cafard qu’elle a ressenti tout au long de la semaine ? Tout comme sa copine Martine avec son flirt, elle laisse aller son visage contre le torse musculeux. Paulo ne s’y trompe pas ; ce ne sera pas la première fois qu’il obtient une capitulation rapide… Mais il ne veut pas brusquer les choses.
Il questionne la jeune fille :
— Ton amoureux est à l’armée pour combien de temps ?
— Encore onze mois. Il a fait la préparation aux officiers de réserve, alors il fait quinze mois au lieu d’un an.
Paulo jubile :
— Onze mois ? Bah ! C’est pas terrible…Tu verras, le temps passe vite.
La main gauche caresse savamment les cheveux de la brune, il penche son visage et la complimente pour son parfum… Il lui demande la marque. Elle lui dit :
— Canoë.
— Hmm ! Ça donne envie de naviguer…
Il se penche encore et ses lèvres viennent effleurer les cheveux, contre la tempe. Elle le laisse faire, elle se sent confusément prise au piège, une sensation qu’elle n’a encore jamais connue…
Derrière, la main droite descend doucement, doucement… Les doigts effleurent le renflement de la croupe, tandis que devant, contre son ventre, elle ne peut ignorer l’apparition d’une masse dure qu’elle a déjà connue plus d’une fois en dansant avec des garçons, Jean-Paul et d’autres avant lui. L’homme bande, il a une érection… Elle frissonne.
— Tu as froid ?
— Non… non !
La main gauche lui caresse maintenant la joue, lui soulève le menton ; elle ne résiste pas. La bouche de l’homme s’empare de la sienne ; mélange de langues, invasion de son palais tandis que ses mains se crispent sur les épaules masculines… La peur d’être vue, que tout le monde la regarde, alors elle interrompt le baiser. Mais non, ils sont dans la partie la plus sombre de la salle, personne ne les a vus. Retour vers un espace éclairé par le halo scintillant du projecteur.
— Ta bouche est très agréable…Elle a le goût que j’aime.
Elle est terrorisée à l’idée qu’on les entende, alors il la dirige à nouveau dans la pénombre. Nouveau baiser, cette fois, plus profond. La langue envahit sa bouche, visite ses dents, repousse sa langue, et derrière la main droite qui descend encore, appréciant le renflement de ses fesses. Haletante, elle arrive à le repousser :
— Non…Il ne faut pas !
Il la ramène dans une zone éclairée et là, elle voit Martine, bouche contre bouche avec son cavalier. Paulo ricane :
— Tu vois, regarde ta copine, elle sait prendre du bon temps !
Un deuxième slow fait suite au premier, tout aussi langoureux , elle aperçoit Martine qui se dirige vers la sortie de la salle avec son copain.
Paulo lui aussi a vu la scène. Il se penche sur elle et leurs lèvres se joignent sans cette fois qu’elle se soucie d’être ou non dans la pénombre. Le baiser est savant, l’exploration intense. Sa langue vient à la rencontre de la langue de l’homme ; mélange de salives. Il se régale de la fraîcheur de ces lèvres presque enfantines. Elle ne peut plus ignorer cette fois l’ampleur de la virilité qui se presse contre son ventre alors que la main droite flatte sa croupe, sa hanche, et descend sur le côté de sa cuisse. Elle se laisse faire. Ils sont au fond du dancing et la main de Paulo fait doucement remonter le tissu de la jupe. Elle se contorsionne alors et le supplie :
— Non…Non…Pas ici !
Il jubile :
— Viens, on sera mieux dehors, sur le parking…
Est-ce là encore la fatigue, le fait d’avoir dansé trop fort ou bien l’accumulation d’une trop longue frustration ? Elle se laisse guider vers la sortie. Elle demande son gilet au vestiaire et il le lui pose galamment sur les épaules. Ils sortent…L’air est plus frais…Ils franchissent le halo de lumière de l’entrée et gagnent la pénombre. Dehors, des couples fument des cigarettes, d’autres parlent à voix basse. Martine a disparu.
Paulo la prend dans ses bras dès qu’ils sont à l'abri des regards. Le baiser est savant, inquisiteur ; les mains expertes la palpent, derrière, devant. Elle s’accroche telle une naufragée aux épaules de l’homme. Une main descend, atteint le bas de sa jupe, remonte le long de la cuisse nue, épouse la hanche, contourne et arrive à la base d’une fesse. Elle supplie :
— Non…Non, il ne faut pas !
Il la pousse doucement vers une voiture sombre , une DS 21. Il cherche rapidement dans sa poche ; le cliquetis d’une clé dans la serrure, la portière arrière qui s’ouvre. Elle se laisse pousser sur la banquette. L’homme s’installe à son tour, la portière se referme, ils sont à peine éclairés par un lointain lampadaire, l’homme la voit plus qu’elle ne le voit. Elle ne cherche pas à résister quand il se penche à nouveau sur elle. Cette fois, le baiser est carrément torride, elle halète sous l’intrusion de la langue. En même temps, les doigts habiles déboutonnent le corsage, puis descendent et font glisser la fermeture éclair sur le côté de la jupe à carreaux.
En peu de temps, gilet, corsage et jupe reposent sur le dossier du siège avant. Elle est dans les bras de son séducteur, tout juste vêtue de sa combinaison et de son slip. Il se recule pour la contempler alors qu’elle ferme les yeux.
Elle se dit « Je vais tromper Jean-Paul » .
Elle veut crier, sortir de cette voiture, mais l’homme se penche à nouveau sur elle et lui murmure :
— Tu aimes être embrassée, ta bouche est bonne. Je te veux !
Elle balbutie :
— Non…Non, pas ce soir…Je n’ai jamais…
— Tu n’as jamais quoi ? Tu es vierge ?
— Oui…
— Ton fiancé ne t’a pas encore prise ?
— Non, ça a failli il y a quinze jours, mais ça ne s’est pas fait et de toutes façons, j’avais mes règles.
La naïveté et la candeur de cette fille l’amusent.
— Alors vous êtes allés jusqu’où avec lui ?
— On a déjà couché ensemble mais sans jamais aller jusqu’au bout, juste des caresses poussées.
— Avec les doigts ?
— Oui et…
— Tu l’as sucé ?
— Oui…
— Bien, alors on va voir ce que tu sais faire.
Il ouvre sa braguette.
— Sors-la et occupe-toi de moi !
Disant cela, d’une poigne de fer, il lui saisit la nuque et l’incline sur lui. C’est lui-même qui extirpe son sexe de son pantalon ; une verge épaisse, décalottée, au gland violacé.
— Mets-toi à genoux, oui, voilà, comme ça…
Il la place à genoux, fesses contre le dossier, puis crochetant les bretelles de la combinaison, il la roule à la taille, dénudant les seins en poire. Il appuie de nouveau sur sa nuque. Les lèvres de la jeune fille arrivent au contact de l’énorme "mentule". Elle ouvre la bouche et l’absorbe.
Les mains de Paulo passent sous le buste, les doigts s’emparent des tétons et les étirent, provoquant des gémissements étouffés. Elle est obligée d’ouvrir en grand la bouche tant le membre est épais. Il rit :
— Elle te plaît ? Elle est plus grosse que celle de ton mec, je parie.
Comme elle ne répond pas, il lui tire les cheveux en arrière et lui fait redresser le visage.
— Alors ? Réponds ! Elle est plus grosse que celle de ton mec ?
Les yeux pleins de larmes, les lèvres luisantes de salive, elle bredouille.
— Oui… Ohhh, j'ai honte !
Il la fait plonger à nouveau. Puis, la maintenant toujours à genoux, il lui rehausse la croupe. Lentement il fait glisser le slip, dénudant les fesses blanches.
La bouche de MY va-et-vient autour du membre tendu à l’extrême. Il la complimente :
— C’est bien, pour une débutante tu t’en tires déjà bien !
La main droite flatte la double mappemonde, les doigts visitent les fossettes qui couronnent les deux demi-lunes, descendent lentement dans le sillon qui les sépare. Au moment où ils parviennent à la corolle du puits des reins, Maryvonne tente de se cabrer mais la main gauche de Paulo lui appuie sur la nuque et l’empêche d’interrompre sa caresse buccale. Vaincue, elle laisse les doigts l’explorer. La caresse diabolique de l’index sur le pourtour de son œillet puis sur le périnée lui fait perdre la tête. Elle réussit cette fois à se redresser, hagarde, face à son tourmenteur. Leurs bouches se joignent à nouveau. Il lui ôte son slip, l’allonge sur la banquette et lui ouvre les cuisses. La combinette n'est plus qu'un simple cordon de nylon roulé à la taille, plus aucun rempart ne voile la féminité de la jeune fille. Malgré la semi-obscurité, l’œil connaisseur apprécie l’épais triangle brun du pubis. Il lui relève les bras et constate que deux buissons tout aussi bruns tapissent les aisselles. Il ricane :
— Décidément, j’aime bien les jolies espagnoles !
Il se penche vers le compas des cuisses et sa bouche vient prendre possession du coquillage niché dans la jungle des poils. Très vite, il la fait crier. Elle découvre les joies du cunnilingus et crispe ses doigts sur la nuque de l’homme. Plusieurs fois il la fait jouir, elle dégouline. Un court instant, il se dit qu’il va la baiser, là, dans la voiture, mais il se ravise : cette gamine mérite mieux que cela. Après l’avoir fait presque défaillir, alors qu’elle gît couchée sur le flanc, il lui caresse doucement la hanche et lui dit :
— Rhabille-toi, on va retourner au bal, après je vais te ramener si tu veux.
Docile, elle enfile ses vêtements et remet un peu d’ordre dans sa coiffure. Une fois sortis de la voiture, ils se dirigent vers le dancing. Là, Paulo la laisse passer aux toilettes pour se rafraîchir. Ses copains sont à la buvette et viennent aux nouvelles :
— Alors vieux, tu as conclu ?
— Non, mais ça ne devrait pas tarder. Je vais la ramener chez elle, mais avant ça, on va faire un crochet chez moi.
— Elle a l’air drôlement chaude, dis donc !
— Ça oui ! Elle démarre au quart de tour, mais vous ne devinerez jamais…Elle est encore pucelle !
— Eh ben dis donc, tu vas t’amuser !
— Oui, j’espère bien, elle m’a commencé une pipe dans la bagnole. Bon, elle a encore des progrès à faire, c’est pour ça que j’aime mieux l’entreprendre dans un plumard. Elle habite un village, chez sa sœur, je la ramènerai après.
Disant cela il lorgne vers la table de MY. Les deux copines semblent en grande discussion. Tout à l’heure, après être elle-même sortie batifoler en compagnie de son amoureux, Martine l’a cherchée un bon moment. Pas pour lui faire la morale, mais pour lui expliquer qu’elle souhaitait justement la ramener le plus tôt possible, ayant elle-même un projet coquin avec son flirt.
MY propose timidement :
— Le…Mon cavalier…Il me propose de me ramener, alors si ça t’arrange…
Martine lui dit à voix basse :
— Moi, je vais passer à la casserole, mais je crois que je ne vais pas être la seule !
— Tais-toi…
— Eh ! Tu crois que j’ai pas remarqué quand tu es sortie tout à l’heure ? J’étais avec mon copain dans sa bagnole, vous êtes passés tout près de nous, il t’a roulé des sacrés patins ! Remarque, il est plutôt bel homme et puis un petit coup comme ça en passant, ça peut pas faire de mal !
MY n’ose pas dire à sa copine qu’elle est encore vierge, de peur d’être ridicule. Elle hasarde :
— Tu vas coucher chez ton copain ?
— Oui, on va chez lui. Il m’a déjà emmenée une fois ; c’était pas mal… Dis, tu me raconteras comment c’était avec le tien ?
Elle s’esclaffe et lui fait la bise.
— Vas-y, si tu veux être rentrée chez ta sœur avant qu’il fasse grand jour ! N'oublie pas que je suis responsable de toi ce soir !
Là-dessus, elle part rejoindre son copain, laissant MY seule à sa table.
L’orchestre entame un slow et le garçon boutonneux revient à la charge, invitant MY à danser. Elle décline l’invitation en disant :
— C’est déjà promis !
Paulo qui depuis le bar a suivi la scène, boit du petit lait. Il se rengorge auprès de ses deux compagnons :
— Les gars, si je veux manger de l’oie blanche ce soir, c’est le moment que j’y aille ! Une petite danse et je raccompagne la Maryvonne.
Il tape rapidement sur l’épaule de ses comparses et se dirige vers la petite brune. Sans se donner la peine d’aller jusqu’à elle, il lui adresse un petit geste du doigt, signifiant qu’elle doit le rejoindre sur la piste. Elle se lève et le rejoint. Tout de suite elle se blottit dans ses bras ; sa main droite à lui descend sur la croupe de la jeune fille, tandis qu’il se penche sur son visage ; leurs bouches se soudent. Heureusement, les autres couples en sont pour la plupart au même stade de flirt qu’eux car la scène est plus que torride. Le slow se termine, il murmure :
— On y va ? Je te ramène, va chercher ton sac et ton gilet, je t’attends.
C’est dit d’un ton sans réplique. Elle se rend au vestiaire pour y récupérer ses affaires. Il l’attend et l’entraîne sur le parking. Galamment, il lui ouvre la portière avant et elle s’installe. Il prend place au volant mais avant de démarrer, il se penche sur sa proie. Pendant qu’il lui baise goulûment la bouche, il déboutonne à nouveau le corsage, ses doigts habiles passent sous le nylon de la combinaison et viennent caresser savamment les seins dont les bouts se durcissent.
Enfin l’auto démarre. Ils sortent du parking. Paulo roule doucement et conduit de la main gauche, la droite occupée à caresser sa passagère qui fait semblant de somnoler, le visage tourné vers le côté droit. Elle ne dort pas, bouleversée par ce qui est en train de lui arriver. C’est si soudain, cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a trois heures, cet homme presque en âge d'être son père, cet homme l’emmène, il la domine et elle aime ça. Lorsque la voiture tourne à gauche à la sortie de Besançon, elle ne proteste même pas et lorsqu’elle s’arrête devant un pavillon dans une rue calme et que Paulo lui ouvre la porte pour qu’elle descende, elle descend… Elle lui demande simplement :
— Vous vivez seul ?
— Oui, j’ai mes habitudes comme ça, je suis divorcé et mes fils sont autonomes ; j’ai juste mes potes qui viennent squatter de temps en temps.
Devinant qu’à ces mots elle frémit, il la rassure :
— T’inquiète pas, ce soir, ils sont de sortie pour la nuit complète, ils savent qu’il ne faudra pas me déranger.
Il la fait entrer dans la cour. La porte d’entrée donne sur une salle de séjour avec un canapé et des grands fauteuils. Il allume une lampe d’ambiance et après avoir verrouillé la porte, se tourne vers elle.
— Viens… >>
à suivre pour ceux qui le souhaitent
photos d'époque jointes
Cela a commencé en 1970, elle avait 18 ans et moi 23.
Les lignes qui suivent sont un premier volet qui sera à suivre s'il vous convient:
<< Cela fait maintenant quinze jours que Jean-Paul est reparti vers sa caserne, à sept cents lointains kilomètres. Il est venu passer deux petits jours de permission, la première permission depuis qu’il a été appelé sous les drapeaux, et ces deux jours se sont passés en un éclair pour lui comme pour elle, MY, la douce fiancée.
Il a été appelé voici trois mois à faire son service militaire ; il a 23 ans et bénéficiait d’un sursis pour études. Mais voilà, les études sont terminées et il a dû prendre en mars le chemin du régiment pour effectuer son devoir national durant plus d’un an.
Tous deux se fréquentent depuis l’année dernière. Ils se sont connus lors d’un bal de campagne, comme il y en a tous les samedis et dimanches. Elle avait 17 ans et travaillait déjà, employée comme vendeuse dans une boulangerie du chef lieu de canton. Ils se sont plu, et leur flirt a vite évolué en grand amour, bien qu’elle ait toujours refusé de lui céder, de peur de tomber enceinte et par principe aussi, soucieuse de lui accorder le don de son corps pour la nuit de noces. Car ils ont parlé mariage et ont même décidé que cela se ferait à son retour de l’armée.
Alors il ronge son frein et là encore, durant ces deux jours de retrouvailles, elle n’a qu’en partie capitulé. Ils sont allés danser samedi soir et elle a passé la nuit avec lui, mais si elle a accepté ses caresses les plus osées, nue contre lui dans le lit, elle a réussi à maîtriser l’envie qu’elle avait de se donner.
Il a obtenu au matin sa première fellation, certes maladroite, mais preuve de son amour et gage d’autres caresses à venir. Lui-même s’est longuement occupé à lécher et sucer les seins en poire, le ventre, la brèche enfouie dans l’épaisse forêt de poils noirs, mais – maladresse de sa part ou précipitation – sans parvenir à obtenir la reddition qu’il attendait.
