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Depuis quelques années, mon père Jamal et sa conjointe viennent passer leurs vacances chez nous dans notre maison. Mais cette année, mon père viendra seul pour les vacances car il s’est séparé de sa conjointe dernièrement. Ma femme Nadia est très famille et cette situation l’a beaucoup peinée. Elle n’envisage pas que mon père reste seul sans compagne !

Un soir, alors que nous nous apprêtons à dormir, elle m’interpelle sur la situation :
— Karim, tu sais, Jamal ton père ne peut pas rester seul comme ça. Il lui faut une nouvelle femme ! A 64 ans, on peut encore profiter de la vie.
— Je suis d’accord avec toi ma chérie, mais je ne vois pas comment il va trouver quelqu’un, il ne voit personne quand il est chez lui. Et les applications de rencontres, il n’en veut pas.
— C’est vraiment dommage car il fait toujours des allusions sur le sexe. Je pense que ça lui manque.
— C’est vrai qu’il a toujours été un vrai obsédé. De ce côté-là, il n’a jamais eu trop de limites. Je pense qu’il est capable d’aller voir des prostituées.
— Quoi ? Non, non ! Ce n’est pas possible, il ne faut pas qu’il fasse ça !
— Ben, tu veux qu’il fasse comment ? La branlette a ses limites. C’est comme ça. C’est triste, mais c’est la vie.

Sur cette dernière phrase, on s’est couché. Le lendemain matin, dès le réveil, ma femme me dit qu’elle a réfléchi à la situation de mon père.
— Tu sais, chez nous, dans notre tribu, on ne laisserait pas ton père comme cela. Une de ses belles-filles s’occuperait de lui.
— Quoi ? Tu veux dire que vous faites des actes sexuels avec vos grands-parents ?
— Généralement, non. C’est même très, très rare. Mais pour une situation comme celle de ton père, je pense que c’est possible.
— Et donc ?
— Chéri, ton père a besoin d’amour. Je veux bien lui en donner s’il le souhaite !
— Tu es sérieuse, là ? Putain, oui, t’es sérieuse quand je te regarde ! Et moi, je n’ai pas mon mot à dire ?
— Ben, je préférerais que tu ne sois pas contre, mais bon. Je comprends que ça ne te fasse pas plaisir.

Je suis sorti directement prendre une douche afin de me calmer, mais surtout de réfléchir à cette situation. Je connais bien ma femme et je sais qu’une fois qu’elle a pris une décision, il est quasiment impossible de la faire changer d’idée ! Donc, plutôt qu’elle fasse cela derrière mon dos, je vais prendre une autre option en espérant garder un semblant de contrôle car, dans cette histoire, il y a mon père et c’est un dominant. Je retourne donc dans notre chambre où ma femme était restée.
— Bon, écoute, je te connais, donc je sais que tu ne vas pas changer d’avis comme ça. Ça ne me fait pas super plaisir de savoir que ma femme veut coucher avec mon père par bonté d’âme. Mais bon…Je veux que tu me dises quand et où tu le fais avec lui. Pas de cachoteries ! Dis-lui que je suis quelqu’un d’ouvert sur le sujet s’il te pose la question de savoir ce que j’en pense.
— Merci, je sais que ça te coûte. Je suis désolée, mon chéri. Je vais descendre préparer le petit-déjeuner et en même temps lui parler de mon idée, car il doit être déjà en bas, vu qu’il se lève tôt.

Vingt minutes plus tard, Nadia remonte dans la chambre, le sourire aux lèvres.
— J’imagine qu’il a refusé ! Tu lui as dit quoi exactement ?
— J’ai commencé par lui dire que sa situation m’attristait. Et que j’étais prête à l’aider. Il m’a très vite répondu que la façon dont il l’avait en tête n’était pas possible. Ce à quoi j’ai répondu que j’étais prête à cela aussi. Il a ouvert grand les yeux et un sourire coquin est apparu. Bref, je lui ai dit que je passerais ce soir dans sa chambre vers les 22 h. Voilà !