L’après-midi du dimanche, après avoir salué la famille et avant de se rendre à la gare, ils sont allés se promener dans un petit chemin forestier et là, dans la quiétude de la frondaison, à peine troublée par les chants d’oiseaux, elle lui a, à nouveau, prodigué une fellation, l’amenant à la jouissance, penchée sur lui tandis qu’il criait et lui maintenait le visage contre son ventre, l’empêchant de se soustraire à la tornade crémeuse, obligée d’accepter que sa bouche soit envahie par la semence un peu âcre. Après qu’il ait relâché sa prise sur sa nuque, elle s’est redressée, honteuse, le visage empourpré et s’est empressée de s’essuyer les lèvres. Mais contre toute attente, il l’a attirée contre lui pour un baiser profond et, malgré sa gêne, leurs langues se sont mêlées durant un long moment durant lequel la main de Jean-Paul s’est glissée sous sa jupe puis dans son slip, les doigts pénétrant dans la brèche du ventre, au milieu d’un véritable marécage et ressortant écarlates: ses règles arrivaient !
Elle s’est dit peu après, qu’à ce moment là s’il avait insisté, elle se serait donnée à lui sur-le-champ ; mais il était quelque peu refroidi par cet évènement naturel, et il avait eu d’une autre manière son plaisir, et puis l’horaire de la SNCF, c’est l’horaire. Il avait bien fallu se résoudre à reprendre le chemin du village, après qu’elle ait remis un peu d’ordre dans sa tenue.
Ce soir-là c’est Martine, son amie, qui les a emmenés à la gare dans sa petite voiture, tous deux assis à l’arrière pour un dernier câlin. Jean-Paul l’a prévenue qu’il n’aura pas de nouvelle permission avant six semaines, pour cause de manœuvres. Que c’est long, six semaines ! Ils s’écrivaient, souvent au début de son service, chaque jour, maintenant un peu moins, une ou deux lettres par semaine.
Elle a un peu de mélancolie mais Martine vient justement de passer la voir à la boulangerie ce vendredi, pour lui proposer de l’accompagner samedi soir à un bal à Besançon.
— Ça te changera les idées, on va se faire plaisir en dansant !
Elle a hésité puis accepté, se disant qu’en effet ça lui changerait les idées, d’autant plus que Martine lui a assuré, en partant d’un grand éclat de rire, qu’elles rentreraient avant l’aube.
Ce samedi, la journée touche à sa fin. Les derniers clients, habituels retardataires, sont venus en catastrophe acheter un reliquat de pain – comme s’ils ne pouvaient pas venir plus tôt, dixit sa patronne. MY tire le rideau et commence à balayer le sol carrelé. Il n’y a presque pas d’invendus à remiser, et après un dernier coup de torchon sur la vitrine, elle peut déboutonner sa blouse rose, se recoiffer rapidement, faire la bise à sa patronne qui lui recommande la prudence pour ce soir, car elle est au courant de la sortie prévue. Elle lui a d’ailleurs accordé congé pour le lendemain matin, contrairement aux autres dimanche où elle doit travailler.
Elle court jusqu’à la maison de sa sœur, mariée à l’épicier du village, chez qui elle occupe une chambre avec entrée indépendante. Elle se déshabille et s’enferme à la salle de bain. Elle se prélasse quelques minutes sous la douche, se lavant soigneusement, puis après un shampoing, elle sort et, toute nue face au miroir, elle se sèche les cheveux. Elle s’examine, sans auto-complaisance excessive: ses seins, qu’elle juge un peu petits, sont en poires – elle fait 85C de soutien-gorge – mais un peu lourds, tombants et couronnés par deux très larges aréoles rose-foncé.
Les bras levés pour brosser ses cheveux coupés à la garçonne révèlent ses aisselles tapissées de deux buissons bruns, mais à cette époque les aisselles fournies sont chose courante et peu de gens s’en offusquent. Elle attendra l’été pour les raser.
Au bas de son ventre, trop bombé à son goût, le pubis est lui aussi très touffu et ses poils débordent même dans les aines ; là aussi, elle interviendra au mois de juillet, si elle doit aller à la baignade avec Jean-Paul.
Elle se munit du rasoir de son beau-frère pour éliminer quelques poils naissants sur ses jambes qu’elle s’attache à avoir, elles, parfaitement lisses, puis elle vaporise un voile d’eau de toilette sous les aisselles, un peu sur le nombril et enfile un slip en nylon rose qui épouse crûment le galbe des ses hanches un peu larges et accentue la rotondité de son postérieur. Elle met ensuite une "combinette" courte, s’arrêtant à mi-cuisses, du même nylon transparent que le slip ; les bonnets soutiennent les seins sans les comprimer comme le ferait un soutien-gorge, et laissent transparaître l’ombre des aréoles. Un corsage blanc, heureusement opaque, sans manches, une jupette plissée à carreaux écossais, un peu de rouge à lèvres, elle est prête.
Dans sa chambre, elle hésite entre des mocassins plats et des nu-pieds à talons mi-hauts pour lesquels elle opte finalement ; ils mettront en valeur ses chevilles délicates et ses mollets musclés ainsi que ses délicieux orteils vernis du même rouge que les ongles de ses mains. Un gilet noir en coton, son petit sac avec un peu d’argent, ses papiers, la clé de la maison. Elle passe en coup de vent au magasin faire un bisou à sa sœur, encore affairée ; les recommandations d’usage :
— Essaie de ne pas rentrer trop tard, attention à ne pas boire, attention sur la route…
Avec Martine, pas de problème, c’est une conductrice extra. Elle la rejoint un peu avant vingt heures sur le parking de la mairie… Petit bisou et « en route pour la fiesta » comme dit en riant sa copine.
Elles sont à Besançon une demi-heure plus tard et s’autorisent, après avoir garé la voiture, à boire un diabolo menthe à la terrasse d’un café. Quelques garçons en goguette passent et les draguent gentiment, sans qu’elles y prêtent une attention particulière, si ce n’est une réflexion vacharde de Martine à propos d’un des gars à la figure constellée d’acné.
De la salle des fêtes voisine leur parviennent des accords de guitares, des essais de batterie, des trilles d’accordéon ; les musiciens font leurs derniers réglages avant le début de la soirée dansante.
Elles se dirigent enfin vers le guichet d’entrée, règlent le montant de leur ticket qui donne droit à une consommation, reçoivent un coup de tampon encreur sur le poignet, qui leur permettra de sortir de la salle, sans être inquiétées pour y revenir.
Passage obligé au vestiaire où elles déposent sacs à main et gilets. Martine porte, elle, une belle robe à fleurs à volant qui met en valeur sa poitrine généreuse et sa peau claire de rousse.
Un public déjà nombreux garnit la salle et tandis que pas mal d’hommes en sont aux retrouvailles aux abords de la buvette, les femmes papotent. À vingt et une heures pile, l’orchestre attaque les premières mesures d’un paso-doble, et aussitôt les premiers couples tournoient sur la piste.
D’autorité, Martine entraîne MY ; c’est elle qui « conduit » la danse, et la petite brune se prête de bonne grâce aux impulsions que sa cavalière lui donne pour la faire tourner à l’endroit puis à l’envers. Le rythme est soutenu, le tempo assez rapide comme il convient pour lancer une soirée dansante. Un second morceau puis un troisième succèdent au premier et le nombre des danseurs augmente.
Près du bar, trois hommes viennent d’arriver et examinent d’un œil averti l’assemblée dansante. Le plus âgé, un grand brun proche de la quarantaine, commente pour les deux autres :
— Dis donc, la mémé là-bas, elle a déjà vécu, vise un peu les poteaux, Charlie ! dit-il, en poussant son coude dans les côtes de son voisin, un blond d’une trentaine d’années.
— Ouais, t’as raison !
Effectivement, la dame qui fait l’objet de leurs remarques, est engoncée dans une robe droite qui révèle crûment les bourrelets de sa taille replète.
Le troisième, petit et râblé, au crâne déjà passablement dégarni, les interpelle à son tour :
— Visez les deux nanas…
Il désigne du menton MY et Martine qui tournoient.
— La rousse a l’air d’avoir du beau matériel… Qu’est-ce t’en pense, Paulo ?
Paulo, le plus âgé rétorque, impavide :
— Moi je préfère la brunette, ça sent la fausse mince à plein nez… Regarde les guiboles !
La jupe plissée de MY se soulève à chaque virevolte que lui fait faire Martine, découvrant l’arrière de ses cuisses bien galbées.
— Allez, tourne plus vite, cocotte ! dit-il en ricanant.
Comme si les deux filles avaient entendu, elles entament une série de boucles en toupie et le tissu écossais se soulève encore plus, découvrant un bref instant, ce qui n’a pas échappé à l’œil de lynx du quadragénaire, un feston de nylon rose.
La danse s’achève et les danseurs gagnent, qui une place à table, qui le bar pour y boire un premier verre. Presque sans temps mort, l’orchestre enchaîne avec une série de valses. Cette fois les amateurs sont moins nombreux, surtout les hommes mais des couples féminins se forment. Martine se penche pour proposer cette danse à MY quand un homme (Paulo) s’approche et s’interpose en s’adressant à la petite brune :
— On danse, Mademoiselle ?
C’est à peine une question, presque une affirmation. Au même instant s’approche de Martine un garçon qui lui fait la bise. MY se lève de son siège, lissant machinalement sa jupe sur ses fesses et suit Paulo sur la piste. Il est grand mais malgré la différence de taille, il sait immédiatement comment la tenir. Elle pose sa main gauche sur l’épaule de l’homme, appréciant la douceur d’un pull en cachemire, tandis que sa main droite disparaît dans la paume de son cavalier. Il danse très bien, elle le perçoit immédiatement mais c’est lui qui la complimente :
— Hmm ! C’est un vrai plaisir, on dirait que vous avez dansé toute votre vie… Pourtant vous êtes bien jeune, combien ? Dix-neuf, vingt ?
Elle corrige :
— Dix-huit.
Il rit.
— Oh, excusez-moi… Mes compliments !
Elle rougit tandis que, imperceptiblement, la main droite de l’homme assure sa position sur ses reins ; tout juste une petite pression des doigts quand il veut la faire tourner à l’endroit, une autre pour tourner à l’envers. Il dit :
— Moi, c’est Paul, et vous ?
— Maryvonne, on dit MY…
— Enchanté, MY ; d’où êtes-vous ?
Prise de court par ce questionnaire inattendu, elle répond et dit le nom du bourg où elle travaille.
L’orchestre achève la première valse, et laisse à peine le temps aux danseurs de reprendre leur souffle qu’il enchaîne sur une autre, tout aussi rapide. Paulo, qui avait laissé se desserrer l’étreinte de son bras droit, raffermit sa prise à la taille de la petite brune. Sa main se loge davantage au creux des reins, appréciant leur cambrure prononcée.
MY peut se rendre compte que Martine danse avec le garçon qui l’a abordée tout à l’heure et qu’elle semble bien connaître, car elle rit aux éclats tandis que ce dernier la fait tournoyer.
Les valses s’achèvent et galamment Paulo ramène MY jusqu’à sa table où la rejoint Martine ; le copain de celle-ci est allé retrouver un garçon avec lequel il discute près du bar.
— Dis donc, tu attaques avec un senior !
MY rougit.
— Oui, oh tu sais j’ai pas fait attention. Il danse bien en tout cas !
— Alors que le mien, il me fait tourner comme une toupie ! s’esclaffe la rousse en ajoutant :
— Mais il a d’autres talents…
Elle cligne de l’œil.
— Tu le connais ? demande MY
— Oui, on flirte de temps en temps ensemble, il est sympa et il a une belle bagnole.
Les premiers accords de Rock’around the clock retentissent.
— Allez viens, on y va !
Martine l’entraîne presque de force sur la piste où deux garçons viennent les séparer.
MY, comme par hasard, hérite du grand boutonneux qu’elles ont vu à la terrasse du café, avant d’entrer tout à l’heure, mais qui s’avère être un très correct danseur de rock. Le garçon la fait pirouetter, et cette fois la jupe plissée révèle à plusieurs reprises la dentelle rose de la combinette et quand elle se retrousse sur le devant, le galbe charnu de ses cuisses en pleine tension musculaire.
Au bar, Paulo et ses deux acolytes ne perdent pas une miette du spectacle.
— Qu’est ce que j’avais dit, les gars, Vous avez vu les cuisses ? dit le quadra et d’ajouter avec un geste significatif de la main droite , d’après ce que j’ai constaté…Hmm la chute de reins est prometteuse.
— C’est une gamine…
— Justement, elle a dix-huit ans et ce soir j’ai envie de chair fraîche.
— Elle s’appelle comment ta brunette ?
— Maryvonne, je sais c’est d’un kitch… Mais ça me plaît encore davantage !
— Vieux dégueu !
— Peut-être, mais qui c’est qui qui emballe, hein ?
— C’est Paulo ! s’exclament les deux autres en chœur, faisant converger vers eux les regards de leurs voisins.
La série de rock and roll se termine. Après une courte pause, l’éclairage baisse en intensité, le projecteur s’allume, constellant de mille étoiles le plafond noir de la salle tandis que les musiciens jouent l’intro de Whiter stade of pale « le slow de l’été 1967 », version orchestre musette.
Les couples de forment. Sans se presser, Paulo se dirige vers la table de MY alors que Martine suit son flirt vers la pénombre. Il se présente en même temps que le grand dadais boutonneux. D’un regard dissuasif il toise le post-ado et s’adresse à la jeune fille :
— On danse ?
Cette fois ce n’est plus du tout une question. Interloquée, elle balbutie, gênée pour le garçon :
— Mais… Il…
Paulo lui prend la main.
— Allez, on y va, il aura droit à la prochaine.
Puis arrivés sur la piste, alors qu’il l’enlace :
— C’est ton fiancé ?
Elle frémit sous le tutoiement.
— Non… Mon fiancé est à l’armée.
Il ricane :
— Tu es venue tenir compagnie à ta copine ? Remarque, elle a l’air de se débrouiller seule.
Du menton il désigne Martine qui a enfoui son visage au creux de l’épaule de son flirt.
Paulo parle à voix basse :
— Elle est pas mal ta copine, mais toi aussi… Tu es d’origine espagnole ?
— Oui…Comment le savez-vous ?
Il rit doucement.
— À tes yeux, je l’ai deviné à tes yeux… Et à tes cheveux, ajoute-t-il tandis que sa main gauche abandonne la main droite de la jeune fille pour venir caresser les ondulations brunes coiffées au carré.
Elle pose sa main droite abandonnée sur l’épaule virile. L’homme resserre son étreinte, sa main droite descend un peu plus bas, sur les reins. En même temps, sa cuisse s’insère davantage entre celles de la brune… Il se dit : Ça passe ou ça casse…
En fait de casse, rien de ce qu’il craignait ne se produit. MY crispe légèrement ses ongles sur le cachemire de l’homme. Est-ce la fatigue, la musique langoureuse, le cafard qu’elle a ressenti tout au long de la semaine ? Tout comme sa copine Martine avec son flirt, elle laisse aller son visage contre le torse musculeux. Paulo ne s’y trompe pas ; ce ne sera pas la première fois qu’il obtient une capitulation rapide… Mais il ne veut pas brusquer les choses.
Il questionne la jeune fille :
— Ton amoureux est à l’armée pour combien de temps ?
— Encore onze mois. Il a fait la préparation aux officiers de réserve, alors il fait quinze mois au lieu d’un an.
Paulo jubile :
— Onze mois ? Bah ! C’est pas terrible…Tu verras, le temps passe vite.
La main gauche caresse savamment les cheveux de la brune, il penche son visage et la complimente pour son parfum… Il lui demande la marque. Elle lui dit :
— Canoë.
— Hmm ! Ça donne envie de naviguer…
Il se penche encore et ses lèvres viennent effleurer les cheveux, contre la tempe. Elle le laisse faire, elle se sent confusément prise au piège, une sensation qu’elle n’a encore jamais connue…
Derrière, la main droite descend doucement, doucement… Les doigts effleurent le renflement de la croupe, tandis que devant, contre son ventre, elle ne peut ignorer l’apparition d’une masse dure qu’elle a déjà connue plus d’une fois en dansant avec des garçons, Jean-Paul et d’autres avant lui. L’homme bande, il a une érection… Elle frissonne.
— Tu as froid ?
— Non… non !
La main gauche lui caresse maintenant la joue, lui soulève le menton ; elle ne résiste pas. La bouche de l’homme s’empare de la sienne ; mélange de langues, invasion de son palais tandis que ses mains se crispent sur les épaules masculines… La peur d’être vue, que tout le monde la regarde, alors elle interrompt le baiser. Mais non, ils sont dans la partie la plus sombre de la salle, personne ne les a vus. Retour vers un espace éclairé par le halo scintillant du projecteur.
— Ta bouche est très agréable…Elle a le goût que j’aime.
Elle est terrorisée à l’idée qu’on les entende, alors il la dirige à nouveau dans la pénombre. Nouveau baiser, cette fois, plus profond. La langue envahit sa bouche, visite ses dents, repousse sa langue, et derrière la main droite qui descend encore, appréciant le renflement de ses fesses. Haletante, elle arrive à le repousser :
— Non…Il ne faut pas !
Il la ramène dans une zone éclairée et là, elle voit Martine, bouche contre bouche avec son cavalier. Paulo ricane :
— Tu vois, regarde ta copine, elle sait prendre du bon temps !
Un deuxième slow fait suite au premier, tout aussi langoureux , elle aperçoit Martine qui se dirige vers la sortie de la salle avec son copain.
Paulo lui aussi a vu la scène. Il se penche sur elle et leurs lèvres se joignent sans cette fois qu’elle se soucie d’être ou non dans la pénombre. Le baiser est savant, l’exploration intense. Sa langue vient à la rencontre de la langue de l’homme ; mélange de salives. Il se régale de la fraîcheur de ces lèvres presque enfantines. Elle ne peut plus ignorer cette fois l’ampleur de la virilité qui se presse contre son ventre alors que la main droite flatte sa croupe, sa hanche, et descend sur le côté de sa cuisse. Elle se laisse faire. Ils sont au fond du dancing et la main de Paulo fait doucement remonter le tissu de la jupe. Elle se contorsionne alors et le supplie :
— Non…Non…Pas ici !
Il jubile :
— Viens, on sera mieux dehors, sur le parking…
Est-ce là encore la fatigue, le fait d’avoir dansé trop fort ou bien l’accumulation d’une trop longue frustration ? Elle se laisse guider vers la sortie. Elle demande son gilet au vestiaire et il le lui pose galamment sur les épaules. Ils sortent…L’air est plus frais…Ils franchissent le halo de lumière de l’entrée et gagnent la pénombre. Dehors, des couples fument des cigarettes, d’autres parlent à voix basse. Martine a disparu.
Paulo la prend dans ses bras dès qu’ils sont à l'abri des regards. Le baiser est savant, inquisiteur ; les mains expertes la palpent, derrière, devant. Elle s’accroche telle une naufragée aux épaules de l’homme. Une main descend, atteint le bas de sa jupe, remonte le long de la cuisse nue, épouse la hanche, contourne et arrive à la base d’une fesse. Elle supplie :
— Non…Non, il ne faut pas !
Il la pousse doucement vers une voiture sombre , une DS 21. Il cherche rapidement dans sa poche ; le cliquetis d’une clé dans la serrure, la portière arrière qui s’ouvre. Elle se laisse pousser sur la banquette. L’homme s’installe à son tour, la portière se referme, ils sont à peine éclairés par un lointain lampadaire, l’homme la voit plus qu’elle ne le voit. Elle ne cherche pas à résister quand il se penche à nouveau sur elle. Cette fois, le baiser est carrément torride, elle halète sous l’intrusion de la langue. En même temps, les doigts habiles déboutonnent le corsage, puis descendent et font glisser la fermeture éclair sur le côté de la jupe à carreaux.
En peu de temps, gilet, corsage et jupe reposent sur le dossier du siège avant. Elle est dans les bras de son séducteur, tout juste vêtue de sa combinaison et de son slip. Il se recule pour la contempler alors qu’elle ferme les yeux.
Elle se dit « Je vais tromper Jean-Paul » .
Elle veut crier, sortir de cette voiture, mais l’homme se penche à nouveau sur elle et lui murmure :
— Tu aimes être embrassée, ta bouche est bonne. Je te veux !
Elle balbutie :
— Non…Non, pas ce soir…Je n’ai jamais…
— Tu n’as jamais quoi ? Tu es vierge ?
— Oui…
— Ton fiancé ne t’a pas encore prise ?
— Non, ça a failli il y a quinze jours, mais ça ne s’est pas fait et de toutes façons, j’avais mes règles.
La naïveté et la candeur de cette fille l’amusent.
— Alors vous êtes allés jusqu’où avec lui ?
— On a déjà couché ensemble mais sans jamais aller jusqu’au bout, juste des caresses poussées.
— Avec les doigts ?
— Oui et…
— Tu l’as sucé ?
— Oui…
— Bien, alors on va voir ce que tu sais faire.
Il ouvre sa braguette.
— Sors-la et occupe-toi de moi !
Disant cela, d’une poigne de fer, il lui saisit la nuque et l’incline sur lui. C’est lui-même qui extirpe son sexe de son pantalon ; une verge épaisse, décalottée, au gland violacé.
— Mets-toi à genoux, oui, voilà, comme ça…
Il la place à genoux, fesses contre le dossier, puis crochetant les bretelles de la combinaison, il la roule à la taille, dénudant les seins en poire. Il appuie de nouveau sur sa nuque. Les lèvres de la jeune fille arrivent au contact de l’énorme "mentule". Elle ouvre la bouche et l’absorbe.
Les mains de Paulo passent sous le buste, les doigts s’emparent des tétons et les étirent, provoquant des gémissements étouffés. Elle est obligée d’ouvrir en grand la bouche tant le membre est épais. Il rit :
— Elle te plaît ? Elle est plus grosse que celle de ton mec, je parie.
Comme elle ne répond pas, il lui tire les cheveux en arrière et lui fait redresser le visage.
— Alors ? Réponds ! Elle est plus grosse que celle de ton mec ?
Les yeux pleins de larmes, les lèvres luisantes de salive, elle bredouille.
— Oui… Ohhh, j'ai honte !
Il la fait plonger à nouveau. Puis, la maintenant toujours à genoux, il lui rehausse la croupe. Lentement il fait glisser le slip, dénudant les fesses blanches.
La bouche de MY va-et-vient autour du membre tendu à l’extrême. Il la complimente :
— C’est bien, pour une débutante tu t’en tires déjà bien !
La main droite flatte la double mappemonde, les doigts visitent les fossettes qui couronnent les deux demi-lunes, descendent lentement dans le sillon qui les sépare. Au moment où ils parviennent à la corolle du puits des reins, Maryvonne tente de se cabrer mais la main gauche de Paulo lui appuie sur la nuque et l’empêche d’interrompre sa caresse buccale. Vaincue, elle laisse les doigts l’explorer. La caresse diabolique de l’index sur le pourtour de son œillet puis sur le périnée lui fait perdre la tête. Elle réussit cette fois à se redresser, hagarde, face à son tourmenteur. Leurs bouches se joignent à nouveau. Il lui ôte son slip, l’allonge sur la banquette et lui ouvre les cuisses. La combinette n'est plus qu'un simple cordon de nylon roulé à la taille, plus aucun rempart ne voile la féminité de la jeune fille. Malgré la semi-obscurité, l’œil connaisseur apprécie l’épais triangle brun du pubis. Il lui relève les bras et constate que deux buissons tout aussi bruns tapissent les aisselles. Il ricane :
— Décidément, j’aime bien les jolies espagnoles !
Il se penche vers le compas des cuisses et sa bouche vient prendre possession du coquillage niché dans la jungle des poils. Très vite, il la fait crier. Elle découvre les joies du cunnilingus et crispe ses doigts sur la nuque de l’homme. Plusieurs fois il la fait jouir, elle dégouline. Un court instant, il se dit qu’il va la baiser, là, dans la voiture, mais il se ravise : cette gamine mérite mieux que cela. Après l’avoir fait presque défaillir, alors qu’elle gît couchée sur le flanc, il lui caresse doucement la hanche et lui dit :
— Rhabille-toi, on va retourner au bal, après je vais te ramener si tu veux.
Docile, elle enfile ses vêtements et remet un peu d’ordre dans sa coiffure. Une fois sortis de la voiture, ils se dirigent vers le dancing. Là, Paulo la laisse passer aux toilettes pour se rafraîchir. Ses copains sont à la buvette et viennent aux nouvelles :
— Alors vieux, tu as conclu ?
— Non, mais ça ne devrait pas tarder. Je vais la ramener chez elle, mais avant ça, on va faire un crochet chez moi.
— Elle a l’air drôlement chaude, dis donc !
— Ça oui ! Elle démarre au quart de tour, mais vous ne devinerez jamais…Elle est encore pucelle !
— Eh ben dis donc, tu vas t’amuser !
— Oui, j’espère bien, elle m’a commencé une pipe dans la bagnole. Bon, elle a encore des progrès à faire, c’est pour ça que j’aime mieux l’entreprendre dans un plumard. Elle habite un village, chez sa sœur, je la ramènerai après.
Disant cela il lorgne vers la table de MY. Les deux copines semblent en grande discussion. Tout à l’heure, après être elle-même sortie batifoler en compagnie de son amoureux, Martine l’a cherchée un bon moment. Pas pour lui faire la morale, mais pour lui expliquer qu’elle souhaitait justement la ramener le plus tôt possible, ayant elle-même un projet coquin avec son flirt.
MY propose timidement :
— Le…Mon cavalier…Il me propose de me ramener, alors si ça t’arrange…
Martine lui dit à voix basse :
— Moi, je vais passer à la casserole, mais je crois que je ne vais pas être la seule !
— Tais-toi…
— Eh ! Tu crois que j’ai pas remarqué quand tu es sortie tout à l’heure ? J’étais avec mon copain dans sa bagnole, vous êtes passés tout près de nous, il t’a roulé des sacrés patins ! Remarque, il est plutôt bel homme et puis un petit coup comme ça en passant, ça peut pas faire de mal !
MY n’ose pas dire à sa copine qu’elle est encore vierge, de peur d’être ridicule. Elle hasarde :
— Tu vas coucher chez ton copain ?
— Oui, on va chez lui. Il m’a déjà emmenée une fois ; c’était pas mal… Dis, tu me raconteras comment c’était avec le tien ?
Elle s’esclaffe et lui fait la bise.
— Vas-y, si tu veux être rentrée chez ta sœur avant qu’il fasse grand jour ! N'oublie pas que je suis responsable de toi ce soir !
Là-dessus, elle part rejoindre son copain, laissant MY seule à sa table.
L’orchestre entame un slow et le garçon boutonneux revient à la charge, invitant MY à danser. Elle décline l’invitation en disant :
— C’est déjà promis !
Paulo qui depuis le bar a suivi la scène, boit du petit lait. Il se rengorge auprès de ses deux compagnons :
— Les gars, si je veux manger de l’oie blanche ce soir, c’est le moment que j’y aille ! Une petite danse et je raccompagne la Maryvonne.
Il tape rapidement sur l’épaule de ses comparses et se dirige vers la petite brune. Sans se donner la peine d’aller jusqu’à elle, il lui adresse un petit geste du doigt, signifiant qu’elle doit le rejoindre sur la piste. Elle se lève et le rejoint. Tout de suite elle se blottit dans ses bras ; sa main droite à lui descend sur la croupe de la jeune fille, tandis qu’il se penche sur son visage ; leurs bouches se soudent. Heureusement, les autres couples en sont pour la plupart au même stade de flirt qu’eux car la scène est plus que torride. Le slow se termine, il murmure :
— On y va ? Je te ramène, va chercher ton sac et ton gilet, je t’attends.
C’est dit d’un ton sans réplique. Elle se rend au vestiaire pour y récupérer ses affaires. Il l’attend et l’entraîne sur le parking. Galamment, il lui ouvre la portière avant et elle s’installe. Il prend place au volant mais avant de démarrer, il se penche sur sa proie. Pendant qu’il lui baise goulûment la bouche, il déboutonne à nouveau le corsage, ses doigts habiles passent sous le nylon de la combinaison et viennent caresser savamment les seins dont les bouts se durcissent.
Enfin l’auto démarre. Ils sortent du parking. Paulo roule doucement et conduit de la main gauche, la droite occupée à caresser sa passagère qui fait semblant de somnoler, le visage tourné vers le côté droit. Elle ne dort pas, bouleversée par ce qui est en train de lui arriver. C’est si soudain, cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a trois heures, cet homme presque en âge d'être son père, cet homme l’emmène, il la domine et elle aime ça. Lorsque la voiture tourne à gauche à la sortie de Besançon, elle ne proteste même pas et lorsqu’elle s’arrête devant un pavillon dans une rue calme et que Paulo lui ouvre la porte pour qu’elle descende, elle descend… Elle lui demande simplement :
— Vous vivez seul ?
— Oui, j’ai mes habitudes comme ça, je suis divorcé et mes fils sont autonomes ; j’ai juste mes potes qui viennent squatter de temps en temps.
Devinant qu’à ces mots elle frémit, il la rassure :
— T’inquiète pas, ce soir, ils sont de sortie pour la nuit complète, ils savent qu’il ne faudra pas me déranger.
Il la fait entrer dans la cour. La porte d’entrée donne sur une salle de séjour avec un canapé et des grands fauteuils. Il allume une lampe d’ambiance et après avoir verrouillé la porte, se tourne vers elle.
— Viens… >>
à suivre pour ceux qui le souhaitent
photos d'époque jointes
- Fly069
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Récit sympa et vous formez un couple attachant !
Bravo pour votre continuité et grande complicité !
Bravo pour votre continuité et grande complicité !
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Une histoire d’un autre temps où les rencontres n’étaient pas virtuel, ou les femmes se laissaient séduire.
Que d insouciance de la part de MY pas farouche, qui se laisse convaincre et entreprendre par son cavalier.
La suite nous prouvera sûrement qu’elle a des dispositions à s’amuser sexuellement sans son amoureux.
Elle est bien bandante sur la photo d’époque, une suite attendue avec impatience
Que d insouciance de la part de MY pas farouche, qui se laisse convaincre et entreprendre par son cavalier.
La suite nous prouvera sûrement qu’elle a des dispositions à s’amuser sexuellement sans son amoureux.
Elle est bien bandante sur la photo d’époque, une suite attendue avec impatience
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Sois tranquille, Leo, la suite va arriver.(Je t'envoie en MP la même photo visage apparent) Je sais qu'elle te plaît et j'espère que tu ne seras pas déçu si nous nous rencontrons en réel. La voici, photographiée par quelqu'un de sa famille, avant que nous soyons ensemble. Quand je l'ai connue, ce que j'ai remarqué en premier étaient ses jambes, puis ensuite bien-sûr, ses fesses et son joli minois.Leo1201 a écrit :Elle est bien bandante sur la photo d’époque, une suite attendue avec impatience
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Ouf, j'attendais cette question !cple36 a écrit :dis moi si je me trompe ... le fiancé à l'armée c'est toi ? ...
C'est moi et c'est pas moi : elle m'a avoué, quand je l'ai séduite qu'elle m'avait "remarqué " quand elle avait 16 ans . Moi j'avais 21-22ans, sûr de moi comme un petit coq , je m'intéressais surtout au filles épanouies et je ne voyais en cette gamine , quand je l'apercevais dans une soirée dansante, qu'une danseuse de twist, de madison et autres mièvreries, pourquoi pas jouant à la marelle ! A l'époque, il me fallait des rockeuses , j'avais besoin de viande, pas de brunettes post-pubères...
Je ne sais pas si j'ai eu tort, la concernant. Pour moi, il est préférable que son initiateur et ses deux premiers amoureux-amants soient passés avant moi.
En ce temps là, L'Etat français m'a fermement invité à un séjour de 16 mois sous l'uniforme kaki. Je n'étais pas candidat officier de réserve, mais d'abord un étudiant puni après les événements de 1968 et cette période m'a carrément amené à penser à toutes sauf à elle.
A mon retour,à 23 ans, je l'ai enfin remarquée. Le jour où je l'ai séduite, tout s'est passé très vite : premier baiser à 15h (le genre de baiser que ta femme semble apprécier: long, profond, sans se soucier de qui regarde) . Elle m'a simplement dit " Ah tu te décides ?"
Nous étions dans mon lit le soir même , pour une nuit complète, avec retour chez elle au petit jour.
Elle m'a alors raconté l'essentiel de ce qui s'est passé "avant moi" sans en rajouter, mais sans rien omettre, avec la simplicité qui la caractérise . C'est à partir de ses révélations que j'ai écrit ce qui s'est probablement passé.
Aujourd'hui, 50 ans plus tard, elle est toujours avec moi et je suis toujours avec elle. Notre vie affective n'a pas été que de la guimauve sentimentale; il y a eu une telle intensité que seuls quelques uns (dont tu fais partie , je pense ) peuvent comprendre pourquoi nous sommes toujours là et ensemble. Et aussi pourquoi, après une longue période de disette, je veux recommencer à vivre intensément avec elle. Le temps est compté, pourvu qu'il nous reste quelques années.