Sur ce résumé, nous sommes tous allés déjeuner. Toute la journée, j’ai surpris mon père en train de regarder le cul de ma femme. Je pense qu’il s’imagine très bien ce qu’il va en faire ! Nous voici donc le soir à 21 h 30. Bizarrement, mon père va se coucher. Un exploit quand on sait qu’il se couche plutôt vers une ou deux heures du matin d’habitude ! Nous aussi, on monte dans la chambre. Et Nadia commence à se préparer. Petit dessous blanc à dentelle qui contraste trop bien avec sa peau d’ébène. Moi, je commence à avoir la boule au ventre. Je suis même surpris d’être un peu excité !
En fait, j’ai toujours eu ce petit fantasme de voir ma femme avec un autre homme. Mais c’était un fantasme et je savais qu’elle ne dirait jamais oui, ce qui m’arrangeait bien, car je suis un peu jaloux quand même !

Me voici en train de regarder ma jolie femme s’apprêter à aller se faire baiser par mon père au bout du couloir. La vie est bizarre parfois. Voilà, elle est prête, c’est l’heure ! Elle se dirige vers la porte, se retourne et me lance :
— Chéri, je ne sais pas si je reviens dormir avec toi ce soir. Ça va dépendre de ma fatigue. Ne m’attends pas. Bonne nuit.

Elle referme la porte et voilà. Toujours avec la boule au ventre, je me suis dit que j’allais jeter un coup d’œil. Je me lève, je vais discrètement vers la chambre d’amis qui ne se trouve pas très loin. Il y a un grand placard collé à la chambre et la salle de bain en face. Par chance, j’avais vidé le placard la semaine précédente pour faire des travaux et donc, je suis rentré dedans. Il y a du jeu entre le mur du placard et la chambre de telle sorte que si on colle un œil dessus, on voit très discrètement ce qui s’y passe. C’était justement ce que je devais réparer.

Me voici donc dans le noir avec mon souffle court et mon cœur qui tambourine comme pas possible. J’ai même la sensation de faire quelque chose de mal. Bref, je me concentre, j’écoute et regarde. Mon père est allongé sur le dos, ma femme est assise sur le côté du lit et pendant qu’elle lui fait une fellation, mon père lui met un ou deux doigts dans sa chatte. Elle n’a plus de culotte. Image surréaliste pour moi, d’autant que je sais qu’elle n’aime pas du tout les fellations ! En fait, elle n’aime pas trop les préliminaires. D’ailleurs, ça se confirme vite, car elle se met directement à califourchon sur mon père, prend sa bite (qui me semble être super grosse) dans sa main droite et l’introduit dans sa chatte. Je remarque qu’elle ne lui met pas de capote. Ça ne rentre pas très facilement, ce qui prouve bien que mon père a une bite de très bonne dimension !

Voilà, c’est officiel, mon père pénètre ma femme ! Celle-ci commence à faire des va-et-vient de plus en plus rythmés. Elle adore cette position. Elle a un orgasme presque à chaque fois ! J’entends ses râles de plaisir et je sais qu’elle va venir bientôt. Moi aussi, je suis excité et je me branle comme un collégien dans mon placard. Mon père reste concentré, il lui prend la bouche et, avec ses mains, lui malaxe ses fesses. Putain, quelles sont belles ses fesses ! Quel cul magnifique !

Ma femme arrive à son orgasme assez fort avec ses râles plutôt graves. Elle se laisse tomber sur mon père qui lui tapote les fesses avec un petit rire. Elle se met de côté et lui dit :
— A toi, Jamal, tu veux que je me mette comment ?
— A quatre pattes, mets-toi à quatre pattes !
Ni une ni deux, elle lui présenta sa croupe.
— C’est drôle, c’est la position préférée de ton fils.
— Il a bon goût, surtout quand je vois un cul pareil. Tu es vraiment trop belle, viens là que je profite un peu !

Il lui met sa bite directe. Elle lui demande d’aller doucement car sa bite est grosse. Je vois la bite de mon père qui rentre et sort de la chatte de ma femme. Quelle image extraordinaire ! Un vrai film X, comme je les aime ! Pendant 10 minutes, mon père lui défonce le cul en levrette et elle râle de nouveau.
— T’as une grosse bite ! Mumm, j’aime ta bite Jamal ! Elle est plus grosse que celle de ton fils. Tu me baises bien, oui, oui, tu me baises bien là ! Continue ! Vas-y plus fort, oui, oui, oui, finis en moi ! Je veux sentir ton sperme en moi, Jamal !