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Merci, content que ce genre de récit plais à quelques uns. C'est moins évident que des gros plans anonymes, je le comprends.Moby a écrit :Magnifique récit ..en plus souvenirs souvenirs
Une photo d'époque liée au contexte
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
quelle photo troublante... son port de tête, son buste, sont charmantsmamaturebrune a écrit :Merci, content que ce genre de récit plais à quelques uns. C'est moins évident que des gros plans anonymes, je le comprends.Moby a écrit :Magnifique récit ..en plus souvenirs souvenirs
Une photo d'époque liée au contexte
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Et dire que cette petite brunette a perdu sa virginité un soir de bal alors qu'elle avait à peine 17ans et que son séducteur en avait largement le doublemakige a écrit :quelle photo troublante... son port de tête, son buste, sont charmants
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Fais nous vivre l'intensité de votre relation, a travers tes écrits troublants e d'une véracité simple et authentique
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Suite du récit publié le 28/1/2021: Résumé MY 18ans a le cafard depuis le départ de son fiancé Jean-Paul appelé sous les drapeaux pour son service militaire.
Elle accepte un samedi soir d'aller au bal avec sa copine Martine; là elle tombe sous
le charme de Paulo, un quadragénaire habitué aux conquêtes faciles; il la ramène chez
elle en passant d'abord par chez lui...
Il fait entrer MY dans la cour ; la porte d’entrée donne sur une salle de
séjour avec un canapé et des grands fauteuils…Il allume une lampe d’ambiance et après
avoir verrouillé la porte, se tourne vers elle.
- Viens…
Elle semble empruntée, son sac à la main, son gilet sur les épaules. Il les lui enlève et la prend dans ses bras. Pour la énième fois leurs bouches se joignent. Elle succombe rapidement et noue ses mains sur la nuque de Paulo, se laissant déshabiller sans résistance. Il prend son temps pour lui ôter son corsage, puis sa jupe, sa combinette ; elle n’a plus que son slip et ses nu-pieds à talons. Il la pousse doucement vers la pièce voisine, c’est une chambre avec un grand lit. Il allume une lampe de chevet, s’écarte un moment d’elle et la contemple, appréciant les épaules bien dessinées, les seins pas très gros mais déjà lourds, avec de larges aréoles, la cuvette du nombril, le ventre un peu rebondi, les cuisses fuselées, les genoux bien polis, les mollets galbés et les fines attaches des chevilles. Il la fait se tourner et émet un sifflement dont elle devine que son derrière est la cause…Il admire en effet le contraste entre la croupe joufflue et l’étroitesse de la taille. Elle ferme les yeux ; elle devine aux froissements de tissu qu’il se déshabille ; puis elle le sent contre elle…Elle repense à la réflexion de Martine qui lui disait tout à l’heure « Je vais passer à la casserole », elle aussi va y passer, la virilité chaude et tendue s’appuie contre ses reins…Les mains de l’homme font glisser son slip un peu brusquement, au point de craquer l’élastique de la taille ; elle lève un pied puis l’autre pour qu’il l’en débarrasse. Il conserve un instant le fragile sous-vêtement en main, le porte à ses narines, émet un murmure approbateur - Hmm, j’aime ton odeur . Elle est horriblement gênée. Toujours plaqué contre son dos, il lui ramène le visage en arrière pour un nouveau baiser. La langue visite sa bouche, les mains remontent des hanches jusqu’à la poitrine, pétrissant les seins, étirant les bouts, elle cambre ses reins contre l’homme. Prestement il ouvre le lit et la couche, il s’allonge contre elle, la place sur le dos et entame une savante découverte de son corps. La bouche de Paulo parcourt les seins, descend sur le nombril, remonte puis redescend plus bas ; au moment où la langue, se frayant un chemin dans la végétation luxuriante du pubis, pénètre dans la brèche odorante et atteint la crête sensible du clitoris, elle hurle - Oh… Oui... .Oui
Il la dévore un long moment, mêlant salive et cyprine et lorsque la sentant prête il lui demande si elle se donne, elle répond
- Oui, prenez moi !
Il se hisse sur elle et se guide d’une main ; elle sent le contact du gland contre ses lèvres intimes, puis l’intromission…Le membre est terriblement épais, mais l’homme sait s’y prendre ; il force en douceur et elle sent un bref instant une sensation de déchirure, puis c’est comme si elle s’ouvrait tel un fruit bien mûr. Ça y est, elle est femme ; le membre s’introduit en elle, comme s’il mesurait des mètres et des mètres. La bouche de l’homme baise ses yeux, son nez, sa bouche, elle pleure et il goûte le sel de ses larmes. En bas, dans son ventre, il bouge, il se retire et elle croit que c’est déjà fini, mais il replonge, cette fois un peu plus fort et elle crie, bouche contre bouche ; il lui parle affectueusement, il l’appelle « petit ventre », il dit qu’il aime sa chaleur, sa douceur, il commence à la pilonner et elle halète. Pendant un long moment, il va et vient dans le ventre offert, il écarte les cuisses de la fille et les remonte ; elle sent qu’elle dégouline et effarée murmure :
- On va tout salir le drap…
Il s’interrompt un bref instant et rit :
- C’est pas grave, il y a une machine à laver !
Il plonge à nouveau, la faisant crier à chaque fois que son gland cogne contre le col de la matrice. Il la prend ainsi durant de longues minutes, d’abord doucement, ayant soin de bien s’enfoncer en elle, sans la brusquer, modulant la puissance de ses coups de reins selon le comportement de la jeune fille, attentif à ses gémissements. Au bord de la pâmoison, elle relève ses cuisses contre les flancs de l’homme. Celui-ci décide alors d’augmenter la cadence et ses allées et venues dans le ventre en fusion s’accélèrent ; maintenant, c’est elle qui attire son visage contre le sien, qui dévore sa bouche. Dans un sursaut de lucidité, elle le supplie de faire attention, elle lui dit sa peur de tomber enceinte ; elle est juste dans sa période d’ovulation. Il la rassure :
- Ne t’en fais pas ma chérie, on ne va pas prendre de risque…Laisse-toi aller, je sais m’y prendre…
Il reprend de plus belle son pilonnage ; cette fois elle croise ses chevilles sur les reins de son amant et il s’enfonce de toute sa longueur dans le ventre écartelé ; il lui murmure :
- C’est dans ta bouche que je veux venir…
- Oui…Oui, venez ..Je suis à vous… I
l se retire de l’écrin marécageux et s’allonge ; du sang macule la verge et sans scrupule, il s’empare de la petite culotte rose pour s’essuyer ; alors qu’elle ouvre la bouche pour protester, il lui prend d’autorité la nuque et l’oblige à se pencher sur sa virilité dressée… Elle absorbe le gland épais tandis qu’il lui caresse les cheveux, soucieux de ne pas trop la brusquer. Elle s’applique et le pénis s’enfonce de plus en plus loin dans sa bouche. Paulo attire les corps de la jeune fille tout contre lui et pendant que sa main gauche ébouriffe les cheveux bouclés, sa main droite caresse les reins outrageusement cambrés par la position qu’il lui a fait prendre ; la faible lumière émanant de la lampe de chevet accentue les courbes de la croupe ainsi que le profond sillon qui sépare les deux hémisphères. Elle suce avec application, ses doigts fins enserrent la base du membre ; alors qu’elle se dit qu’il va capituler comme l’a fait Jean-Paul, il y a quinze jours, il interrompt la fellation et se hisse à genoux sur le lit, il se place derrière elle et se guidant d’une main, il la pénètre à nouveau, en levrette.
La position diffère et la percussion du gland contre son utérus est plus violente. Elle crie, mais il ne s’en émeut pas et commence de la marteler en cadence, sortant presque entièrement du vagin pour replonger tout au fond.
- Tu la sens ? Tu la sens bien ?
- Ouii, oh doucement…
- Tu es très jolie, hum quelles belles fesses !
Disant cela il pétrit les hémisphères laiteux. Bien vite elle connaît un nouvel orgasme et lui-même a toutes les peines du monde à se contrôler…Plusieurs fois il interrompt son va et vient et essaie de penser à autre chose, réussissant à ne pas se libérer dans la chaleur du ventre. Il se retire, arrachant un cri à sa victime et se penche derrière la croupe évasée. Ses dents mordent dans la pulpe des fesses, sa langue descend dans le sillon, parcourt rapidement le cratère brun, le périnée, pour atteindre la vulve…Sans cesser son exploration buccale, il s’allonge à nouveau et attire sa proie sur lui, à l’envers…
Elle comprend ce qu’il veut et le reprend dans sa bouche… Il la dévore pendant qu’elle le suce ; elle ruisselle et il déguste le miel qui s’écoule, s’interrompant un court instant pour la questionner :
- C’est la première fois que tu fais un 69 ?
- Oui…C’est la première fois, tout ce que vous me faites faire…C’est la première fois…C’est trop...
Elle le reprend dans sa bouche ; derrière, il la dévore, alternant les succions dans le con et le cul. Elle sent la hampe durcir dans sa bouche et devine que cette fois l’homme va se rendre ; elle redoute le moment de la salve mais la langue diabolique qui la fouille la rend folle et elle reçoit le torrent crémeux au moment même où elle a l’impression que son ventre se vide… Elle voudrait se relever, échapper à cette invasion douçâtre, mais c’est plus fort qu’elle, elle avale, tout en continuant sa succion, au paroxysme de la jouissance, elle caresse les bourses de Paulo pendant qu’elle extrait la dernière goutte, le faisant crier, comme elle a fait crier Jean-Paul il y a quinze jours, tout comme elle vient de crier elle-même…
Ils restent un long moment immobiles, puis elle abandonne sa position pour se blottir dans ses bras, se laissant caresser les flancs, les fesses. C’est le froid qui la fait réagir ainsi qu’un besoin pressant…Elle lui demande où sont les toilettes et s’y rend, toute nue, sous le regard connaisseur de son amant. De retour dans la chambre, lui offrant cette fois de face le spectacle de sa nudité, elle s’arrête au pied du lit :
- Il est presque deux heures, il va falloir que je rentre…
Elle baisse les yeux, consciente du regard scrutateur que l’homme promène sur elle ; allongé nu sur le lit, sa virilité encore tendue il lui dit :
- Oui, je vais te ramener chez ta sœur, mais viens encore une minute ici... Allez, approche !
Comme elle ne réagit pas assez vite à son goût, il se projette hors du lit et l’oblige à s’y étendre à nouveau ; elle est à plat ventre, il se penche sur la croupe laiteuse. La bouche experte parcourt à nouveau le corps de MY, les lèvres parsèment de petits baisers la colonne vertébrale, descendent au creux des reins, suivent le profond sillon des fesses, l’entrouvrent, descendent encore. Les mains viennent écarter les demi-lunes ; malgré les protestations de la jeune fille, la langue descend encore, atteint le cratère mauve, l’humecte ; elle sent la salive couler en elle, sur elle… Elle proteste encore, mais plus faiblement. La langue pénètre dans le fondement qui se dilate ; éperdue, honteuse, MY crispe ses doigts dans l’oreiller ; Paulo la dévore ainsi plusieurs minutes, puis d’une savante reptation, il se hisse contre elle, ses doigts remontent dans le sillon, le majeur investit doucement le cratère liquéfié…Elle gémit :
- Oh... non, pas çà, non…
Mais l’homme n’en a cure, il pousse son avantage ; le doigt s’enfonce , la faisant se cambrer.
- Hmm, on dirait que tu aimes çà !
- Arrêtez…Non…Non, je n’ai jamais….
- Oui, je sais, tu ne connais pas grand’chose, justement, tu es ici pour apprendre.
Il se penche sur elle, lui dépose des baisers sur les fesses, sa bouche remonte sur les hémisphères jumeaux, puis le long du dos ; la peau de la jeune fille se couvre de chair de poule ; il la mord doucement, là où elle est si potelée. L’alternance de baisers et de morsures se propage sur les épaules, se concentre sur la nuque. Plus bas, le doigt a repris son forage, il s’enfonce presque avec facilité dans l’anneau brun qui se distend peu à peu. De l’autre main, il lui maintient le buste plaqué sur le lit ; le doigt se dégage du fondement et il l’humecte de salive, goûtant au passage la saveur un peu forte des entrailles…
Il se hisse sur elle, elle supplie une dernière fois, mais intraitable, il guide son membre dans le canyon ; le mufle appuie contre les fronces bistres ; elle crie au moment où il force, elle hurle.
- Oh, non, non, c’est trop …. Arrêtez, ! J’ai mal… .Oh...Non…
En pleurs, elle en appelle à Dieu, à sa mère, elle supplie son tourmenteur, elle lui dit qu’il va la déchirer. Pour toute réponse, il lui redresse le buste en arrière, l’oblige à tourner la tête, sa bouche s’empare de la sienne après qu’il lui a murmuré
- Mais non, ma chérie, tu vas voir, tu vas aimer, tu es faite pour ça !
Et d’ajouter avec un certain cynisme :
- En plus, de ce côté-là, ça ne laisse pas de preuves, tu pourras toujours dire à ton amoureux que tu lui as réservé ton dernier pucelage.
Il rigole et l’humiliation l’emporte chez la jeune fille ; elle se cabre avec une énergie qu’il n’attendait pas et parvient à le désarçonner. Son membre quitte le sphincter sans l’avoir investi, provoquant un bruit douteux. Elle se redresse, hagarde, les yeux étincelants, sans se soucier de sa nudité.
- Ramenez- moi chez moi , non, laissez- moi, je vais bien me débrouiller pour rentrer, en stop !
Pas fou, il comprend la situation et se dit qu’il n’a pas intérêt à envenimer les choses . Il attrape son pantalon et l’enfile tandis qu’elle se rhabille en silence, se rendant seulement compte qu’elle a conservé ses nu-pieds durant toute leur étreinte. Elle enfile sa combinette, son slip souillé à l’élastique déchiré, sa jupe, son corsage et son gilet et passe son sac en bandoulière.
- Pas de panique, petite, je vais te ramener chez toi.
Le trajet du retour est silencieux ; elle ne dit mot, il lui demande si elle dort.
- Non, je ne pense pas pouvoir dormir.
Il rit doucement
- Tu as des remords ?
- Oui…
- Tu veux qu’on se revoie ?
- Je...Je ne sais pas .
Il sourit intérieurement « Si elle dit ça c’est que tout n’est pas perdu »
Il s’y connaît en femmes, le Paulo !
La DS 21 arrive à l’entrée du village ; il lui demande où il doit la déposer ; elle hésite, puis à contrecœur, elle indique le commerce d’épicerie, lieu de résidence de sa sœur ; elle croit utile de lui dire
- Ne laissez pas le moteur tourner devant la porte.
- T’en fais pas, petite, on va s’arrêter avant.
Il stoppe la voiture cent mètres avant l’épicerie, se penche sur elle ; la bouche de MY est odorante de leurs baisers, mais il parvient tout de même à en forcer le passage ; il réalise alors que lui-même doit être porteur d’arômes très forts car elle le repousse juste au moment où sa main descend sur le corsage de la jeune fille.
- Non, non, laissez moi, je dois rentrer .
Il n’insiste pas
- Bye, petite, si tu veux qu’on se revoie, tu sais où j’habite ; mon nom est Paul P., mon téléphone est dans l’annuaire. Honteuse et fatiguée, MY descend de la voiture et se hâte vers l’épicerie de sa sœur, attentive à ne réveiller personne, elle cherche quelques secondes la clé dans son sac. Paulo n’a pas redémarré, il suit d’un regard acéré la silhouette de la jeune fille dans le halo des phares, les jolies jambes fuselées, la croupe qui ondule sous le kilt…
- Hmm , c’était pas mal cette pucelle, je recommencerais bien.
MY a ouvert la porte d’entrée sur le côté de la maison et monte à pas de loup l’escalier. Elle s’enferme à la salle de bain, se déshabille, lave son slip dans le lavabo et le met à sécher sur la corde à linge ; demain, elle le mettra dans les chiffons. Puis elle fait couler à petit filet de l’eau dans le bidet, s’y assied en grimaçant. Son petit trou maltraité apprécie l’effet apaisant de l’eau tiède et savonneuse. Surtout ne pas faire de bruit, c’est pas le moment que Ghislaine, sa sœur, se réveille et la trouve dans cette situation inhabituelle. Elle décide de ne pas prendre une douche qui serait trop bruyante et se lave le corps dans l’eau du lavabo ; elle se sèche et trouve la boîte de crème Nivea dans le placard, elle s’en applique une noix sur l’orée de ses reins, tandis que défilent dans sa tête les images de cette soirée mouvementée. Elle passe une chemise de nuit en coton et dans l’obscurité revenue, elle gagne sa chambre. Contrairement à ce qu’elle pensait, elle s’endort. C’est le grand soleil qui la réveille au petit matin ; elle avait omis de fermer ses volets avant de partir ; ébouriffée, la bouche pâteuse, elle se lève, façon somnambule, se hâte de fermer les persiennes et de regagner son lit ; il n’est que six heures trente et elle ne travaille pas, alors, dodo !
Il est onze heures lorsque Ghislaine, sa sœur, pointe son visage dans l’ouverture de la porte.
- Il est onze heures, allez debout ! Martine vient d’appeler au téléphone, il faut que tu la rappelles…
- Au fait ce n’est pas elle qui t’a ramenée cette nuit ? - Heu… -
- Tu te fais raccompagner en DS… On ne se refuse rien, ma chère !
MY devine que sa sœur a assisté à son retour.
- Tu me surveilles ?
- Non, je m’étais levée pour faire pipi quand tu es arrivée ; qui était-ce ?
- Quelqu’un que tu ne connais pas, j’ai dansé avec lui et comme Martine était avec son gars, j’ai accepté quand il m’a proposé de me ramener.
- Il ne t’a proposé que ça ?
- Tu es bien curieuse !
- Je te rappelle que tu es ma sœur, que tu n’es pas majeure et que les parents t’ont placée sous ma responsabilité ! Tu auras l’air maligne quand tu annonceras à la mère que tu es enceinte !
- Qui te dit que… ?
- Taratata ! Tu as mis bien du temps à faire ta toilette, avant de te coucher, je t’ai bien entendue, en plus, tu as laissé traîner la boîte de Nivéa et l’élastique de ton slip qui est déchiré c’est sûrement en l’enlevant pour pisser ? Qui c’est ce type ?
Peu avide de discussion, MY élude
- Il m’a fait danser, il habite près de Besançon, il dirige une petite usine, mais je…
- Et il s’est bien amusé avec une jeunette, il a quel âge ?
- Je... Je sais pas, trente-cinq ans…Peut-être un peu plus.
- Bravo ! Et Jean-Paul, tu vas lui annoncer ça comment ?
- Ne t’occupe pas de Jean-Paul et laisse moi débrouiller mes affaires toute seule
- Je te préviens que si tu tombes enceinte, ça va barder !
- Pourquoi quand tu t’es fait engrosser par Jeannot, ça a bardé ?
La gifle est partie sèchement, lui marquant instantanément de rouge la pommette .
- Petite garce !
L’allusion à la mésaventure survenue à Ghislaine trois ans plus tôt a porté. La sœur aînée qui fréquentait son Jeannot s’est retrouvée un beau matin avec des nausées, pour découvrir qu’elle était grosse de deux mois et demi ; elle n’avait pas pris garde à l’absence de ses règles ; heureusement Jeannot qui reprenait la suite de son père dans l’épicerie familiale, avait régularisé et le mariage était venu remettre tout en ordre. Pour l’instant, l’heure semble être au règlement de compte entre les deux sœurs. C’est à ce moment que sonne le téléphone, Ghislaine va répondre et se tourne vers elle , de mauvaise grâce .
- C’est Martine ...
MY descend et s’empare du combiné
- Salut…Oui à deux heures je pense…Oui je te raconterai, mais je ne vais pas sortir longtemps cet après-midi, il y a de l’orage dans l’air avec ma sœur ; oui c’est ça on se retrouve au foyer.
La conversation a été brève, ce n’est pas le moment de passer des heures au téléphone. Elle remonte prestement à l’étage, prépare un pantalon , un chandail, un soutien-gorge et un slip et s’enferme dans la salle de bain. Une fois prête elle descend à l’épicerie et propose ses services à sa sœur pour faire le ménage avant la fermeture. Bien lui en prend car Ghislaine se radoucit et s’adresse à elle pendant qu’elle passe la serpillière :
- Désolée pour la baffe, c’est parti tout seul
- C’est pas grave.
Elle se masse machinalement la joue. Ghislaine croit bon de renchérir
- Tu sais, il faut faire attention ! Il t’a dépucelée ?
- Oui…
Il y un silence, puis
- Pour Jean-Paul, je vais lui écrire, la vérité…
- Et l’autre, tu vas le revoir ?
- Je sais pas…Ça dépendra de Jean-Paul.
- Tu es quand même gonflée, te faire sauter dès le premier soir par un type qui pourrait être ton père !
- Il a fait attention…
- Tu as beaucoup saigné ?
- Non…Je ne crois pas, enfin un peu quand même
- Il va falloir que tu te tiennes à carreau un moment ma petite
- Oui…
L’arrivée de Jeannot qui vient faire la caisse interrompt le dialogue, puis arrive l’heure de passer à table. Le repas est vite expédié ; l’après-midi, Jeannot a prévu d’aller à la pêche après la sieste et Ghislaine va emmener sa fille chez Mamy pour la traditionnelle visite dominicale. Finalement ça laisse à MY plus de temps libre que prévu . Elle se brosse les dents, se change, elle quitte pantalon, chandail et soutien-gorge, elle ne conserve que son slip blanc en coton et passe une robe-chemisier qui s’arrête à mi-cuisses, en acétate imprimé de losanges bruns sur fond jaune, fermée sur le devant par huit boutons, chausse ses nu-pieds blancs à petits talons. Le temps se couvre et elle endosse un imper en popeline bleu marine, lui aussi très court, sans le boutonner. S’efforçant de passer inaperçue, elle quitte la maison et se dirige vers le foyer rural, lieu de rencontre des jeunes du village… Il n’est que 14 heures, mais déjà les mobylettes vrombissent sur la place, des garçons bruyants sont attroupés devant la porte encore close du foyer. Elle fait la moue en constatant que Martine n’est pas arrivée ; elle n’a pas envie de discuter avec les autres ; elle pense à Jean-Paul ; s’il était là, rien ne se serait passé. C’est à cet instant qu’elle aperçoit la DS 21 au fond de la place, garée sous un arbre. Elle se sent pâlir, ses jambes flageolent et Martine qui n’arrive pas ! Les phares obliques de la DS lancent un éclair, elle comprend que c’est pour elle ; elle a peur qu’on la voie, mais se dirige quand-même vers la voiture. La vitre teintée s’abaisse, Paulo est seul à bord, vêtu d’une chemise Lacoste et d’un pantalon noirs.
- Bonjour, petite, bien dormi ? Je savais que je te retrouverais ici…
- Vous en savez, des choses !
- Pas assez encore, mais j’apprends vite ! Tu montes un instant ?
- Si vous voulez…
Elle aurait voulu dire non et s’en veut déjà de capituler si vite ; elle s’installe sur le siège passager tenant vainement d’empêcher sa robe de remonter sur ses cuisses.
- J’ai rendez-vous avec Martine, ma copine d’hier soir, elle…
- Elle attendra, il est à peine deux heures, ça nous laisse le temps de discuter ; tu me fais visiter un peu les environs ? Disant cela, il actionne le petit levier des vitesses au-dessus du volant qui sert également de démarreur sur les DS. Le moteur ronronne doucement. Sans avoir laissé à la jeune fille le temps de donner son avis, il démarre. La voiture roule doucement, quitte le village.
- C’est par ici que tu viens de promener avec ton amoureux ?
- Oui, avec sa 2Cv, ça passe mais avec votre belle voiture, je sais pas, le chemin est en mauvais état…
- T’en fais pas, si ça coince, je mettrai en position haute, ça passera sans problème.
Elle renonce à parler mécanique. La voiture ralentit alors que le goudron cède la place au tout-venant. Paulo passe de troisième en seconde et sa main quitte le volant pour se poser sur le genou de la jeune fille.
- Alors c’est par ici que tu viens faire des câlins ?
- Oui, quand il fait beau et s’il n’y a personne qui se promène.
- Alors, aujourd’hui c’est le temps idéal, il va pleuvoir dans une demi-heure, on a juste le temps de se dégourdir les jambes; il engage la voiture dans un chemin sous les frondaisons ; sa main remonte sur la cuisse. Elle lui demande d’être sage, mais il n’en tient pas compte, arrête le véhicule et se penche sur elle. L’avantage de la DS c’est qu’il n’y a aucun levier de vitesse ou autre accessoire pour encombrer le plancher et le passage d’un siège à l’autre est des plus aisés. Il caresse la cuisse tiède, puis sa main actionne le levier de la portière côté passager… Elle descend de la voiture et il la suit de près. Ils ont à peine fait quelques pas qu’il l’arrête et le tient face à lui ; elle baisse les yeux et n’oppose aucune résistance quand le visage de Paulo s’approche, ni quand sa bouche s’empare de la sienne. Le baiser est tout aussi torride que ceux d’hier soir. Elle noue ses mains sur la nuque virile ; les mains de l’homme passent sous l’imper, caressent son dos, descendent sur ses reins ; les doigts experts suivent le relief que fait la ceinture élastique du slip sous le fin tissu de la robe, descendent sur les globes fessiers. Elle voudrait dire non, mais la langue qui visite sa bouche, ses dents, son palais, la fait suffoquer. Les salives se mélangent, la main droite pétrit sa croupe alors que la gauche revient sur le devant et déboutonne la robe. Il interrompt le baiser pour la contempler. Il se régale du spectacle qu’elle lui offre, femme-enfant, coupe de cheveux à la garçonne, yeux bruns candides, et plus bas des seins en poires aux aréoles surdimensionnées, le ventre adorable avec ce nombril enfoui dans une profonde cuvette, l’abdomen rebondi qui tend le coton blanc du slip par les côtés duquel s’échappent quelques poils bruns.
- Ôte ta culotte !
Elle a un temps d’hésitation, mais le regard acéré qui la scrute a raison de sa résistance ; elle fait doucement glisser le coton blanc, dévoilant le ventre puis le pubis fourni. Il insiste :
- Ôte la et donne-la-moi-la-moi !
- Vous êtes collectionneur de petites culottes ?
- C’est surtout ce qu’il y a dedans qui m’intéresse !
- Ôte la !
Elle obéit, la culotte descend sur les cuisses fuselées, les genoux, elle lève un pied puis l’autre pour se débarrasser du dernier rempart de sa féminité ; penaude elle lui tend le slip. Il s’en saisit, le retourne, le hume. Comme il sourit en examinant le fond, elle croit bon de préciser :
- Je…J’ai dû mettre de la crème Nivéa, derrière…
Elle est rouge de confusion.
- Tu as mal ?
- Oui, un peu…
- Je serai patient…
Il glisse le slip dans sa poche et s’approche d’elle ; leurs bouches se joignent à nouveau, elle se blottit contre lui. La main droite de Paulo la serre, la gauche descend sur le ventre, cherche l’entrée, caresse les lèvres ; un doigt pénètre, elle gémit. Alors il la dépouille de l’imperméable puis de la robe ; elle est toute nue au milieu de la clairière, presque à l’endroit même où elle est venue avec Jean-Paul. C’est à ce moment que tombent les premières gouttes de pluie annoncées par la météo.
- Viens, on va se mettre à l’abri. Il se saisit de ses vêtements tombés à terre et l’entraîne vers la DS. Les gouttes de pluie grossissent et MY se laisse allonger sur la banquette arrière de la voiture. Paulo referme la portière et tendant le bras entre les deux dossiers des sièges avant, ouvre la boîte à gant. Il tient un petit étui en celluloïd et en extrait une sorte de noyau verdâtre et translucide.
- Tiens, mets ça dans ton vagin ; c’est une gélule de Synthol ; c’est un désinfectant et ça sert aussi de contraception locale.
Elle n’a pas le temps de répondre, il reprend sa bouche et c’est lui qui enfonce la gélule dans le ventre, lui murmurant :
- J’ai envie de t’aimer sans retenue, comme ça, tu ne risqueras rien.
Éperdue, elle lui caresse les cheveux amoureusement.
- Vous êtes fou et vous me rendez folle…
- Attends, ce n’est qu’un début !
Les doigts reprennent leur exploration, deux d’entre eux s’enfoncent dans le vagin où la gélule est en train de fondre ; l’index ressort du cloaque et remonte jusqu’au clitoris qu’il décapuchonne, la faisant se cabrer. La caresse s’accentue, elle halète, gémit, le supplie d’arrêter. Il s’en garde bien et continue en même temps que sa bouche vient réduire au silence celle de sa petite prisonnière. Elle songe un bref instant qu’elle va à nouveau tromper Jean-Paul, au moment même où Paulo se redresse, quitte sa chemise et déboucle la ceinture de son pantalon ; dessous il ne porte rien, elle entrevoit un court instant la verge tendue, couronnée d’un épais gland violet. Il lui écarte les cuisses et son visage plonge dans la fourche, elle sent le contact de la bouche contre son intimité, de la langue qui la visite et remplace les doigts sur le clitoris à vif. Elle crie, elle le supplie encore d’arrêter, elle sent que son ventre se liquéfie. Il lui relève les cuisses en arrière et sa langue s’enfonce dans le vagin ; mais il s’interrompt et se redresse, barbouillé de sécrétions, rigolard :
- Pas très bon le Synthol !
Il se hisse entre les cuisses ouvertes, se guide d’une main ; elle sent le gland contre son ouverture. Il tâtonne à peine et s’enfonce d’un trait en elle, la faisant hurler. Très rapidement il s’installe en elle, alors que dehors les éléments se déchaînent. D’énormes gouttes martèlent le toit de la voiture dont les vitres s’embrument de buée. MY crie sans discontinuer pendant de longues minutes sous les assauts de Paulo. La verge dure et épaisse envahit son ventre ; il lui relève les cuisses pour mieux la pilonner, se penche sur elle pour cueillir sur ses lèvres le souffle chaud de sa jouissance. Elle crispe ses doigts sur les flancs de l’homme et lui griffe la peau. Il exulte.
- Tu aimes ça, hein, petite chatte ?
- Oui, j’aime, oh oui, encore !
Il sort un bref instant du ventre en chaleur pour s’y enfoncer à nouveau en force
- Tiens, prends ! Tu aimes ? Dis le !
- Oui, j’aime, oui, prenez moi encore, inondez moi !
- Je veux ton cul !
- Non... Non ! Je veux que Jean-Paul soit le premier à me prendre comme ça…S’il veut encore de moi.
Il interrompt ses allées et venues et la questionne
- Tu vas lui dire que tu l’as trompé ?`
- Oui, je vais lui écrire demain, de toutes façons, il se rendra bien compte que je ne suis plus vierge.
- Tu regrettes ?
- Oui, enfin, non, je ne sais pas ; tout s’est passé tellement vite avec vous…
Il reprend ses allées et venues dans le ventre qui se fait de plus en plus accueillant ; elle hisse son visage vers le sien pour que leurs lèvres se joignent ; bouche contre bouche elle murmure :
- J’ai honte, mais j’aime ce que vous me faites, vous me rendez folle !
Subjugué par cet aveu, il lui relève les cuisses encore plus haut, les lui ramenant contre ses propres épaules et se rue en elle. En même temps sa main gauche passe sous les reins, son majeur s’insère dans le sillon fessier, arrive au contact de l’anneau étoilé et s’y enfonce.
-Je veux que tu te donnes à moi par là, quand tu l’auras fait avec ton fiancé…
- Oui, je me donnerai…
- Tu me donneras quoi ? Dis le !
Il la besogne de plus en plus fort… Entre deux gémissements, d’une voix hachée, elle lui dit ce qu’il veut entendre :
- Oui…Oui, je vous donnerai mon derrière…
- Ça s’appelle autrement !
- Je…Je vous donnerai mon cul…
Elle est au bord de la pâmoison, ses joues passent au rouge, ses yeux chavirent, elle découvre l’orgasme dans toute sa splendeur. Au moment où elle hurle, il laisse aller les vannes de sa propre libido et elle reçoit en elle la bouillante invasion de sa semence. Une salve, puis une deuxième, une troisième viennent s’écraser au plus profond d’elle-même. Paulo jouit en ahanant, à chaque décharge, il lui assène de violents coups de boutoir, accompagnant son éjaculation de mots d’une crudité inouïe.
- Tiens, prends ! Prends mon jus…Tu aimes ? Tu aimes petite pute ?
- Oui, oui j’aime, oh c’est chaud !