De là, elle lui attrape sa bite par-dessous et lui caresse ses boules. Sur cette dernière parole, moi, je gicle directement et j’entends par son cri fort de jouissance que mon père aussi n’a pas pu se retenir après l’invitation de ma femme à finir en elle. D’ailleurs, il me semble qu’elle a joui aussi à la fin. Super rare qu’elle ait deux orgasmes, me suis-je dit. Deux en un jour et en deux coups, c’est le record !

Waouh, je ne savais pas que ma femme se lâcherait directement comme ça ! Digne de nos plus grands moments de baise d’il y a dix ans. Elle est maintenant allongée sur le ventre et mon père lui donne un mouchoir pour qu’elle puisse le mettre entre ses lèvres vaginales. Elle a un de ses sourires de joie et de plénitude absolue. Je ne vois pas bien, mais vu sa réaction, il doit y avoir une bonne quantité de sperme dans la chatte de ma femme qui doit couler !

D’ailleurs, je ne sais pas comment le prendre, mais ma femme ne prend pas la pilule. Je finis toujours sur elle quand c’est sa période d’ovulation. Je commence donc à paniquer, mais très vite, je me dis qu’elle maîtrise ce détail mieux que personne. Donc, s’il y avait un risque, elle lui aurait dit de jouir sur ses seins ou sur son visage !

Je reste un peu dans mon placard. Mon père a tamisé la lumière et tout en lui caressant le corps, il chuchote des mots que je n’arrive pas à entendre. Ça la fait rire. Je décide de rentrer dans ma chambre et sors à pas-de-loup.

Je me couche et laisse la porte ouverte. Je dors très mal. Et j’entends au moins quatre fois ma femme jouir dans la nuit ! Je me lève tôt et tout le monde dort encore à 10 h.

Enfin, à 11 h 30, ma femme descend tout sourire et me demande si j’ai bien dormi. Je lui fais un œil mauvais. Elle n’y prête pas attention, alors je lui retourne la question.
— Alors, cette nuit avec mon père ?
— Bah, juste normal. T’inquiète, ça ne va pas durer ! On va le faire une fois ou deux encore et puis voilà. Là, on l’a fait rapidement et comme j’étais fatiguée, j’ai dormi jusqu’au matin direct.
Sur ces paroles que je savais déjà fausses, mon père descendit à son tour, l’air normal.
— Bonjour Fils. T’as bien dormi, j’espère !

Pendant les deux autres jours, ma femme passa ses nuits avec moi, mais elle ne souhaitait rien faire avec moi malgré mon envie. La troisième nuit, elle est repartie dans la chambre de mon père. Au bout d’un moment, je suis allé voir le spectacle. Elle était dans une de mes positions préférées. Allongée sur le ventre, jambes légèrement écartées, mon père avec son gros ventre est sur elle, il la pénètre par-dessus. Elle disparaît presque sous son poids. Et il y va de plus en plus fort !
— Tu es vraiment trop bonne. Quel cul, il est si bon, ton cul !
Je l’entends qui crie dans l’oreiller. C’est incroyable, mais je pense qu’il la sodomise tellement elle crie dans le coussin ! Ce n’est pas possible autrement. Quel corps fantastique ! La jolie couleur de mon épouse qui tranche avec le blanc de mon père qui la baise violemment !

Elle ne peut pas fuir. Il lui prend ses bras et continue ses coups de marteau dans son cul. C’est maintenant une certitude, il l’encule ! Moi, je n’ai jamais réussi à le faire avec elle, et là, elle lui donne son cul. Quelle injustice ! Il gicle au bout de cinq minutes dans le cul de ma femme. Elle se retourne furieuse avec les larmes aux yeux et cela me confirme bien ce que j’avais déjà compris. Il la rassure et la prend dans ses bras.

Le matin du quatrième jour, comme je devais me lever plus tôt pour le travail, vers 6 h, je sors du lit pour aller dans la salle d’eau à côté de notre chambre. Mais j’aperçois un peu de lumière dans la salle de bain qui est en face de la chambre des invités. La salle de bain ferme avec une porte coulissante, ce qui est pratique. Donc, je me mets à l’ouvrir doucement et je découvris un nouvel acte :

Ma femme est debout face aux grands miroirs, jambes légèrement écartées, adossée aux lavabos et mon père est derrière, en train de la baiser tout en lui malaxant ses jolis petits seins. Elle râle doucement avec sa tête légèrement penchée et ses yeux entrouverts. Elle mordille ses lèvres pendant que mon père fait des va-et-vient énergiques.
— Tu aimes ? Je te baise bien là, ma belle !
— Oh oui mon étalon, tu me fais du bien avec ton gros zob !!!
Je vois que mon père accélère ses coups de bite.
— J’arrive, ma belle !
— Oui ! Vas-y, viens en moi ! Donne-moi ton yaourt !