Elle hisse à nouveau son visage vers lui, leurs bouches se joignent, leurs langues se mélangent. Il est sorti de son ventre et a extirpé de la contre-porte une boîte de Kleenex ; c’est lui qui a épongé les sécrétions diverses sur le cuir de la banquette ; elle est sur le flanc, en chien de fusil, le visage caché dans son bras replié, encore haletante. Comme il lui caresse la hanche, elle se redresse et se saisit de sa robe qu’elle enfile à la hâte ; elle dépose un bisou furtif sur les lèvres de son amant :
- J’ai envie de faire pipi…
Comme il pleut toujours, elle pose son imper sur ses épaules, sort de la voiture et ne jugeant pas utile de s’éloigner, s’accroupit dans l’herbe, tout près de la voiture, soulageant sa vessie dans un long jet doré. Il se penche et lui propose un Kleenex
- Oui, je veux bien, merci… Sans se soucier de sa nudité, il sort de la voiture et lui tend le mouchoir en papier. MY termine sa miction et s’essuie , consciente du regard de l’homme sur elle ; elle lève le visage et cille sous la lumière d’un flash. Il vient de la prendre en photo ! Il tient en main un minuscule appareil Rollei et croit bon d’expliquer :
- Très pratique ces petits appareils : ça tient dans la main et ça fait des belles photos, tu verras…
Elle se redresse, écarlate
- Vous allez les faire développer ?
- Bien sûr, mais sois tranquille, c’est un photographe qui travaille pour moi, il développe mes photos de chantier, ça va le changer un peu des cuisines et des salles de bain ; rassure toi, il est discret.
Elle a ramené sur sa nudité les pans de sa robe et de son imper.
- Allez, ouvre, montre moi tout ça, que je fasse de belles images
- Non, non, je veux pas…
- Allez, juste le haut…
Honteuse d’être si complaisante, elle écarte le haut de ses vêtements, dénudant ses seins aux aréoles gonflées… Le flash crépite encore deux fois avant qu’elle reboutonne sa robe.
Comme elle se penche vers la banquette pour récupérer sa culotte, il l’arrête :
- Tt, tt , non… .Je la garde, j’ai tout prévu !
Il ouvre la portière avant et sort de la boîte à gants un étui en carton glacé portant la marque Rosy.
- Tiens, déballe, c’est pour toi, j’ai obligé une amie qui tient une boutique de lingerie à ouvrir ce matin …
Les doigts tremblants, elle ouvre le paquet pour y trouver un slip noir en dentelle.
- Passe le, c’est sûrement la bonne taille, c’est du 38.
Dépassée par les événements, elle déplie le nylon…Le devant est un triangle en dentelle, un cordon élastique festonné court sur les hanches et le derrière est en tulle transparent… Elle enfile le slip et s’offre à son regard ; le devant, très échancré, laisse échapper sur les côtés les poils frisés du pubis ; il lui demande de pivoter et de se retrousser. Elle le fait , remontant la robe et l’imper au-dessus de ses reins. Il contemple avidement la mappemonde blanche, le sillon crûment révélé par le fin voile. Le flash illumine la scène tandis qu’elle proteste :
- Vous allez montrer ces photos à qui ?
- N’aie pas peur, on avisera quand elles seront développées, tu seras la première à les voir.
- Et qui d’autre ?
- Pas de panique, j’aime la discrétion et si je les montre, ce sera à des connaisseurs !
La pluie a cessé ; elle regarde sa montre ; il est quinze heures…Que d’émotions en une heure ! Elle lui demande de la ramener au foyer rural ; il enfile rapidement ses vêtements alors qu’elle prend place sur le siège avant. Il roule doucement sur la petite route qui mène au village et lui parle. Elle apprend qu’il dirige une société d’agencement et qu’il doit partir pour plus d’un mois, à Paris, pour deux gros chantiers, un appartement et un magasin, qu’il ne la reverra pas, qu’elle va lui manquer.
- Je passerai peut-être mardi acheter des croissants, c’est sur ma route.
- Si vous voulez…
Elle lui demande de la déposer à l’écart ; ils se séparent après un rapide baiser. Martine sort à l’instant même de la salle du foyer où elle s’était abritée de la pluie, malgré le tintamarre du juke-box et du baby-foot autour duquel s’escriment quelques garçons braillards. Elle vient à sa rencontre, alors que la DS s’éloigne.
- Eh ben ma cocotte, c’est du flirt çà !
Dit-elle en faisant la bise à la brunette ; elle s’éloignent à l’écart du bâtiment
- Oh, tais toi…Je ne réalise toujours pas ce qui m’arrive !
- Tu as couché avec lui ?
- Oui, cette nuit et on a recommencé dans la voiture, tout à l’heure. Je vais être obligée de tout avouer à Jean-Paul… - -Pourquoi ? C’est peut-être pas la peine de te compliquer la vie ?
- C’est que…Je ne te l’ai pas dit, mais avec Jean-Paul, on n’a jamais été jusqu’au bout, juste des caresses au lit et il a eu ma bouche, mais pas plus. Avec lui là, Paul, c’était la première fois que je…
- Tu veux dire que tu avais encore ton pucelage ?
- Oui..
- Aïe !
- Comme tu dis ! Je vais lui écrire demain, on verra bien…
- Eh ben ma cocotte, je voudrais pas être à ta place ; tu as aimé au moins ? Oui, si tu as remis ça aujourd’hui, c’est que tu as aimé et lui aussi, apparemment !
- Oui, j’ai aimé, c’est ça le pire !
La rouquine s’inquiète
- Vous êtes allés « jusqu’au bout » ? -
Hier soir , chez lui, il a fini, heu…Dans ma bouche et tout à l’heure, dans sa voiture, il m’a fait prendre des précautions, une gélule de Synthol dans la craquette ; il dit que ça protège ; surtout que je suis en pleine période critique !
- Moi aussi, mais cette nuit, avec mon amoureux, on a fait « autrement ».
- Autrement ?
- Oui, il m’a « fait ça » dans le derrière ; j’ai trouvé ça bien, mais je te dis pas l’état des draps, j’étais gênée, si tu savais ! - - Moi, il a voulu me prendre comme ça hier soir, mais j’ai pas laissé faire et je me dis que si Jean-Paul veut encore de moi, je me donnerai à lui de cette façon.
- Et dans la voiture, c’était bien ?
- Oui, je crois que j’ai joui encore plus que cette nuit ! Il a gardé ma culotte en trophée et il avait prévu son coup : il m’en a offert une autre à la place
- Montre !
MY s’assure que personne ne peut les voir et ouvrant son imper, elle retrousse sa robe jusqu’à la taille, révélant à sa copine le sous-vêtement noir.
- Wouah… ! Un string ! Tourne toi…Pfff, avec le popotin que tu as, c’est fou l’effet ! Si j’étais un gars, je te sauterais dessus!
Elles rient, Martine poursuit :
- Tu vas le revoir ?
- Je sais pas, il part en déplacement à Paris, plus d’un mois, d’ici là, Jean-Paul sera revenu en permission, enfin j’espère. Bon c’est pas tout çà, il va falloir que je rentre, si je veux faire ma toilette, il vaut mieux que ma sœur ne soit pas là et ce soir, je vais au dodo de bonne heure !
- Je te raccompagne ; tu veux qu’on aille danser dimanche prochain ?
- Je sais pas, on verra, téléphone moi. ( à suivre)
Elle semble empruntée, son sac à la main, son gilet sur les épaules. Il les lui enlève et la prend dans ses bras. Pour la énième fois leurs bouches se joignent. Elle succombe rapidement et noue ses mains sur la nuque de Paulo, se laissant déshabiller sans résistance. Il prend son temps pour lui ôter son corsage, puis sa jupe, sa combinette ; elle n’a plus que son slip et ses nu-pieds à talons. Il la pousse doucement vers la pièce voisine, c’est une chambre avec un grand lit. Il allume une lampe de chevet, s’écarte un moment d’elle et la contemple, appréciant les épaules bien dessinées, les seins pas très gros mais déjà lourds, avec de larges aréoles, la cuvette du nombril, le ventre un peu rebondi, les cuisses fuselées, les genoux bien polis, les mollets galbés et les fines attaches des chevilles. Il la fait se tourner et émet un sifflement dont elle devine que son derrière est la cause…Il admire en effet le contraste entre la croupe joufflue et l’étroitesse de la taille. Elle ferme les yeux ; elle devine aux froissements de tissu qu’il se déshabille ; puis elle le sent contre elle…Elle repense à la réflexion de Martine qui lui disait tout à l’heure « Je vais passer à la casserole », elle aussi va y passer, la virilité chaude et tendue s’appuie contre ses reins…Les mains de l’homme font glisser son slip un peu brusquement, au point de craquer l’élastique de la taille ; elle lève un pied puis l’autre pour qu’il l’en débarrasse. Il conserve un instant le fragile sous-vêtement en main, le porte à ses narines, émet un murmure approbateur - Hmm, j’aime ton odeur . Elle est horriblement gênée. Toujours plaqué contre son dos, il lui ramène le visage en arrière pour un nouveau baiser. La langue visite sa bouche, les mains remontent des hanches jusqu’à la poitrine, pétrissant les seins, étirant les bouts, elle cambre ses reins contre l’homme. Prestement il ouvre le lit et la couche, il s’allonge contre elle, la place sur le dos et entame une savante découverte de son corps. La bouche de Paulo parcourt les seins, descend sur le nombril, remonte puis redescend plus bas ; au moment où la langue, se frayant un chemin dans la végétation luxuriante du pubis, pénètre dans la brèche odorante et atteint la crête sensible du clitoris, elle hurle - Oh… Oui... .Oui
Il la dévore un long moment, mêlant salive et cyprine et lorsque la sentant prête il lui demande si elle se donne, elle répond
- Oui, prenez moi !
Il se hisse sur elle et se guide d’une main ; elle sent le contact du gland contre ses lèvres intimes, puis l’intromission…Le membre est terriblement épais, mais l’homme sait s’y prendre ; il force en douceur et elle sent un bref instant une sensation de déchirure, puis c’est comme si elle s’ouvrait tel un fruit bien mûr. Ça y est, elle est femme ; le membre s’introduit en elle, comme s’il mesurait des mètres et des mètres. La bouche de l’homme baise ses yeux, son nez, sa bouche, elle pleure et il goûte le sel de ses larmes. En bas, dans son ventre, il bouge, il se retire et elle croit que c’est déjà fini, mais il replonge, cette fois un peu plus fort et elle crie, bouche contre bouche ; il lui parle affectueusement, il l’appelle « petit ventre », il dit qu’il aime sa chaleur, sa douceur, il commence à la pilonner et elle halète. Pendant un long moment, il va et vient dans le ventre offert, il écarte les cuisses de la fille et les remonte ; elle sent qu’elle dégouline et effarée murmure :
- On va tout salir le drap…
Il s’interrompt un bref instant et rit :
- C’est pas grave, il y a une machine à laver !
Il plonge à nouveau, la faisant crier à chaque fois que son gland cogne contre le col de la matrice. Il la prend ainsi durant de longues minutes, d’abord doucement, ayant soin de bien s’enfoncer en elle, sans la brusquer, modulant la puissance de ses coups de reins selon le comportement de la jeune fille, attentif à ses gémissements. Au bord de la pâmoison, elle relève ses cuisses contre les flancs de l’homme. Celui-ci décide alors d’augmenter la cadence et ses allées et venues dans le ventre en fusion s’accélèrent ; maintenant, c’est elle qui attire son visage contre le sien, qui dévore sa bouche. Dans un sursaut de lucidité, elle le supplie de faire attention, elle lui dit sa peur de tomber enceinte ; elle est juste dans sa période d’ovulation. Il la rassure :
- Ne t’en fais pas ma chérie, on ne va pas prendre de risque…Laisse-toi aller, je sais m’y prendre…
Il reprend de plus belle son pilonnage ; cette fois elle croise ses chevilles sur les reins de son amant et il s’enfonce de toute sa longueur dans le ventre écartelé ; il lui murmure :
- C’est dans ta bouche que je veux venir…
- Oui…Oui, venez ..Je suis à vous… I
l se retire de l’écrin marécageux et s’allonge ; du sang macule la verge et sans scrupule, il s’empare de la petite culotte rose pour s’essuyer ; alors qu’elle ouvre la bouche pour protester, il lui prend d’autorité la nuque et l’oblige à se pencher sur sa virilité dressée… Elle absorbe le gland épais tandis qu’il lui caresse les cheveux, soucieux de ne pas trop la brusquer. Elle s’applique et le pénis s’enfonce de plus en plus loin dans sa bouche. Paulo attire les corps de la jeune fille tout contre lui et pendant que sa main gauche ébouriffe les cheveux bouclés, sa main droite caresse les reins outrageusement cambrés par la position qu’il lui a fait prendre ; la faible lumière émanant de la lampe de chevet accentue les courbes de la croupe ainsi que le profond sillon qui sépare les deux hémisphères. Elle suce avec application, ses doigts fins enserrent la base du membre ; alors qu’elle se dit qu’il va capituler comme l’a fait Jean-Paul, il y a quinze jours, il interrompt la fellation et se hisse à genoux sur le lit, il se place derrière elle et se guidant d’une main, il la pénètre à nouveau, en levrette.
La position diffère et la percussion du gland contre son utérus est plus violente. Elle crie, mais il ne s’en émeut pas et commence de la marteler en cadence, sortant presque entièrement du vagin pour replonger tout au fond.
- Tu la sens ? Tu la sens bien ?
- Ouii, oh doucement…
- Tu es très jolie, hum quelles belles fesses !
Disant cela il pétrit les hémisphères laiteux. Bien vite elle connaît un nouvel orgasme et lui-même a toutes les peines du monde à se contrôler…Plusieurs fois il interrompt son va et vient et essaie de penser à autre chose, réussissant à ne pas se libérer dans la chaleur du ventre. Il se retire, arrachant un cri à sa victime et se penche derrière la croupe évasée. Ses dents mordent dans la pulpe des fesses, sa langue descend dans le sillon, parcourt rapidement le cratère brun, le périnée, pour atteindre la vulve…Sans cesser son exploration buccale, il s’allonge à nouveau et attire sa proie sur lui, à l’envers…
Elle comprend ce qu’il veut et le reprend dans sa bouche… Il la dévore pendant qu’elle le suce ; elle ruisselle et il déguste le miel qui s’écoule, s’interrompant un court instant pour la questionner :
- C’est la première fois que tu fais un 69 ?
- Oui…C’est la première fois, tout ce que vous me faites faire…C’est la première fois…C’est trop...
Elle le reprend dans sa bouche ; derrière, il la dévore, alternant les succions dans le con et le cul. Elle sent la hampe durcir dans sa bouche et devine que cette fois l’homme va se rendre ; elle redoute le moment de la salve mais la langue diabolique qui la fouille la rend folle et elle reçoit le torrent crémeux au moment même où elle a l’impression que son ventre se vide… Elle voudrait se relever, échapper à cette invasion douçâtre, mais c’est plus fort qu’elle, elle avale, tout en continuant sa succion, au paroxysme de la jouissance, elle caresse les bourses de Paulo pendant qu’elle extrait la dernière goutte, le faisant crier, comme elle a fait crier Jean-Paul il y a quinze jours, tout comme elle vient de crier elle-même…
Ils restent un long moment immobiles, puis elle abandonne sa position pour se blottir dans ses bras, se laissant caresser les flancs, les fesses. C’est le froid qui la fait réagir ainsi qu’un besoin pressant…Elle lui demande où sont les toilettes et s’y rend, toute nue, sous le regard connaisseur de son amant. De retour dans la chambre, lui offrant cette fois de face le spectacle de sa nudité, elle s’arrête au pied du lit :
- Il est presque deux heures, il va falloir que je rentre…
Elle baisse les yeux, consciente du regard scrutateur que l’homme promène sur elle ; allongé nu sur le lit, sa virilité encore tendue il lui dit :
- Oui, je vais te ramener chez ta sœur, mais viens encore une minute ici... Allez, approche !
Comme elle ne réagit pas assez vite à son goût, il se projette hors du lit et l’oblige à s’y étendre à nouveau ; elle est à plat ventre, il se penche sur la croupe laiteuse. La bouche experte parcourt à nouveau le corps de MY, les lèvres parsèment de petits baisers la colonne vertébrale, descendent au creux des reins, suivent le profond sillon des fesses, l’entrouvrent, descendent encore. Les mains viennent écarter les demi-lunes ; malgré les protestations de la jeune fille, la langue descend encore, atteint le cratère mauve, l’humecte ; elle sent la salive couler en elle, sur elle… Elle proteste encore, mais plus faiblement. La langue pénètre dans le fondement qui se dilate ; éperdue, honteuse, MY crispe ses doigts dans l’oreiller ; Paulo la dévore ainsi plusieurs minutes, puis d’une savante reptation, il se hisse contre elle, ses doigts remontent dans le sillon, le majeur investit doucement le cratère liquéfié…Elle gémit :
- Oh... non, pas çà, non…
Mais l’homme n’en a cure, il pousse son avantage ; le doigt s’enfonce , la faisant se cambrer.
- Hmm, on dirait que tu aimes çà !
- Arrêtez…Non…Non, je n’ai jamais….
- Oui, je sais, tu ne connais pas grand’chose, justement, tu es ici pour apprendre.
Il se penche sur elle, lui dépose des baisers sur les fesses, sa bouche remonte sur les hémisphères jumeaux, puis le long du dos ; la peau de la jeune fille se couvre de chair de poule ; il la mord doucement, là où elle est si potelée. L’alternance de baisers et de morsures se propage sur les épaules, se concentre sur la nuque. Plus bas, le doigt a repris son forage, il s’enfonce presque avec facilité dans l’anneau brun qui se distend peu à peu. De l’autre main, il lui maintient le buste plaqué sur le lit ; le doigt se dégage du fondement et il l’humecte de salive, goûtant au passage la saveur un peu forte des entrailles…
Il se hisse sur elle, elle supplie une dernière fois, mais intraitable, il guide son membre dans le canyon ; le mufle appuie contre les fronces bistres ; elle crie au moment où il force, elle hurle.
- Oh, non, non, c’est trop …. Arrêtez, ! J’ai mal… .Oh...Non…
En pleurs, elle en appelle à Dieu, à sa mère, elle supplie son tourmenteur, elle lui dit qu’il va la déchirer. Pour toute réponse, il lui redresse le buste en arrière, l’oblige à tourner la tête, sa bouche s’empare de la sienne après qu’il lui a murmuré
- Mais non, ma chérie, tu vas voir, tu vas aimer, tu es faite pour ça !
Et d’ajouter avec un certain cynisme :
- En plus, de ce côté-là, ça ne laisse pas de preuves, tu pourras toujours dire à ton amoureux que tu lui as réservé ton dernier pucelage.
Il rigole et l’humiliation l’emporte chez la jeune fille ; elle se cabre avec une énergie qu’il n’attendait pas et parvient à le désarçonner. Son membre quitte le sphincter sans l’avoir investi, provoquant un bruit douteux. Elle se redresse, hagarde, les yeux étincelants, sans se soucier de sa nudité.
- Ramenez- moi chez moi , non, laissez- moi, je vais bien me débrouiller pour rentrer, en stop !
Pas fou, il comprend la situation et se dit qu’il n’a pas intérêt à envenimer les choses . Il attrape son pantalon et l’enfile tandis qu’elle se rhabille en silence, se rendant seulement compte qu’elle a conservé ses nu-pieds durant toute leur étreinte. Elle enfile sa combinette, son slip souillé à l’élastique déchiré, sa jupe, son corsage et son gilet et passe son sac en bandoulière.
- Pas de panique, petite, je vais te ramener chez toi.
Le trajet du retour est silencieux ; elle ne dit mot, il lui demande si elle dort.
- Non, je ne pense pas pouvoir dormir.
Il rit doucement
- Tu as des remords ?
- Oui…
- Tu veux qu’on se revoie ?
- Je...Je ne sais pas .
Il sourit intérieurement « Si elle dit ça c’est que tout n’est pas perdu »
Il s’y connaît en femmes, le Paulo !
La DS 21 arrive à l’entrée du village ; il lui demande où il doit la déposer ; elle hésite, puis à contrecœur, elle indique le commerce d’épicerie, lieu de résidence de sa sœur ; elle croit utile de lui dire
- Ne laissez pas le moteur tourner devant la porte.
- T’en fais pas, petite, on va s’arrêter avant.
Il stoppe la voiture cent mètres avant l’épicerie, se penche sur elle ; la bouche de MY est odorante de leurs baisers, mais il parvient tout de même à en forcer le passage ; il réalise alors que lui-même doit être porteur d’arômes très forts car elle le repousse juste au moment où sa main descend sur le corsage de la jeune fille.
- Non, non, laissez moi, je dois rentrer .
Il n’insiste pas
- Bye, petite, si tu veux qu’on se revoie, tu sais où j’habite ; mon nom est Paul P., mon téléphone est dans l’annuaire. Honteuse et fatiguée, MY descend de la voiture et se hâte vers l’épicerie de sa sœur, attentive à ne réveiller personne, elle cherche quelques secondes la clé dans son sac. Paulo n’a pas redémarré, il suit d’un regard acéré la silhouette de la jeune fille dans le halo des phares, les jolies jambes fuselées, la croupe qui ondule sous le kilt…
- Hmm , c’était pas mal cette pucelle, je recommencerais bien.
MY a ouvert la porte d’entrée sur le côté de la maison et monte à pas de loup l’escalier. Elle s’enferme à la salle de bain, se déshabille, lave son slip dans le lavabo et le met à sécher sur la corde à linge ; demain, elle le mettra dans les chiffons. Puis elle fait couler à petit filet de l’eau dans le bidet, s’y assied en grimaçant. Son petit trou maltraité apprécie l’effet apaisant de l’eau tiède et savonneuse. Surtout ne pas faire de bruit, c’est pas le moment que Ghislaine, sa sœur, se réveille et la trouve dans cette situation inhabituelle. Elle décide de ne pas prendre une douche qui serait trop bruyante et se lave le corps dans l’eau du lavabo ; elle se sèche et trouve la boîte de crème Nivea dans le placard, elle s’en applique une noix sur l’orée de ses reins, tandis que défilent dans sa tête les images de cette soirée mouvementée. Elle passe une chemise de nuit en coton et dans l’obscurité revenue, elle gagne sa chambre. Contrairement à ce qu’elle pensait, elle s’endort. C’est le grand soleil qui la réveille au petit matin ; elle avait omis de fermer ses volets avant de partir ; ébouriffée, la bouche pâteuse, elle se lève, façon somnambule, se hâte de fermer les persiennes et de regagner son lit ; il n’est que six heures trente et elle ne travaille pas, alors, dodo !
Il est onze heures lorsque Ghislaine, sa sœur, pointe son visage dans l’ouverture de la porte.
- Il est onze heures, allez debout ! Martine vient d’appeler au téléphone, il faut que tu la rappelles…
- Au fait ce n’est pas elle qui t’a ramenée cette nuit ? - Heu… -
- Tu te fais raccompagner en DS… On ne se refuse rien, ma chère !
MY devine que sa sœur a assisté à son retour.
- Tu me surveilles ?
- Non, je m’étais levée pour faire pipi quand tu es arrivée ; qui était-ce ?
- Quelqu’un que tu ne connais pas, j’ai dansé avec lui et comme Martine était avec son gars, j’ai accepté quand il m’a proposé de me ramener.
- Il ne t’a proposé que ça ?
- Tu es bien curieuse !
- Je te rappelle que tu es ma sœur, que tu n’es pas majeure et que les parents t’ont placée sous ma responsabilité ! Tu auras l’air maligne quand tu annonceras à la mère que tu es enceinte !
- Qui te dit que… ?
- Taratata ! Tu as mis bien du temps à faire ta toilette, avant de te coucher, je t’ai bien entendue, en plus, tu as laissé traîner la boîte de Nivéa et l’élastique de ton slip qui est déchiré c’est sûrement en l’enlevant pour pisser ? Qui c’est ce type ?
Peu avide de discussion, MY élude
- Il m’a fait danser, il habite près de Besançon, il dirige une petite usine, mais je…
- Et il s’est bien amusé avec une jeunette, il a quel âge ?
- Je... Je sais pas, trente-cinq ans…Peut-être un peu plus.
- Bravo ! Et Jean-Paul, tu vas lui annoncer ça comment ?
- Ne t’occupe pas de Jean-Paul et laisse moi débrouiller mes affaires toute seule
- Je te préviens que si tu tombes enceinte, ça va barder !
- Pourquoi quand tu t’es fait engrosser par Jeannot, ça a bardé ?
La gifle est partie sèchement, lui marquant instantanément de rouge la pommette .
- Petite garce !
L’allusion à la mésaventure survenue à Ghislaine trois ans plus tôt a porté. La sœur aînée qui fréquentait son Jeannot s’est retrouvée un beau matin avec des nausées, pour découvrir qu’elle était grosse de deux mois et demi ; elle n’avait pas pris garde à l’absence de ses règles ; heureusement Jeannot qui reprenait la suite de son père dans l’épicerie familiale, avait régularisé et le mariage était venu remettre tout en ordre. Pour l’instant, l’heure semble être au règlement de compte entre les deux sœurs. C’est à ce moment que sonne le téléphone, Ghislaine va répondre et se tourne vers elle , de mauvaise grâce .
- C’est Martine ...
MY descend et s’empare du combiné
- Salut…Oui à deux heures je pense…Oui je te raconterai, mais je ne vais pas sortir longtemps cet après-midi, il y a de l’orage dans l’air avec ma sœur ; oui c’est ça on se retrouve au foyer.
La conversation a été brève, ce n’est pas le moment de passer des heures au téléphone. Elle remonte prestement à l’étage, prépare un pantalon , un chandail, un soutien-gorge et un slip et s’enferme dans la salle de bain. Une fois prête elle descend à l’épicerie et propose ses services à sa sœur pour faire le ménage avant la fermeture. Bien lui en prend car Ghislaine se radoucit et s’adresse à elle pendant qu’elle passe la serpillière :
- Désolée pour la baffe, c’est parti tout seul
- C’est pas grave.
Elle se masse machinalement la joue. Ghislaine croit bon de renchérir
- Tu sais, il faut faire attention ! Il t’a dépucelée ?
- Oui…
Il y un silence, puis
- Pour Jean-Paul, je vais lui écrire, la vérité…
- Et l’autre, tu vas le revoir ?
- Je sais pas…Ça dépendra de Jean-Paul.
- Tu es quand même gonflée, te faire sauter dès le premier soir par un type qui pourrait être ton père !
- Il a fait attention…
- Tu as beaucoup saigné ?
- Non…Je ne crois pas, enfin un peu quand même
- Il va falloir que tu te tiennes à carreau un moment ma petite
- Oui…
L’arrivée de Jeannot qui vient faire la caisse interrompt le dialogue, puis arrive l’heure de passer à table. Le repas est vite expédié ; l’après-midi, Jeannot a prévu d’aller à la pêche après la sieste et Ghislaine va emmener sa fille chez Mamy pour la traditionnelle visite dominicale. Finalement ça laisse à MY plus de temps libre que prévu . Elle se brosse les dents, se change, elle quitte pantalon, chandail et soutien-gorge, elle ne conserve que son slip blanc en coton et passe une robe-chemisier qui s’arrête à mi-cuisses, en acétate imprimé de losanges bruns sur fond jaune, fermée sur le devant par huit boutons, chausse ses nu-pieds blancs à petits talons. Le temps se couvre et elle endosse un imper en popeline bleu marine, lui aussi très court, sans le boutonner. S’efforçant de passer inaperçue, elle quitte la maison et se dirige vers le foyer rural, lieu de rencontre des jeunes du village… Il n’est que 14 heures, mais déjà les mobylettes vrombissent sur la place, des garçons bruyants sont attroupés devant la porte encore close du foyer. Elle fait la moue en constatant que Martine n’est pas arrivée ; elle n’a pas envie de discuter avec les autres ; elle pense à Jean-Paul ; s’il était là, rien ne se serait passé. C’est à cet instant qu’elle aperçoit la DS 21 au fond de la place, garée sous un arbre. Elle se sent pâlir, ses jambes flageolent et Martine qui n’arrive pas ! Les phares obliques de la DS lancent un éclair, elle comprend que c’est pour elle ; elle a peur qu’on la voie, mais se dirige quand-même vers la voiture. La vitre teintée s’abaisse, Paulo est seul à bord, vêtu d’une chemise Lacoste et d’un pantalon noirs.
- Bonjour, petite, bien dormi ? Je savais que je te retrouverais ici…
- Vous en savez, des choses !
- Pas assez encore, mais j’apprends vite ! Tu montes un instant ?
- Si vous voulez…
Elle aurait voulu dire non et s’en veut déjà de capituler si vite ; elle s’installe sur le siège passager tenant vainement d’empêcher sa robe de remonter sur ses cuisses.
- J’ai rendez-vous avec Martine, ma copine d’hier soir, elle…
- Elle attendra, il est à peine deux heures, ça nous laisse le temps de discuter ; tu me fais visiter un peu les environs ? Disant cela, il actionne le petit levier des vitesses au-dessus du volant qui sert également de démarreur sur les DS. Le moteur ronronne doucement. Sans avoir laissé à la jeune fille le temps de donner son avis, il démarre. La voiture roule doucement, quitte le village.
- C’est par ici que tu viens de promener avec ton amoureux ?
- Oui, avec sa 2Cv, ça passe mais avec votre belle voiture, je sais pas, le chemin est en mauvais état…
- T’en fais pas, si ça coince, je mettrai en position haute, ça passera sans problème.
Elle renonce à parler mécanique. La voiture ralentit alors que le goudron cède la place au tout-venant. Paulo passe de troisième en seconde et sa main quitte le volant pour se poser sur le genou de la jeune fille.
- Alors c’est par ici que tu viens faire des câlins ?
- Oui, quand il fait beau et s’il n’y a personne qui se promène.
- Alors, aujourd’hui c’est le temps idéal, il va pleuvoir dans une demi-heure, on a juste le temps de se dégourdir les jambes; il engage la voiture dans un chemin sous les frondaisons ; sa main remonte sur la cuisse. Elle lui demande d’être sage, mais il n’en tient pas compte, arrête le véhicule et se penche sur elle. L’avantage de la DS c’est qu’il n’y a aucun levier de vitesse ou autre accessoire pour encombrer le plancher et le passage d’un siège à l’autre est des plus aisés. Il caresse la cuisse tiède, puis sa main actionne le levier de la portière côté passager… Elle descend de la voiture et il la suit de près. Ils ont à peine fait quelques pas qu’il l’arrête et le tient face à lui ; elle baisse les yeux et n’oppose aucune résistance quand le visage de Paulo s’approche, ni quand sa bouche s’empare de la sienne. Le baiser est tout aussi torride que ceux d’hier soir. Elle noue ses mains sur la nuque virile ; les mains de l’homme passent sous l’imper, caressent son dos, descendent sur ses reins ; les doigts experts suivent le relief que fait la ceinture élastique du slip sous le fin tissu de la robe, descendent sur les globes fessiers. Elle voudrait dire non, mais la langue qui visite sa bouche, ses dents, son palais, la fait suffoquer. Les salives se mélangent, la main droite pétrit sa croupe alors que la gauche revient sur le devant et déboutonne la robe. Il interrompt le baiser pour la contempler. Il se régale du spectacle qu’elle lui offre, femme-enfant, coupe de cheveux à la garçonne, yeux bruns candides, et plus bas des seins en poires aux aréoles surdimensionnées, le ventre adorable avec ce nombril enfoui dans une profonde cuvette, l’abdomen rebondi qui tend le coton blanc du slip par les côtés duquel s’échappent quelques poils bruns.
- Ôte ta culotte !
Elle a un temps d’hésitation, mais le regard acéré qui la scrute a raison de sa résistance ; elle fait doucement glisser le coton blanc, dévoilant le ventre puis le pubis fourni. Il insiste :
- Ôte la et donne-la-moi-la-moi !
- Vous êtes collectionneur de petites culottes ?
- C’est surtout ce qu’il y a dedans qui m’intéresse !
- Ôte la !
Elle obéit, la culotte descend sur les cuisses fuselées, les genoux, elle lève un pied puis l’autre pour se débarrasser du dernier rempart de sa féminité ; penaude elle lui tend le slip. Il s’en saisit, le retourne, le hume. Comme il sourit en examinant le fond, elle croit bon de préciser :
- Je…J’ai dû mettre de la crème Nivéa, derrière…
Elle est rouge de confusion.
- Tu as mal ?
- Oui, un peu…
- Je serai patient…
Il glisse le slip dans sa poche et s’approche d’elle ; leurs bouches se joignent à nouveau, elle se blottit contre lui. La main droite de Paulo la serre, la gauche descend sur le ventre, cherche l’entrée, caresse les lèvres ; un doigt pénètre, elle gémit. Alors il la dépouille de l’imperméable puis de la robe ; elle est toute nue au milieu de la clairière, presque à l’endroit même où elle est venue avec Jean-Paul. C’est à ce moment que tombent les premières gouttes de pluie annoncées par la météo.
- Viens, on va se mettre à l’abri. Il se saisit de ses vêtements tombés à terre et l’entraîne vers la DS. Les gouttes de pluie grossissent et MY se laisse allonger sur la banquette arrière de la voiture. Paulo referme la portière et tendant le bras entre les deux dossiers des sièges avant, ouvre la boîte à gant. Il tient un petit étui en celluloïd et en extrait une sorte de noyau verdâtre et translucide.
- Tiens, mets ça dans ton vagin ; c’est une gélule de Synthol ; c’est un désinfectant et ça sert aussi de contraception locale.
Elle n’a pas le temps de répondre, il reprend sa bouche et c’est lui qui enfonce la gélule dans le ventre, lui murmurant :
- J’ai envie de t’aimer sans retenue, comme ça, tu ne risqueras rien.