Il jouit avec de longues contractions. Il se retire de la chatte de ma femme et je vois son sperme couler par terre sur le carrelage. Elle met sa main et rentre dans la baignoire où elle se nettoie vite fait sa petite chatte. Ils ne se quittent pas des yeux ! Il approche de la baignoire et lui présente sa bite encore en érection. Elle s’accroupit et commence à le sucer en le regardant dans les yeux. Elle le branle, le suce, le branle encore et, à un moment donné, avec un sourire espiègle, elle regarde dans ma direction. Putain, elle m’a vu ! Elle penche la tête, se lève puis se retourne et met les deux mains contre le mur, jambes écartées, comme lors d’une arrestation. Elle dit à mon père de venir la prendre comme une salope une dernière fois avant de partir au travail.

Il ne se fait pas prier et monte dans la baignoire pour de nouveau besogner ma femme comme il se doit. Cette fois, elle crie plus fort. Et lui aussi. De mémoire, c’est à ce moment-là qu’ils ont commencé à baiser sans retenue, mais surtout sans respect envers moi ! Ma femme m’avait vu les regarder et elle trouve une nouvelle façon de prendre du plaisir. Pour mon père, le fait de pouvoir faire du bruit, de faire entendre qu’il baisait bien ma femme devait aussi lui procurer beaucoup de plaisir. En baisant ma femme et en le faisant savoir, il était désormais le mâle dominant !

Le lendemain, un samedi après-manger, j’ai eu droit à table avec ma femme en face de moi, elle à ma droite (les yeux dans les yeux) :
— Fils, comme t’as pu l’entendre peut-être, je baise ta femme. Et elle aime ça ! Je vais rester un mois ou deux pour profiter un peu plus d’elle.
Il lui a pris la main en disant cela, et ma femme, tout sourire, lui répond que c’est une bonne idée.
— OK, dis-je.
— Bon, fiston, je vais faire une sieste avec MA femme maintenant !

Pendant deux mois, ma femme et mon père ont baisé partout dans la maison. Ma femme, qui est plutôt réservée sur le sujet et discrète, n’est plus la même personne. Au début, elle disait que ce n’était pas sa faute, c’était la libido démesurée de mon père. Mais en fait, non. Plusieurs fois, elle passe derrière lui et lui met la main dans son slip !

A la maison, elle est souvent en tenue sexy, en nuisettes, petites culottes en dentelle, robes sans culottes. Ils partent dans la buanderie, baisent sur une chaise, sur le canapé, même si je suis à côté. Plus aucune gêne ! Ils baisent dans notre chambre. Parfois, je me branle, je prends des photos, des vidéos. Un vrai mâle en rut, mon père avec ma femme !

En plus, je n’ai plus le droit de baiser ma femme. Réservée à mon père quand il est là ! Il prend un malin plaisir à me rabaisser. Il me prévient parfois quand il va la baiser. Il me dit aussi ce qu’il va lui faire. Il me raconte les matins ce qu’il lui a fait, qu’il adore le cul de ma femme…

Après cela, mon père a décidé de venir habiter chez nous. J’ai pu rebaiser ma femme depuis mais toujours après le passage de mon père ! Nous sommes désormais un trio. Elle m’a avoué que la bite de mon père est plus longue et plus large que mon petit zizi.

C’est ça qui la fait grimper aux rideaux ! C’est ça qui fait la vraie différence !

Du coup il va bien réussir à engrosser ta femme ?

Pas de suite mais d'autres aventures de ma femme !

Oui une coquine comme ta femme doit savoir te réserver bien des surprises ! après ton Papa, ton frère ? ou ta soeur ?

Oui, comme je suis un mari soumis et cocu volontaire, je lui laisse le choix de choisir qui elle veut ! Je n'ai pas de tabous !