Éperdue, elle lui caresse les cheveux amoureusement.
- Vous êtes fou et vous me rendez folle…
- Attends, ce n’est qu’un début !
Les doigts reprennent leur exploration, deux d’entre eux s’enfoncent dans le vagin où la gélule est en train de fondre ; l’index ressort du cloaque et remonte jusqu’au clitoris qu’il décapuchonne, la faisant se cabrer. La caresse s’accentue, elle halète, gémit, le supplie d’arrêter. Il s’en garde bien et continue en même temps que sa bouche vient réduire au silence celle de sa petite prisonnière. Elle songe un bref instant qu’elle va à nouveau tromper Jean-Paul, au moment même où Paulo se redresse, quitte sa chemise et déboucle la ceinture de son pantalon ; dessous il ne porte rien, elle entrevoit un court instant la verge tendue, couronnée d’un épais gland violet. Il lui écarte les cuisses et son visage plonge dans la fourche, elle sent le contact de la bouche contre son intimité, de la langue qui la visite et remplace les doigts sur le clitoris à vif. Elle crie, elle le supplie encore d’arrêter, elle sent que son ventre se liquéfie. Il lui relève les cuisses en arrière et sa langue s’enfonce dans le vagin ; mais il s’interrompt et se redresse, barbouillé de sécrétions, rigolard :
- Pas très bon le Synthol !
Il se hisse entre les cuisses ouvertes, se guide d’une main ; elle sent le gland contre son ouverture. Il tâtonne à peine et s’enfonce d’un trait en elle, la faisant hurler. Très rapidement il s’installe en elle, alors que dehors les éléments se déchaînent. D’énormes gouttes martèlent le toit de la voiture dont les vitres s’embrument de buée. MY crie sans discontinuer pendant de longues minutes sous les assauts de Paulo. La verge dure et épaisse envahit son ventre ; il lui relève les cuisses pour mieux la pilonner, se penche sur elle pour cueillir sur ses lèvres le souffle chaud de sa jouissance. Elle crispe ses doigts sur les flancs de l’homme et lui griffe la peau. Il exulte.
- Tu aimes ça, hein, petite chatte ?
- Oui, j’aime, oh oui, encore !
Il sort un bref instant du ventre en chaleur pour s’y enfoncer à nouveau en force
- Tiens, prends ! Tu aimes ? Dis le !
- Oui, j’aime, oui, prenez moi encore, inondez moi !
- Je veux ton cul !
- Non... Non ! Je veux que Jean-Paul soit le premier à me prendre comme ça…S’il veut encore de moi.
Il interrompt ses allées et venues et la questionne
- Tu vas lui dire que tu l’as trompé ?`
- Oui, je vais lui écrire demain, de toutes façons, il se rendra bien compte que je ne suis plus vierge.
- Tu regrettes ?
- Oui, enfin, non, je ne sais pas ; tout s’est passé tellement vite avec vous…
Il reprend ses allées et venues dans le ventre qui se fait de plus en plus accueillant ; elle hisse son visage vers le sien pour que leurs lèvres se joignent ; bouche contre bouche elle murmure :
- J’ai honte, mais j’aime ce que vous me faites, vous me rendez folle !
Subjugué par cet aveu, il lui relève les cuisses encore plus haut, les lui ramenant contre ses propres épaules et se rue en elle. En même temps sa main gauche passe sous les reins, son majeur s’insère dans le sillon fessier, arrive au contact de l’anneau étoilé et s’y enfonce.
-Je veux que tu te donnes à moi par là, quand tu l’auras fait avec ton fiancé…
- Oui, je me donnerai…
- Tu me donneras quoi ? Dis le !
Il la besogne de plus en plus fort… Entre deux gémissements, d’une voix hachée, elle lui dit ce qu’il veut entendre :
- Oui…Oui, je vous donnerai mon derrière…
- Ça s’appelle autrement !
- Je…Je vous donnerai mon cul…
Elle est au bord de la pâmoison, ses joues passent au rouge, ses yeux chavirent, elle découvre l’orgasme dans toute sa splendeur. Au moment où elle hurle, il laisse aller les vannes de sa propre libido et elle reçoit en elle la bouillante invasion de sa semence. Une salve, puis une deuxième, une troisième viennent s’écraser au plus profond d’elle-même. Paulo jouit en ahanant, à chaque décharge, il lui assène de violents coups de boutoir, accompagnant son éjaculation de mots d’une crudité inouïe.
- Tiens, prends ! Prends mon jus…Tu aimes ? Tu aimes petite pute ?
- Oui, oui j’aime, oh c’est chaud !
Elle hisse à nouveau son visage vers lui, leurs bouches se joignent, leurs langues se mélangent. Il est sorti de son ventre et a extirpé de la contre-porte une boîte de Kleenex ; c’est lui qui a épongé les sécrétions diverses sur le cuir de la banquette ; elle est sur le flanc, en chien de fusil, le visage caché dans son bras replié, encore haletante. Comme il lui caresse la hanche, elle se redresse et se saisit de sa robe qu’elle enfile à la hâte ; elle dépose un bisou furtif sur les lèvres de son amant :
- J’ai envie de faire pipi…
Comme il pleut toujours, elle pose son imper sur ses épaules, sort de la voiture et ne jugeant pas utile de s’éloigner, s’accroupit dans l’herbe, tout près de la voiture, soulageant sa vessie dans un long jet doré. Il se penche et lui propose un Kleenex
- Oui, je veux bien, merci… Sans se soucier de sa nudité, il sort de la voiture et lui tend le mouchoir en papier. MY termine sa miction et s’essuie , consciente du regard de l’homme sur elle ; elle lève le visage et cille sous la lumière d’un flash. Il vient de la prendre en photo ! Il tient en main un minuscule appareil Rollei et croit bon d’expliquer :
- Très pratique ces petits appareils : ça tient dans la main et ça fait des belles photos, tu verras…
Elle se redresse, écarlate
- Vous allez les faire développer ?
- Bien sûr, mais sois tranquille, c’est un photographe qui travaille pour moi, il développe mes photos de chantier, ça va le changer un peu des cuisines et des salles de bain ; rassure toi, il est discret.
Elle a ramené sur sa nudité les pans de sa robe et de son imper.
- Allez, ouvre, montre moi tout ça, que je fasse de belles images
- Non, non, je veux pas…
- Allez, juste le haut…
Honteuse d’être si complaisante, elle écarte le haut de ses vêtements, dénudant ses seins aux aréoles gonflées… Le flash crépite encore deux fois avant qu’elle reboutonne sa robe.
Comme elle se penche vers la banquette pour récupérer sa culotte, il l’arrête :
- Tt, tt , non… .Je la garde, j’ai tout prévu !
Il ouvre la portière avant et sort de la boîte à gants un étui en carton glacé portant la marque Rosy.
- Tiens, déballe, c’est pour toi, j’ai obligé une amie qui tient une boutique de lingerie à ouvrir ce matin …
Les doigts tremblants, elle ouvre le paquet pour y trouver un slip noir en dentelle.
- Passe le, c’est sûrement la bonne taille, c’est du 38.
Dépassée par les événements, elle déplie le nylon…Le devant est un triangle en dentelle, un cordon élastique festonné court sur les hanches et le derrière est en tulle transparent… Elle enfile le slip et s’offre à son regard ; le devant, très échancré, laisse échapper sur les côtés les poils frisés du pubis ; il lui demande de pivoter et de se retrousser. Elle le fait , remontant la robe et l’imper au-dessus de ses reins. Il contemple avidement la mappemonde blanche, le sillon crûment révélé par le fin voile. Le flash illumine la scène tandis qu’elle proteste :
- Vous allez montrer ces photos à qui ?
- N’aie pas peur, on avisera quand elles seront développées, tu seras la première à les voir.
- Et qui d’autre ?
- Pas de panique, j’aime la discrétion et si je les montre, ce sera à des connaisseurs !
La pluie a cessé ; elle regarde sa montre ; il est quinze heures…Que d’émotions en une heure ! Elle lui demande de la ramener au foyer rural ; il enfile rapidement ses vêtements alors qu’elle prend place sur le siège avant. Il roule doucement sur la petite route qui mène au village et lui parle. Elle apprend qu’il dirige une société d’agencement et qu’il doit partir pour plus d’un mois, à Paris, pour deux gros chantiers, un appartement et un magasin, qu’il ne la reverra pas, qu’elle va lui manquer.
- Je passerai peut-être mardi acheter des croissants, c’est sur ma route.
- Si vous voulez…
Elle lui demande de la déposer à l’écart ; ils se séparent après un rapide baiser. Martine sort à l’instant même de la salle du foyer où elle s’était abritée de la pluie, malgré le tintamarre du juke-box et du baby-foot autour duquel s’escriment quelques garçons braillards. Elle vient à sa rencontre, alors que la DS s’éloigne.
- Eh ben ma cocotte, c’est du flirt çà !
Dit-elle en faisant la bise à la brunette ; elle s’éloignent à l’écart du bâtiment
- Oh, tais toi…Je ne réalise toujours pas ce qui m’arrive !
- Tu as couché avec lui ?
- Oui, cette nuit et on a recommencé dans la voiture, tout à l’heure. Je vais être obligée de tout avouer à Jean-Paul… - -Pourquoi ? C’est peut-être pas la peine de te compliquer la vie ?
- C’est que…Je ne te l’ai pas dit, mais avec Jean-Paul, on n’a jamais été jusqu’au bout, juste des caresses au lit et il a eu ma bouche, mais pas plus. Avec lui là, Paul, c’était la première fois que je…
- Tu veux dire que tu avais encore ton pucelage ?
- Oui..
- Aïe !
- Comme tu dis ! Je vais lui écrire demain, on verra bien…
- Eh ben ma cocotte, je voudrais pas être à ta place ; tu as aimé au moins ? Oui, si tu as remis ça aujourd’hui, c’est que tu as aimé et lui aussi, apparemment !
- Oui, j’ai aimé, c’est ça le pire !
La rouquine s’inquiète
- Vous êtes allés « jusqu’au bout » ? -
Hier soir , chez lui, il a fini, heu…Dans ma bouche et tout à l’heure, dans sa voiture, il m’a fait prendre des précautions, une gélule de Synthol dans la craquette ; il dit que ça protège ; surtout que je suis en pleine période critique !
- Moi aussi, mais cette nuit, avec mon amoureux, on a fait « autrement ».
- Autrement ?
- Oui, il m’a « fait ça » dans le derrière ; j’ai trouvé ça bien, mais je te dis pas l’état des draps, j’étais gênée, si tu savais ! - - Moi, il a voulu me prendre comme ça hier soir, mais j’ai pas laissé faire et je me dis que si Jean-Paul veut encore de moi, je me donnerai à lui de cette façon.
- Et dans la voiture, c’était bien ?
- Oui, je crois que j’ai joui encore plus que cette nuit ! Il a gardé ma culotte en trophée et il avait prévu son coup : il m’en a offert une autre à la place
- Montre !
MY s’assure que personne ne peut les voir et ouvrant son imper, elle retrousse sa robe jusqu’à la taille, révélant à sa copine le sous-vêtement noir.
- Wouah… ! Un string ! Tourne toi…Pfff, avec le popotin que tu as, c’est fou l’effet ! Si j’étais un gars, je te sauterais dessus!
Elles rient, Martine poursuit :
- Tu vas le revoir ?
- Je sais pas, il part en déplacement à Paris, plus d’un mois, d’ici là, Jean-Paul sera revenu en permission, enfin j’espère. Bon c’est pas tout çà, il va falloir que je rentre, si je veux faire ma toilette, il vaut mieux que ma sœur ne soit pas là et ce soir, je vais au dodo de bonne heure !
- Je te raccompagne ; tu veux qu’on aille danser dimanche prochain ?
- Je sais pas, on verra, téléphone moi. ( à suivre)
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
quels clichés troublants !
son air mutin presqu'adolescent et les attitudes de jouisseuse... sacré mélange !
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Ton analyse est des plus pertinentes...Je sais que tu es un connaisseur-observateur.makige a écrit :son air mutin presqu'adolescent et les attitudes de jouisseuse... sacré mélange !
Elle a longtemps eu cette double apparence, ado-adulte, jusqu'à la cinquantaine et même parfois aujourd'hui, mais ceci est un autre sujet.
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
elle a vraiment 19 ans sur cette image ?mamaturebrune a écrit :Ton analyse est des plus pertinentes...Je sais que tu es un connaisseur-observateur.makige a écrit :son air mutin presqu'adolescent et les attitudes de jouisseuse... sacré mélange !
Elle a longtemps eu cette double apparence, ado-adulte, jusqu'à la cinquantaine et même parfois aujourd'hui, mais ceci est un autre sujet.
je fonds pour cette poitrine et ces épaules !
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Oui, nous étions "just married" !makige a écrit :elle a vraiment 19 ans sur cette image ?
je fonds pour cette poitrine et ces épaules !
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
adorables genoux... elle est vraiment craquante...mamaturebrune a écrit :Oui, nous étions "just married" !makige a écrit :elle a vraiment 19 ans sur cette image ?
je fonds pour cette poitrine et ces épaules !
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
J'ai en effet craqué...et je craque encore !makige a écrit :adorables genoux... elle est vraiment craquante...
Là c'est en qualité d'invitée à un mariage
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
chic !mamaturebrune a écrit :J'ai en effet craqué...et je craque encore !makige a écrit :adorables genoux... elle est vraiment craquante...
Là c'est en qualité d'invitée à un mariage
j'adore les femmes - femmes distinguées et aimant les plaisirs du sexe sans chichi mais avec émotions
Elle est ravissante, vraiment, je l'aurais aussi draguée !
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Ça me plairait qu'elle soit draguée encore et surtout qu'elle accepte de capituler...
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
elle ne l'est plus ?mamaturebrune a écrit : Ça me plairait qu'elle soit draguée encore et surtout qu'elle accepte de capituler...
frappée d'obsolescence ?
c'est atroce...
au Japon que je connais un peu, c'est 30 ans la limite... après, elle finissent toujours vieilles filles ou... expatriées !
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
c'est elle qui se dit atteinte par la limite d'âge...Tout le monde n'est pas de cet avis , heureusement. Reste à lui faire admettre qu'elle plaît toujours ...makige a écrit :elle ne l'est plus ?
frappée d'obsolescence ?
Photo d'elle a 66 ans
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
c'est elle qui se dit atteinte par la limite d'âge...Tout le monde n'est pas de cet avis , heureusement. Reste à lui faire admettre qu'elle plaît toujours ...
Photo d'elle a 66 ans[/quote]
ce qui est frappant sur les photos que tu montres, c'est l'impression de bonheur qu'elle dégage
Photo d'elle a 66 ans[/quote]
ce qui est frappant sur les photos que tu montres, c'est l'impression de bonheur qu'elle dégage
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
J'espère que j'y suis pour quelque chose...makige a écrit :ce qui est frappant sur les photos que tu montres, c'est l'impression de bonheur qu'elle dégage
Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
La suite est terriblement excitante.
C’est vrai que sur les photos elle dégage une innocence touchante, et qui donnes envie de poser nos lèvres sur les siennes.
Si je pouvais essayer de la faire capituler, je le ferai volontiers. Sa bouche me donnes envie de venir y mettre ma langue dedans
C’est vrai que sur les photos elle dégage une innocence touchante, et qui donnes envie de poser nos lèvres sur les siennes.
Si je pouvais essayer de la faire capituler, je le ferai volontiers. Sa bouche me donnes envie de venir y mettre ma langue dedans
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
C'est vrai que sa bouche est une invitation à plein de choses. Elle aime les baisers profonds. J'espère que ça va se réaliser avec toi ! Je t'envoie à ton adresse la même photo non floutée.Leo1201 a écrit :Si je pouvais essayer de la faire capituler, je le ferai volontiers. Sa bouche me donnes envie de venir y mettre ma langue dedans
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Et sur cette photo on devine que le coquin a ces côtés a bien du lui faire plaisir devant toi
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Pas ce jour là, car c'était une réunion familiale pour son anniversaire et l'assistance était assez nombreuse et empressée.Leo1201 a écrit :Et sur cette photo on devine que le coquin a ces côtés a bien du lui faire plaisir devant toi
Mais c'est vrai que le lendemain , le calme revenu et la fête rangée, il y a eu une soirée intense en petit comité, même si nous n'étions pas tout à fait seuls à la maison...Ça s'est passé dans le bureau qui servait de chambre d'ami, ce fut difficile de rester discrets... Le lendemain, notre invité est reparti très tôt.
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Mais quel sourire en toute décontraction elle nous montre son barbu
- julesverne
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Re: Nos aventures triolistes-candaulistes
Très belle histoire, passionnante, nous avons beaucoup aimé. Merci pou ce partage